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Sofrecom Tunisie célèbre ce jour ses 10 ans d’existence. A cette occasion, M Michaël Trabbia, Directeur Exécutif Technologies et Innovation d'Orange & Président de Sofrecom a réaffirmé l’engagement de l’entreprise et sa volonté d’être l’acteur de référence pour le développement du numérique en Tunisie et sur le continent africain.  

Société internationale de conseil et d’ingénierie spécialisée dans les télécoms et les nouvelles technologies de l’information, Sofrecom accompagne la transformation et le développement des opérateurs, des gouvernements et des institutions partout dans le monde. Elle leur apporte conseils et solutions opérationnelles en mettant à leur disposition les expertises de ses 2100 consultants et ingénieurs et l’innovation du groupe Orange.

« Nous sommes heureux de vous retrouver, aujourd’hui à Tunis, pour fêter les 10 ans de Sofrecom Tunisie. Ce sont désormais plus de 1000 emplois créés à Tunis depuis l’implantation de Sofrecom dans le pays. Les compétences hautement qualifiées de nos ingénieurs et développeurs formés dans les universités et écoles tunisiennes contribuent activement aux projets d’Innovation d’Orange. Nous sommes fiers de contribuer au développement économique de la Tunisie. », a déclaré Michaël Trabbia.

« Les engagements que nous avions pris pour la création d’emplois hautement qualifiés dans le secteur numérique, ont été dépassés. Sofrecom Tunisie est devenue aujourd’hui la 1ère entreprise de services numériques en Tunisie, et autre élément de fierté, plus de la moitié de ses ingénieurs sont des femmes. Nous comptons poursuivre cette belle dynamique de croissance et de mixité, et faire de la transformation digitale un levier fort de développement et d’inclusion en Afrique », a ajouté Guillaume Boudin, Directeur Général de Sofrecom.

Une croissance du capital humain X100 en 10 ans

Riche de sa diversité et de la mixité de ses équipes : 33 ans est la moyenne d’âge des équipes, 54% de nos ingénieurs sont des femmes, Sofrecom Tunisie répond à une double promesse : être un centre d’excellence à l’international et à haute valeur ajoutée pour le Groupe Orange et pour ses clients, ainsi qu’un acteur clé du développement numérique en Tunisie et en Afrique.

Afin de réaliser cette croissance, Sofrecom capitalise sur son expérience pour former les compétences du futur et préparer les métiers de demain et s’appuie sur un vivier de jeunes diplômés tunisiens formés dans les universités du pays. En plus des partenariats avec une grande partie des écoles d’ingénieurs locales depuis plusieurs années, l’entreprise mise sur une formation de qualité et une stratégie de rétention des talents qui lui permettent d’atteindre ses objectifs.  De nouvelles activités très en vue en ce moment commencent à se développer à Tunis, sur les thèmes de l’Intelligence Artificielle (IA) et de Business Intelligence. En effet, en plus de la recherche, les équipes interviennent sur des composantes IA d’applications et services pour le compte de l’opérateur.

La Tunisie un vivier de compétences dans le numérique

Au cours des célébrations des 10 ans de Sofrecom Tunisie et dans le cadre de la table ronde organisée à cette occasion en présence de partenaires et acteurs de l’écosystème numérique en Tunisie, les intervenants ont rappelé les enjeux de la transformation numérique et l’importance du capital humain comme un élément essentiel à cette transformation. 

La Tunisie au travers de son formidable réseau d’enseignement supérieur, est un levier majeur pour Sofrecom pour ses projets de recherche et d’innovation dans le secteur numérique. En effet, il est à noter que le pays est doté de 30 écoles publiques d’ingénieurs et 28 du secteur privé. Ces écoles assurent la formation des ingénieurs en 96 spécialités réparties sur 223 filières dont 60 filières en informatique.

L’objectif de Sofrecom Tunisie pour les années à venir est de former ses ingénieurs à ces métiers du futur et accompagner l’innovation. Son ambition aussi est de renforcer son engagement sociétal auprès de ses parties prenantes et son écosystème. D’abord en développant davantage les programmes déjà en place en faveur de l’inclusion numérique et la réduction de son impact environnemental ; ensuite en allant vers un engagement à plus large échelle via des partenariats à long terme avec les acteurs de la société civile.

À propos de Sofrecom, The Know-How Network

Sofrecom est un acteur de référence du conseil et de l’ingénierie dans le domaine des télécommunications, des NTIC et de la transformation digitale. Filiale du Groupe Orange, la société développe depuis 50 ans un savoir-faire unique dans les métiers de l’opérateur. Son expérience des marchés matures et des économies émergentes, conjuguée à une solide connaissance des évolutions structurantes de son secteur, en font le partenaire stratégique des opérateurs, des gouvernements et des investisseurs internationaux. Sofrecom dont les missions sont intrinsèquement vouées à l’international, compte 11 implantations dans le monde : France, Géorgie, Maroc, Algérie, Tunisie, Côte d’Ivoire, Middle-East (Dubaï et Arabie Saoudite), Bénin, Côte d’Ivoire, Indonésie, Argentine. Depuis sa création, elle a accompagné la transformation de plus 200 acteurs majeurs dans une centaine de pays en Afrique, au Moyen-Orient, en Asie, en Europe et en Amérique Latine. Forte de 2100 consultants, ingénieurs et analystes issus de plus de 32 nationalités, Sofrecom est riche de sa diversité. Avec l’appui de ses partenaires industriels et des experts de l’innovation d’Orange, elle offre aux organisations un réseau mondial de savoir-faire et d’expertises – The Know-How Network – au service de leur transformation et développement. Pour plus d'informations : www.sofrecom.com

À propos de Sofrecom en Tunisie

Sofrecom Tunisie, est un centre d’excellence et d’expertises digitales et IT qui s’appuie sur ses 1000 chercheurs, développeurs, consultant et ingénieurs hautement qualifiés sur sa proximité avec l’Europe pour répondre de façon souple et réactive aux besoins de ses clients locaux et internationaux. Sofrecom Tunisie est l’un des Hub régionaux de Sofrecom pour adresser ses clients en Afrique et au Moyen-Orient où elle offre des services de veille technologique et concurrentielle, de consulting et d’ingénierie réseaux ainsi que de déploiement de solutions SI.

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Posted On vendredi, 31 décembre 2021 00:41 Written by

Revendiquant 89% de la population couverte par son réseau 4G, Sonatel réfléchit déjà à la prochaine étape pour améliorer l’expérience des consommateurs. La société qui s’est toujours illustrée par son avant-gardisme dans l’innovation se montre disposée à basculer sur l’ultra haut débit.

A travers un second test de la 5G effectué mardi 14 décembre dans la commune de Saly, dans la région de Thiès, la Société nationale des télécommunications (Sonatel) du Sénégal a validé la compatibilité de plusieurs catégories d’équipements et confirmé sa capacité à offrir des services à ultra haut débit à ses consommateurs. Pour cette nouvelle expérimentation réussie, au cours de laquelle elle affirme avoir atteint un débit de 2 gigabit par seconde, la filiale du groupe télécoms Orange a bénéficié de l’expertise du groupe technologique finlandais Nokia.

Selon la Sonatel, ce deuxième test revêt un caractère spécial, car il permet également de réaffirmer que la société « investit massivement sur tous les territoires et qu’elle a la même ambition de qualité de service pour tous les sénégalaises et sénégalais, quelle que soit leur zone de vie ».

L’opérateur télécoms a souligné son ambition de faire « en sorte que la 5G soit un levier essentiel dans la transformation de notre société et de notre économie, dans des domaines clés comme l’agriculture, l’amélioration de la santé publique, l’éducation de nos enfants, l’entrepreneuriat et l’employabilité des jeunes dans l’acquisition de nouvelles compétences ».

Sonatel a testé pour la première fois la 5G au Sénégal le 24 novembre 2020, trois années après le lancement de la 4G+ survenu en septembre 2018. La société révèle avoir investi 439 milliards de Fcfa (757 millions de dollars) dans son réseau au Sénégal, depuis le renouvellement de la licence en 2016, pour offrir à ses clients une expérience incomparable. Elle réclame aujourd’hui une couverture de 89% de la population par la 4G. La 5G n’est en somme que l’évolution logique de ses ambitions de porter plus loin sa qualité de service.

La Sonatel a expliqué « qu’au-delà de l’amélioration de la vitesse, la 5G devrait faciliter l’émergence d’un immense écosystème IoT (Internet des objets) dans lequel les réseaux pourront répondre aux besoins en communication de milliards d’objets connectés, grâce à un compromis équilibré entre vitesse, latence et coût. La 5G permettra, en complément des réseaux 4G existants, de connecter plus de monde simultanément avec des débits jamais atteints jusque-là ».

La technologie laisse présager des revenus supplémentaires pour la Sonatel qui est à l’heure actuelle la seule société télécoms prête à la lancer sur le marché sénégalais.

Muriel Edjo

Posted On vendredi, 31 décembre 2021 00:25 Written by

La Zone de libre-échange continentale africaine est opérationnelle depuis le 1 janvier. Elle est porteuse de nombreuses opportunités d’affaires pour le secteur de l’e-commerce en Afrique. Il est donc crucial que les politiques des pays soient adaptées. Smart Africa Alliance a décidé de s’en enquérir.

Le conseil d’administration du groupe de la Banque africaine de développement (BAD) a approuvé, vendredi 17 décembre, l’attribution d’une subvention de 1,5 million $ à la Smart Africa Alliance, un regroupement de 32 pays d’Afrique, d'organisations et de sociétés internationales qui partagent la vision d’un marché numérique unique sur le continent.

L’argent qui provient du Fonds africain de développement, le guichet concessionnel de la Banque, servira à l’évaluation des lacunes politiques dans les écosystèmes du commerce numérique et électronique de dix pays que sont la Côte d'Ivoire, Bénin, Ghana, Liberia, Ouganda, Soudan du Sud, Zimbabwe, République du Congo, São Tomé et Príncipe et République démocratique du Congo.

Lacina Koné (photo), le président-directeur général de Smart Africa Alliance, a déclaré que « l'un des principaux défis qui empêchent le continent de se préparer à son nouvel avenir audacieux est l'incapacité d'effectuer des paiements transfrontaliers pour des biens et des services en raison d'un manque de solutions et de politiques paralysantes. Notre partenariat avec la Banque africaine de développement est crucial pour créer un environnement propice à la promotion des paiements électroniques, et l'économie numérique est essentielle pour la renaissance de l'Afrique ».

Dans le cadre de sa mission d’évaluation, Smart Africa Alliance consultera les acteurs des secteurs public et privé pour développer un programme de formation en ligne qui bénéficiera directement à 600 parties prenantes, dont des représentants du gouvernement, des petites et moyennes entreprises, des opérateurs de réseaux mobiles du secteur privé, et bénéficiera indirectement à 2 500 autres.

Depuis le 1er janvier 2021, la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf) est officiellement entrée en activité. Elle offre un accès au marché à 1,2 milliard de personnes et un produit intérieur brut (PIB) de 2 500 milliards de dollars dans les 55 Etats membres de l'Union africaine. Elle est présentée par la Commission économique africaine des Nations unies (CEA) comme un atout pour une véritable éclosion de l’e-commerce sur le continent. Mais pour que cette perspective se concrétise, il est important que le cadre légal du e-commerce, propre à chaque nation, soit favorable aux échanges internationaux.

Nicholas Williams, le chef de division de la Banque pour les opérations TIC, a affirmé que « ce projet est à la fois opportun et vital. Pour que le continent crée un marché numérique unifié d'ici 2030, les efforts doivent se concentrer sur l'harmonisation et la construction d'un environnement politique cohérent pour le commerce intracontinental ».

Muriel Edjo

Posted On jeudi, 30 décembre 2021 23:08 Written by
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