Devenue une licorne en 2016, Jumia s’impose comme l’un des acteurs principaux du commerce électronique sur le continent. La start-up a décidé de soutenir sa croissance au Nigeria et au Maroc.

La plateforme de commerce en ligne Jumia a annoncé la semaine dernière l’ouverture de deux entrepôts intégrés dans les villes de Lagos au Nigeria et de Casablanca au Maroc. Ces infrastructures permettront à la licorne de mieux gérer sa croissance future et de répondre aux demandes toujours croissantes du marché africain.

A Casablanca, le nouvel entrepôt se construira sur une surface de 5 000 mètres carrés et sera en mesure de stocker plus de 300 000 produits. Quant à l’entrepôt de Lagos, il sera construit sur 30 000 mètres carrés. La licorne nigériane n’a pas donné de plus amples détails sur cette infrastructure.

La décision de construire ces deux entrepôts s’inscrit dans le cadre de la volonté de Jumia de s’imposer comme le leader local du commerce électronique sur le continent. Devenue la première licorne du continent en 2016, Jumia a depuis lors pris plusieurs décisions stratégiques pour se maintenir au sommet sur son segment. En 2023, elle a d’ailleurs mis fin à sa branche Jumia Food, lancée en 2019, car l’activité ne serait pas adaptée à l'environnement opérationnel et aux conditions macroéconomiques dans les sept pays où elle est présente.

Que ce soit sur le marché nigérian ou sur le marché marocain, les nouveaux entrepôts permettront d'accroître considérablement les opérations et d'améliorer l'efficacité, les économies de coûts et les délais de livraison. Pour rappel, les jeunes pousses africaines opérant dans le secteur du commerce électronique ont levé 298 millions $ en 2023, un recul de 53,29 % en comparaison à 2022, selon les données de Partech Africa.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mardi, 11 juin 2024 18:09 Written by

En 2021, la Zambie a enregistré plus de 10 millions de cyberattaques tandis que les pertes pour le secteur financier étaient estimées à environ 5,6 millions de dollars entre 2020 et le deuxième trimestre 2022, selon le gouvernement.

En Zambie, un tribunal a condamné 22 ressortissants chinois et un Camerounais à des peines de prison allant de sept à onze ans et à des amendes pour cybercriminalité, a-t-on appris du média américain AP News, le samedi 8 juin.

Ces condamnations font suite à une série d'enquêtes qui ont débuté après une hausse des cas de fraude informatique. De nombreuses victimes ont signalé des pertes d'argent inexplicables sur leurs téléphones mobiles et comptes bancaires.

Les inculpés faisaient partie d'un réseau de fraude Internet, démantelé en avril dernier, regroupant 77 membres, majoritairement des Zambiens. Lors du raid qui a conduit à leur arrestation, les autorités ont saisi plus de 13 000 cartes SIM, des armes à feu et des munitions. Les arnaques en ligne orchestrées par ce réseau ciblaient principalement des Zambiens, ainsi que des personnes résidant à Singapour, au Pérou et aux Emirats arabes unis.

Selon des données gouvernementales, en 2021, la Zambie a enregistré 10 718 002 attaques. Les pertes pour le secteur financier étaient estimées à plus de 150 millions de kwachas (5,6 millions de dollars) entre 2020 et le deuxième trimestre 2022.

Le pays a adopté en 2021 la loi sur la cybersécurité et la cybercriminalité. Cette législation vise à protéger les personnes en ligne, en particulier les enfants, et à faciliter l'identification, la déclaration et la protection des infrastructures d'information critiques.

Selon le Global Cybersecurity Index (GCI) 2020, la Zambie affichait un score de 68,88 %, soit le 10e rang en Afrique et le 73e au plan mondial.

Charlène N’dimon

Posted On mardi, 11 juin 2024 15:40 Written by

Le gouvernement tchadien a initié en 2020 un ambitieux Plan stratégique de développement du numérique et des postes, illustrant ainsi sa détermination à combler le retard technologique du pays.

Le Tchad souhaite collaborer avec la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (UNECA) dans le domaine du numérique. Dans ce cadre, le ministre tchadien des Communications, de l'Economie numérique et de la Digitalisation de l'administration, Boukar Michel (photo, à gauche), a rencontré le lundi 10 juin, le secrétaire exécutif de l’UNECA, Claver Gatete (photo, à droite). Cette réunion s'est tenue en marge des travaux du sommet ICANN80 à Kigali, au Rwanda.

Les discussions ont porté sur les nouvelles opportunités et les grands défis dans le secteur du numérique au Tchad. Le ministre a profité de l’occasion pour présenter le Plan stratégique de développement du numérique et des Postes 2020-2030 (PSDNP) ainsi que le programme politique du nouveau président de la République dans le numérique. Selon le communiqué du ministère, cette présentation visait à souligner les ambitions et les priorités du Tchad en matière de numérisation, ainsi qu’à exposer les étapes cruciales déjà franchies et celles à venir.

Le PSDNP 2020-2030 lancé il y a 4 ans, constitue une feuille de route ambitieuse visant à transformer le paysage numérique tchadien. Il englobe un large éventail de réformes destinées à moderniser plusieurs secteurs clés, notamment la santé, l’éducation et les télécommunications. Ces réformes visent à améliorer l’accès aux services numériques, à renforcer les infrastructures technologiques et à promouvoir l'innovation. Pour la réalisation de ces projets, le gouvernement a évalué les besoins à hauteur de 1452 milliards FCFA (2,4 milliards USD).

A l’issue de la rencontre, les deux parties ont réaffirmé leur engagement à renforcer la coopération et à travailler ensemble pour accélérer la transformation numérique du Tchad. La collaboration future entre les deux parties pourrait permettre au Tchad de bénéficier de l’expertise de l’UNECA en matière de développement d’infrastructures numériques modernes et robustes et de renforcement des compétences, entre autres.

Samira Njoya

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Posted On mardi, 11 juin 2024 10:28 Written by

La Banque africaine de développement, dans le souci de soutenir les pays africains dans leur processus de transformation numérique, scelle divers accords stratégiques.

La Banque africaine de développement (BAD) et la firme technologique américaine Intel ont signé un partenariat pour doter 3 millions d’Africains et 30 000 fonctionnaires de compétences en matière d’intelligence artificielle (IA). L’accord a été paraphé en marge des récentes Assemblées annuelles de la BAD à Nairobi, au Kenya. L’annonce a été faite dans un communiqué publié le vendredi 7 juin.

« Avec les progrès de la technologie numérique, notre monde évolue rapidement, tout comme notre jeunesse, qui devrait atteindre 830 millions d’individus d’ici à 2050. Pour développer des compétences à grande échelle et à la vitesse nécessaire, nous avons besoin de la coopération de tous », a indiqué Ousmane Fall (photo, à droite), directeur par intérim du Développement industriel et commercial à la Banque africaine de développement. Et il poursuit : « la Banque est ravie de collaborer avec Intel pour travailler à la réalisation de cet engagement commun. Ensemble, nous façonnons l’avenir numérique de l’Afrique et nous autonomisons notre jeunesse ».

Se doter de compétences numériques est devenu indispensable avec la révolution technologique en cours dans le monde. Les pays africains ne sont pas en marge de cette révolution et avec le soutien de diverses institutions telles que la BAD, divers projets sont mis en œuvre. En mai 2024, la BAD s’est associée à l’américain Mastercard pour la mise en œuvre de l’initiative MADE (Mobilising Access to the Digital Economy) qui vise à offrir un accès au numérique à 100 millions de personnes et d'entreprises africaines au cours des dix prochaines années.

Cette nouvelle initiative permettra, entre autres, d'accélérer la croissance et la productivité, en positionnant les Africains comme contributeurs actifs de la quatrième révolution industrielle dans les secteurs clés comme l'agriculture, la santé et l'éducation, perturbant les cycles de croissance traditionnels.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On lundi, 10 juin 2024 08:43 Written by

En Afrique, l'inclusion financière est devenue un enjeu majeur pour de nombreux gouvernements et régulateurs financiers. Des initiatives sont mises en œuvre pour renforcer l'accès aux services financiers et les rendre accessibles à un plus grand nombre de personnes.

Le projet d'interopérabilité des moyens de paiement mobiles est désormais opérationnel en Algérie. Le commutateur mis en œuvre à cet effet, nommé « Switch mobile », a été lancé le lundi 3 juin à Alger. Grâce à cette innovation, les clients des banques actives en Algérie, ainsi que ceux d'Algérie Poste, pourront désormais effectuer des transactions interbancaires de paiement et des virements de compte à compte de manière instantanée en utilisant un code QR.

S’exprimant sur le bien-fondé de ces innovations, le ministre des Finances, Laaziz Fayed, a affirmé qu'elles « sont l'aboutissement d'un plan de travail et d'une stratégie minutieuse lancés par les autorités publiques, dans le cadre de l'application des dispositions de la loi monétaire et bancaire dans son volet inhérent au développement ».

Le lancement de ce service marque selon Laaziz Fayed une deuxième étape dans le processus de modernisation et de développement des modes de paiement, en garantissant un switch pour paiements et virements qui relie toutes les applications des banques et celles d'Algérie Poste au mobile. Il s’inscrit dans le cadre de la Stratégie nationale de paiement électronique qui vise à renforcer l'inclusion financière en Algérie.

Selon le gouvernement, l’objectif est de consentir davantage d'efforts pour généraliser les services de paiement mobile et intensifier les actions de promotion de ces services. Le lancement de ce service devrait améliorer le e-paiement en Algérie, renforçant ainsi l'efficacité et la sécurité des transactions financières.

D'après les chiffres officiels, le nombre de transactions mobiles entre janvier et mars derniers a atteint plus de 13 millions, pour une valeur de plus de 9 milliards de dinars algériens (66,9 millions USD). Le nombre de cartes interbancaires et de cartes d'Algérie Poste a été estimé à plus de 17 millions au 31 mars, tandis que le nombre de guichets automatiques bancaires (GAB) est passé à plus de 3 868, enregistrant plus de 45,9 millions d'opérations pour un montant global de plus de 859 milliards de dinars algériens durant le premier trimestre.

Samira Njoya

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Posted On vendredi, 07 juin 2024 13:26 Written by

Le gouvernement tunisien voit la 5G comme un moyen d’accélérer la transformation numérique de plusieurs secteurs de l’économie comme l’agriculture, l’éducation, le transport... L’exécutif a fixé la date de lancement de l’ultra haut débit dans le pays à novembre 2024.

La Tunisie bénéficiera de l’expertise de la Corée du Sud pour le déploiement de la 5G. Cela fait partie des clauses d’un protocole d’accord de partenariat signé entre Nizar Ben Neji (photo, à droite), ministre tunisien des Technologies de la communication, et son homologue sud-coréen Lee Jong Ho (photo, à gauche). L’accord a été signé en marge du Forum mondial des leaders des TIC qui s’est tenu à Séoul en parallèle avec le premier Sommet Corée - Afrique, du mardi 4 au mercredi 5 juin.

La signature de ce protocole d’accord intervient quelques semaines après que la Tunisie a dévoilé sa feuille de route pour le déploiement de la 5G. Selon la feuille de route, l’octroi des licences et le lancement commercial de l’ultra haut débit sont prévus respectivement pour septembre et novembre 2024. Certains opérateurs télécoms tunisiens ont même déjà testé la technologie mobile de dernière génération.

L’avènement de la 5G s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la « Stratégie nationale de transformation numérique 2025 » de la Tunisie. Ladite stratégie vise principalement à accélérer la numérisation de l’administration, à sécuriser le cyberespace national, à garantir la souveraineté numérique et à instaurer un climat de confiance numérique indispensable à la réalisation des projets de digitalisation.

L’ultra haut débit devrait notamment faciliter l’utilisation des domiciles intelligents ; les villes intelligentes ; l’e-learning, l’e-gouvernement, la vidéo 3D ; la télémédecine ; la réalité virtuelle et la réalité augmentée ; le streaming ; l’intelligence artificielle ; l’Internet des objets (IdO)…

Isaac K. Kassouwi

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Posted On vendredi, 07 juin 2024 11:28 Written by

L’agriculture est un secteur important pour les économies africaines. Avec la transformation numérique sur fond de révolution technologique sur le continent, la numérisation du secteur agricole est devenue primordiale pour de nombreux pays du continent.

L’Institut éthiopien de la transformation agricole (ATI) a signé un protocole d’accord avec Digital Green, une organisation américaine qui œuvre pour la numérisation de l’agriculture, pour aider les agriculteurs à tirer parti de la numérisation du secteur agricole. L’annonce a été faite par la firme américaine via un post Facebook publié le dimanche 2 juin.

L’initiative vise à créer une plateforme de partage des connaissances ; pour cela, les deux parties se sont tournées vers le réseau open source de partage de données et de contenus FarmStack. Elle s’appuiera sur des interfaces de programmation, des URL et des intégrations CKAN pour la mise en place de ladite plateforme.

« Nous sommes ravis d'annoncer que nous avons signé un protocole d'accord avec l'Institut éthiopien de transformation agricole (ATI) afin de maximiser les avantages agricoles et socio-économiques pour les hashtags #agriculteurs, les femmes et les jeunes dans les régions opérationnelles et les Woredas des deux organisations. Ce protocole d'accord quinquennal vise à mettre en évidence les efforts de collaboration dans les domaines de l'agriculture numérique, de la création d'emplois pour les jeunes, de l'autonomisation des femmes, des systèmes d'information sur les marchés, de la mobilisation des ressources et du partage des données », peut-on lire sur le compte Facebook de Digital Green.

Dans son processus de transformation numérique, l'Ethiopie s'investit dans la numérisation du secteur agricole. Les autorités se sont alliées à l’agritech locale Lersha pour la création de profils numériques complets pour 1,05 million de petits agriculteurs leur permettant de bénéficier de divers services d'agriculture numérique.

« Ensemble, nous mettrons en œuvre des initiatives visant à numériser les registres des agriculteurs, à renforcer les canaux numériques de vulgarisation agricole et à améliorer l'accès aux marchés, ce qui profitera en fin de compte aux agriculteurs, aux femmes et aux jeunes dans toute l'Ethiopie », ajoute Digital Green.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On jeudi, 06 juin 2024 16:54 Written by

En 2022, seulement 34 % de la population en Afrique de l'Ouest et centrale avait accès à une connexion haut débit, selon la Banque mondiale. Pour améliorer cette situation, des initiatives régionales sont en cours pour accroître le taux de connectivité dans ces régions.

La mise en œuvre du câble sous-marin de télécommunications Amilcar Cabral, destiné à relier le Cap-Vert, la Gambie, la Guinée, la Guinée-Bissau, le Liberia et la Sierra Leone, prend progressivement forme. Une délégation de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), conduite par M. Sediko Douka, commissaire aux infrastructures, à l'énergie et à la digitalisation, a rencontré M. Nouha Traoré, secrétaire général du ministère des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique de la Guinée, le lundi 3 juin, pour discuter du développement de ce projet stratégique.

« Les discussions ont porté sur plusieurs points clés du projet, notamment son caractère régional et son importance pour l’intégration de la CEDEAO, les étapes techniques clés à mettre en œuvre, l’obtention des permis nécessaires au déploiement du câble, ainsi que les aspects financiers du projet », a indiqué le ministère guinéen chargé du numérique dans un communiqué.

L’initiative intervient plus d’un an après la signature d’un protocole d’accord avec la Commission de la CEDEAO pour le développement du projet. Dans le cadre de ce partenariat, les six Etats concernés se sont engagés à participer au processus d’évaluation de la faisabilité technique, économique, financière, sociale et environnementale du projet, ainsi qu’à mobiliser les ressources nécessaires à sa mise en œuvre. La Commission de la CEDEAO se chargera de coordonner la réalisation du projet en interagissant avec les pays bénéficiaires, les bailleurs de fonds et autres parties prenantes.

La Guinée et la Gambie, à travers le Programme régional d’intégration numérique en Afrique de l’Ouest (WARDIP), ont mobilisé un financement de la Banque mondiale pour la mise en œuvre du projet. Le projet, d’un coût estimé à plus de 90 millions de dollars, est crucial pour la région.

Une fois réalisé, le câble sous-marin Amilcar Cabral devrait renforcer la capacité des télécommunications internationales, améliorer l’accès aux services numériques et fournir la redondance essentielle pour garantir la résilience de l’Internet à haut débit dans les pays concernés. Il est également prévu que ce câble améliore l’infrastructure numérique nécessaire pour attirer les investissements étrangers, créer des emplois et soutenir le développement de l’économie numérique dans la région.

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Posted On jeudi, 06 juin 2024 10:52 Written by

Après l’Asie et l’Europe, avec le Royaume-Uni, la Géorgie ou encore la Turquie, la start-up émiratie OneClickDrive a décidé d’investir un nouveau continent. Elle a choisi le Maroc comme point de départ de son aventure africaine.

OneClickDrive, une place de marché émirati de location de voitures, étend ses activités au Maroc marquant sa première incursion sur le marché africain. L’annonce a été faite via un communiqué de presse publié le lundi 3 juin.

La start-up, basée dans la ville de Dubaï, soutient sa croissance en investissant un autre continent après l’Europe et l’Asie. Pour ses débuts dans le royaume chérifien, elle s’est lancée dans huit villes que sont Agadir, Casablanca, Fès, Marrakech, Nador, Oujda, Rabat et Tanger. Fondée en 2015 par Mahesh Pagarani, OneClickDrive est spécialisée dans la location et le leasing de véhicules de diverses gammes, allant des low cost aux voitures de luxe.

En plus de sa plateforme web, elle dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois, d’après les données de Play Store. L’utilisateur, après la création de son compte, peut accéder au parc automobile de la jeune pousse composée de plus de 5 000 véhicules.

OneClickDrive a signé des partenariats avec plus de 250 fournisseurs de voitures de location dans les villes où elle est présente pour garantir à ses 100 000 clients mensuels de trouver la voiture adéquate pour leurs divers besoins. Pour rappel, les start-up africaines opérant sur le segment de la mobilité ont levé 48 millions $ en capitaux propres en 17 opérations, d’après les données du fonds d’investissement axé sur le secteur technologique, Partech Africa.

Adoni Conrad Quenum

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Posted On mercredi, 05 juin 2024 17:05 Written by

L'Afrique, riche en ressources naturelles et en biodiversité, fait face à de nombreux défis environnementaux majeurs. Orange et ses employés s'engagent à contribuer à la réduction de ces menaces par diverses initiatives.

Orange Middle East and Africa a dévoilé, le mercredi 5 juin, le programme Engage for Change en collaboration avec ses salariés pour renforcer leur engagement continu envers la responsabilité sociétale des entreprises (RSE). Le programme a pour objectif d’impacter positivement la société et l’environnement tout en renforçant la cohésion des équipes.

« Cette plateforme est un outil puissant pour fédérer nos équipes autour de valeurs partagées. Chaque initiative, chaque action menée par nos salariés témoigne de notre capacité collective à apporter des changements significatifs. Nous sommes fiers de voir cet engagement se concrétiser et de constater l’impact positif qu’il génère », a déclaré Asma Ennaifer, directrice exécutive RSE et communication d’Orange Middle East and Africa.

A travers la plateforme interactive engageforchange.orange.com, les salariés sont activement encouragés à participer à des initiatives sociales et environnementales qui ont un impact concret et positif dans nos communautés. Que ce soit par le biais de projets locaux, de partenariats, ou d'actions écoresponsables. Les actions encouragées incluent la réduction de l'empreinte carbone, le soutien aux communautés locales, la promotion de l'éducation et de la santé, ainsi que l'engagement dans des projets durables.

Tout au long de cette journée du 5 juin, et dans toute la région, plusieurs initiatives locales sont organisées pour démontrer l’impact concret de la plateforme. Au Mali, par exemple, une équipe de 200 salariés volontaires d'Orange ont participé à la reforestation d’un parc urbain dédié aux enfants en plantant 1 000 arbres, ce qui contribue à la lutte contre la désertification et à la création d'espaces verts pour les jeunes.

En outre, d'autres initiatives notables incluent des campagnes de sensibilisation à l'importance du recyclage et à la gestion des déchets électroniques, des ateliers de formation pour les jeunes sur les compétences numériques, et des partenariats avec des ONG locales pour soutenir les populations vulnérables. Ces efforts collectifs reflètent la volonté d'Orange Middle East and Africa de jouer un rôle actif et responsable dans le développement durable et le bien-être des communautés qu'elle dessert.

Samira Njoya

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Posted On mercredi, 05 juin 2024 15:58 Written by
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