Orange Madagascar multiplie les investissements dans les infrastructures en milieu rural pour apporter les services mobiles à la moitié non connectée de la population malgache. La société a signé en janvier un accord avec NuRan Wireless pour construire 500 nouveaux sites télécoms sur dix ans.

La société de télécommunications Orange Madagascar a signé un accord avec le constructeur de tours télécoms Africa Mobile Networks (AMN) pour étendre davantage la couverture de son réseau dans les zones rurales du pays. Les deux partenaires entendent déployer au moins 500 stations de base  sous le modèle Network-as-a-Service (NaaS) au cours des dix prochaines années.

Les sites qui seront construits dans le cadre de ce projet supporteront la 2G et la 3G. Le déploiement des sites a déjà commencé, et certains devraient être opérationnels avant la fin de 2023, apprend-on.

Ce partenariat intervient environ un mois après qu’Orange Madagascar a signé un accord similaire avec la société canadienne NuRAN Wireless pour déployer 500 sites télécoms sur la côte est de Madagascar. Ces investissements s’inscrivent dans le cadre de l’objectif de la société de s’imposer comme principal fournisseur de services numériques dans le pays.

L’investissement dans les zones rurales devrait permettre d’accélérer la réalisation de l’ambition d’Orange Madagascar, car ces zones concentrent un fort taux de personnes non connectées, donc de potentiels abonnés télécoms. Le projet devrait permettre à l’opérateur télécoms de toucher plus d’un million de nouveaux abonnés. Selon l’Autorité de régulation des technologies de communication (ARTEC), seulement 46,38 % de la population malgache a accès aux services mobiles.

Le projet permettra également de soutenir l’ambition d’AMN de contribuer à étendre le réseau mobile dans les zones rurales d’Afrique subsaharienne avec le déploiement de 10 000 tours à l’horizon 2025. La société a obtenu en novembre dernier un financement de 20 millions $ de Finnfund et BlueOrchard Finance à cet effet.

Isaac K. Kassouwi

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Posted On jeudi, 16 février 2023 08:34 Written by

Les besoins numériques se sont fortement accrus depuis la pandémie de la Covid-19. Il est donc important d’accompagner les entreprises tech prêtes à relever les défis de la transformation numérique en Afrique, d’où la multiplication des fonds d’investissement.

Le groupe panafricain Axian — spécialisé entre autres dans les télécoms, les services financiers, l’Energie et l’open innovation — a annoncé le lundi 13 février le lancement d'Axian Investment, une entité qui pilotera ses investissements dans les entreprises tech et innovantes d'Afrique.

Selon le communiqué publié par le groupe, Axian Investment aura pour ambition de partager l’expérience et apporter le soutien du groupe, directement et indirectement, à des entreprises à différents stades de maturité.

« Ce nouveau modèle entend également renforcer les synergies entre les deux activités de "Fund of Funds" et "Corporate Venture Capital". Il vient soutenir le développement d'Axian en Afrique en faveur d’un impact positif et durable sur la croissance ainsi que la montée en puissance du continent sur le plan mondial », précise le communiqué.

C’est en 2017 que le groupe panafricain a entamé sa stratégie d'investissement sur le long-terme comme actionnaire indirect dans les entreprises et start-up. A ce jour, le groupe est investi dans une vingtaine de fonds, avec une forte concentration en Afrique.

1 startups

Aujourd'hui actionnaire minoritaire direct de 10 start-up africaines, la branche Corporate Venture Capital ambitionne d'accélérer son activité dans le but de rayonner sur l’ensemble du secteur (fintech, e-commerce, e-santé́, e-logistique...). Il permettra également de créer des synergies avec les autres activités du groupe.

Samira Njoya

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Posted On mardi, 14 février 2023 14:11 Written by

Le Rwanda figure parmi les nations africaines avec un niveau de préparation numérique louable. Tous les secteurs sont en cours de  transformation dans le pays, y compris l’éducation.

Le gouvernement rwandais veut connecter 3 000 écoles de plus à Internet d'ici 2024.  C’est l’une des déclarations faites récemment par la ministre des TIC et de l'innovation, Paula Ingabire, lors d'une session plénière de la Chambre des députés.

Répondant aux questions posées sur l’avancée des projets dans le secteur des TIC, la ministre a déclaré : « actuellement, il y a 6 756 écoles, comprenant des écoles primaires, secondaires et des enseignements et formations techniques et professionnels (TVET) dans le pays. Parmi ces écoles, environ 3 000, soit 44,4 % du total, ne sont pas connectées à Internet ».

« Nous avons un projet d'éducation intelligente, grâce au financement de 30 millions de dollars que nous avons obtenu de la China Exim Bank, dans le cadre duquel nous allons connecter au moins 1 500 écoles », a-t-elle ajouté.

Outre la China Exim Bank qui a apporté son soutien au gouvernement Rwandais dans le cadre de son projet de transformation numérique, la Banque mondiale a approuvé en 2021 un financement de 100 millions de dollars pour ce projet. L'objectif est d'accroître l'accès au haut débit, aux services publics numériques et de renforcer l'écosystème d'innovation numérique.

Selon la ministre, la majeure partie de ce financement a été allouée à l'infrastructure pour la connectivité du dernier kilomètre, y compris l'accès à Internet pour les écoles. « En utilisant les fonds de la China Exim Bank, et ceux de la Banque mondiale, il a été observé qu'environ 3 000 écoles qui ne sont pas connectées à Internet y auront accès d'ici 2024 », a-t-elle observé.

Ainsi, selon Emmanuel Mfitumukiza, président du chapitre rwandais de l'Internet Society, la connectivité Internet dans les écoles primaires et secondaires contribuera à la mise en œuvre d'un programme d'études basé sur les compétences et permettra d'augmenter l'alphabétisation numérique dans les écoles même les plus éloignées du pays.

Samira Njoya

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Posted On mardi, 14 février 2023 11:17 Written by

Après l’ouverture du 13e centre digital en Guinée en décembre, Orange se met à nouveau au service des jeunes en mettant sur pied un nouvel écosystème numérique entièrement dédié au développement des compétences numériques et à l’innovation.

L'opérateur de téléphonie Orange et la Coopération Allemande (GIZ) ont inauguré le vendredi 10 février à Freetown, en Sierra Leone, le 14e « Orange Digital Center » (ODC) d’Afrique et du Moyen-Orient.

Etabli sur une superficie de 500m², l’Orange Digital Center (ODC) de la Sierra Leone réunit comme les autres, quatre programmes stratégiques du groupe que sont : une école du code, un atelier de fabrication numérique (FabLab Solidaire) de la Fondation Orange, un accélérateur de start-up (Orange Fab), et Orange Ventures Afrique et Moyen Orient — le fonds d'investissement du groupe télécoms qui investit dans les start-up les plus prometteuses de l’Orange Digital Center.

Selon Brelotte Ba, directeur général adjoint d’Orange Afrique et Moyen-Orient, « le lancement de notre 14e Orange Digital Center aujourd'hui à Freetown, en Sierra Leone, fait partie d'un réseau de 32 Orange Digital Centers qui seront déployés non seulement en Afrique et au Moyen-Orient, mais aussi en Europe d'ici 2023. L'objectif est de démocratiser l'accès au numérique pour les jeunes — avec ou sans qualification. Nous voulons qu'ils participent à la transformation numérique de leur pays en les encourageant à devenir des entrepreneurs, à créer du contenu local et à développer ainsi l'économie numérique de la Sierra Leone ».

Le centre digital d’Orange arrive à point nommé en Sierra Leone. Le pays a récemment entamé la mise en œuvre de son projet national de transformation numérique grâce à une subvention de 50 millions $ obtenue auprès de la Banque mondiale. L’initiative pratique d’Orange vient appuyer celle du gouvernement qui milite pour la création d’emploi, le développement de compétences et le développement de nouvelles opportunités grâce au numérique.

Le centre, déjà opérationnel dans le pays, formera gratuitement les étudiants et déploiera des Orange Digital Center Clubs dans certaines universités, étendra la portée de l’ODC aux régions afin d’offrir au plus grand nombre l’accès aux nouvelles technologies et les aider à les utiliser pleinement.

Pour Jens Kraus-Massé, ambassadeur de la République fédérale d’Allemagne en République de Sierra Leone, l’objectif est « de donner à chaque femme, chaque fille, chaque homme et chaque garçon, quel que soit son milieu, les moyens de tirer parti des possibilités offertes par le digital, d'obtenir de meilleurs emplois et, à terme, de vivre mieux pour eux et leurs familles ».

Samira Njoya

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Posted On lundi, 13 février 2023 15:35 Written by

Le fournisseur de services Internet haut débit Starlink a exprimé son intérêt de conquérir le marché africain. Jusqu'à présent, la société a lancé des opérations au Nigeria et cherche à faire de même au Kenya et en Tanzanie, avec des plans pour étendre sa portée à 20 marchés africains.

Le gouvernement tanzanien a bloqué le processus qui permettrait à Elon Musk (photo) et à sa société Starlink de fournir des services Internet dans le pays. Mercredi 8 février, le directeur général de la Tanzania Communication Regulatory Authority (TCRA), Jabiri Bakari, a déclaré à la presse que l'entreprise Starlink devra impérativement compléter la documentation essentielle pour que les procédures ultérieures puissent se poursuivre.

« Vous savez, l'Internet par satellite de Starlink implique beaucoup plus de problèmes que la façon dont il est décrit sur les plateformes de médias sociaux. Cela implique différents détails qui nécessitent des exigences différentes de la part du régulateur en fonction du type de licence demandée », a déclaré le directeur.

C'est le 6 octobre 2022 que le gouvernement tanzanien a reçu les demandes de Starlink pour fournir des services Internet par satellite dans le pays. Après une réunion le 27 janvier dernier, certaines questions en suspens subsistaient dans le dossier de Starlink. L’entreprise a déclaré que la faute provenait du gouvernement qui n'a pas communiqué les documents requis pour traiter la demande. « Nous attendons et sommes prêts », a indiqué sur Twitter Elon Musk.

Starlink devrait être disponible en Tanzanie entre janvier et avril 2023 si le processus est relancé. Le service sera disponible à Dar es Salaam et dans quatre autres villes du pays, à savoir Arjusha, Tanga, Tabora et Mwanza.

Le nouveau service devrait permettre de stimuler le secteur numérique et de fournir une connexion Internet haut débit en Tanzanie.

Samira Njoya

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Posted On lundi, 13 février 2023 14:58 Written by

Le secteur numérique angolais est en plein essor depuis quelques années. Il est donc important pour le pays d’y inviter des entrepreneurs étrangers afin de favoriser son développement plus rapidement.  

Le programme d'innovation et de transfert de technologies, lancé par l’exécutif angolais attire des investisseurs. Le pays a accueilli une délégation commerciale polonaise à l’occasion du Forum des affaires Angola-Pologne, tenu le jeudi 9 février à Luanda.

S'exprimant lors de la séance d'ouverture du Forum, Zdzislaw Sokal (photo, à droite), le président du conseil d'administration de l'Agence polonaise pour l'investissement et le commerce, a déclaré que son pays a un énorme potentiel dans le domaine de la cybersécurité et des infrastructures cruciales et est prêt à investir en Angola dans lesdits domaines.

« Nous avons des solutions dans les secteurs de l'énergie verte, de l'économie circulaire, de la gestion des déchets, des énergies photovoltaïques et des villes intelligentes », a affirmé le dirigeant polonais.

A en croire Zdzislaw Sokal, la pologne est très avancé en ce qui concerne le numérique. Les services publics et privés ont été digitalisés dans plusieurs domaines en mettant l'accent sur la santé, les transports, ainsi que le trafic et la mobilité. Aussi, la Pologne lance chaque année sur le marché du travail 11 000 diplômés dans les domaines de la technologie et compte 131 entreprises dans le domaine des télécommunications et des technologies de la communication.

Ainsi, grâce aux futurs partenariats envisagés entre les deux pays, l’Angola pourra profiter des compétences et de l’expérience polonaise pour la réalisation des multiples projets prévus dans sa stratégie numérique.

Rappelons qu’en janvier, la Chine a accordé un prêt de 249 millions $ à l’Angola pour la construction d’un câble optique terrestre de 2 000 km visant à favoriser l'innovation technologique et doper la productivité dans divers services, qu'ils soient publics ou privés.

Samira Njoya

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Posted On vendredi, 10 février 2023 16:11 Written by

Ouranos Technologies Limited, un fournisseur de solutions et de services informatiques disposant d'un centre de développement en Inde, va fournir 2 millions de dollars pour stimuler les solutions d'entreprise en Afrique de l'Ouest.

Le mardi 7 février, Joseph Aransiola, directeur général d'Ouranos Technologies Ltd, a annoncé qu'une partie de l'argent financera également la construction d'un laboratoire technologique à Lagos au Nigeria, pour l'analyse informatique en Afrique de l'Ouest.

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Posted On vendredi, 10 février 2023 11:19 Written by

Ces dernières années, le gouvernement béninois a énormément entrepris dans le secteur du numérique au grand plaisir de la population. En 2023, plusieurs projets dans le secteur seront opérationnels tel que mentionné dans l’agenda dévoilé par le ministère chargé du Numérique.

Vendredi 3 février, la ministre béninoise du Numérique et de la Digitalisation, Aurelie Adam Soulé Zoumarou, a présenté à Cotonou, l’agenda 2023 du secteur dont elle a la charge. Selon la ministre, « Impact, renforcement de la résilience, passage à l’échelle, seront les maitres-mots de cette année 2023 dans le secteur du numérique et de la digitalisation au Bénin ».

En effet, pour l’année 2023, la ministre avait défendu un budget de plus de 31 milliards FCFA (49,2 millions USD) pour la réalisation d'un ensembles de projets, notamment la mise en œuvre de la Stratégie Nationale d’Intelligence et des Mégadonnées (SNIAM) approuvée le 18 janvier dernier, le déploiement des salles numériques et e-services, la réalisation du cadre réglementaire qui comprend le code du numérique, la loi sur la radiodiffusion numérique et la protection des données.

L'agenda prévoit également l’extension des sites mobiles et la phase pilote de la 5G. Dans le même sillage, Aurelie Adam Soulé Zoumarou a annoncé deux réformes majeures, à savoir : la mutualisation des travaux de construction d’infrastructures passives et l’insertion de la formation aux compétences numériques minimales dans les cursus de formations classiques et de certification.

En ce qui concerne les médias, l’accent sera mis sur la poursuite de la modernisation de la télévision nationale l’ORTB, le lancement de la chaîne A+ Bénin, la mise en place d’un cadre pour l’organisation du secteur de la publicité et le lancement de la Télévision Numérique Terrestre avec la mise sur le marché des décodeurs.

L’agenda 2023 prend aussi en compte entre autres les zones rurales du pays. Il prévoit une extension de la couverture mobile dans les zones rurales et la mise en place de points numériques communautaires dans les communes éligibles qui n’en sont pas encore pourvues.

Samira Njoya

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Posted On jeudi, 09 février 2023 13:22 Written by

17 ans après la dernière édition qui s'est tenue en 2006, Nigeria s’apprête à faire le 5e recensement de sa population. Pour son bon déroulement, le gouvernement a fait appel aux entreprises technologiques locales capables de relever le défi à l’ère du numérique.

Le gouvernement fédéral du Nigeria, par le biais de la Commission nationale de la population (NPC), a signé un contrat inédit d’une valeur de 184 millions $ avec Zinox Technologies, une entreprise technologique locale basée à Lagos. Le contrat vise à fournir des composants technologiques et d'autres accessoires pour le projet de recensement national prévu entre mars et avril prochain.

« C'est un privilège pour le gouvernement fédéral de nous considérer parmi de nombreuses autres entreprises dans le monde. Il sait que nous avons la capacité. Nous déployons toutes nos ressources pour faire en sorte que ce soit un succès », s’est réjouie Kelechi Okonta, la directrice générale de Zinox Technologies.

En 2006 et 2010, Zinox Technologies avait collaboré avec le gouvernement dans le processus d’inscription électorale. Les entreprises technologiques étrangères sollicitées par la Commission électorale nationale indépendante (INEC) n'avaient pas pu livrer à temps le matériel commandé par le gouvernement.

L'entreprise technologique avait alors  utilisé son dispositif intelligent Z-Pad, sur laquelle l'INEC s'appuie aujourd'hui, pour jeter les bases de la démocratie numérique du Nigeria. La bonne exécution du contrat INEC de plus de 200 millions de dollars en 2010 a donné un nouvel élan au profil de Zinox en tant qu'entreprise tech locale forte, dotée de capacités et de compétences.

Le 4 février, Zinox a fourni à la Comission nationale de la population, le premier lot d'environ 100 000 unités d'assistants numériques personnels (PDA) nécessaires pour le recensement national.

Samira Njoya

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Posted On jeudi, 09 février 2023 11:38 Written by

Quatre ans après la clôture de son tout premier fonds d’investissement axé sur les start-up africaines, Partech lance un deuxième fonds avec les mêmes objectifs mais un montant plus important.

Partech, la société mondiale de capital-risque basée à Californie aux Etats-Unis, a annoncé le mardi 7 février la clôture de son premier tour de table de Partech Africa II, son deuxième fonds d'investissement axé sur l’Afrique. Les capitaux levés, d’une valeur de 245 millions d'euros, serviront à investir dans des start-up africaines à forte croissance et actives dans les secteurs du numérique et de la technologie.

« Nous nous étions fixé un objectif ambitieux pour Partech Africa II, à savoir lever 230 millions d’euros, avec un hard cap à 280 millions d’euros, doublant ainsi la taille de notre premier fonds. Nous avons dépassé cet objectif avec un premier closing déjà supérieur à la taille cible du fonds », a déclaré le Cyril Collon (photo, à gauche), General Partner de Partech Africa.

Soutenu par d'importantes institutions de financement du développement, ainsi que par des investisseurs institutionnels et commerciaux, le fonds Partech Africa II poursuivra la stratégie du premier fonds visant à identifier les start-up en phase de démarrage et de croissance sur le continent.

Le fonds fournira des tickets initiaux de 1 à 15 millions de dollars, de l'amorçage à la croissance, pour soutenir les entrepreneurs qui utilisent une combinaison de technologie et d'excellentes opérations pour répondre à certaines des opportunités difficiles à résoudre, mais très importantes, que le continent africain offre dans tous les secteurs.

A ce jour, le portefeuille de Partech compte 17 entreprises démarrées dans 9 pays africains et opérant désormais dans 27 pays du continent. Partech a investi entre autres dans TradeDepot, Yoco, Wave, Nomba (ex-Kudi), Gebeya, ChatDesk, Reliance Health, MoneyFellows, TerraPay, Tugende, Almentor.

Samira Njoya

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Posted On mercredi, 08 février 2023 12:12 Written by
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