Il est un informaticien talentueux et un entrepreneur passionné. En tant que leader dans son domaine, il utilise son expertise en informatique pour soutenir les entrepreneurs locaux et les aider à réussir dans leur entreprise.
Abdelsalam Safi (photo) est un cofondateur et le directeur exécutif de l’incubateur de start-up technologiques WenakLabs. Originaire du Tchad, il est un entrepreneur social et technologique titulaire d’un diplôme d’ingénieur en informatique obtenu en 2011 à l’Ecole supérieure privée d’ingénierie et de technologies (ESPRIT) de la Tunisie.
Son incubateur WenakLabs, fondé en 2014, revendique être à la fois un média lab et un tech hub. Ayant pour objectif de contribuer, par tous les moyens, à la réduction de la facture numérique au Tchad et de promouvoir la culture entrepreneuriale en s’appuyant sur les TIC, Abdelsalam Safi et son équipe développent un espace d’intelligence collective et d’innovation sociale.
Le 18 janvier 2023, il a officiellement inauguré le média lab de sa structure. Cet espace regroupe tous les dispositifs et équipements professionnels pour permettre d’exercer des métiers de l’audiovisuel et du numérique. Il sera possible d’y faire des productions audiovisuelles, des shootings, du graphisme et des émissions Web TV. Le média lab est également un espace de formation en multimédia.
« Notre médialab est un lieu de recherche interdisciplinaire où les chercheurs, artistes, designers, etc. peuvent travailler ensemble pour développer des possibilités des TIC dans le but de résoudre des problèmes et identifier de nouvelles opportunités », déclare Abdelsalam Safi.
Depuis février 2020, Abdelsalam Safi est également le directeur pays de Founder Institute au Tchad. Fondé en 2009, Founder Institute est un incubateur et un accélérateur qui transforme des idées en start-up finançables, et des start-up en entreprises mondiales. Sa série de programmes d’accélération très structurés a donné aux fondateurs l’orientation et le réseau mondial nécessaires pour créer une entreprise significative. Abdelsalam Safi est aussi un partisan de l’organisation à but non lucratif Free Software Foundation depuis 2006.
Son parcours professionnel a commencé en 2011 dans son université ESPRIT, en tant que stagiaire. Il y a fait des travaux d’étude et d’intégration des applications hétérogènes dans une architecture orientée service (SOA) en utilisant un bus de médiation open source (Apache ServiceMix). Il a enseigné entre 2013 et 2014 à l’institut universitaire de sciences et techniques d’Abéché au Tchad. Il y était chargé de cours de programmation orientée objet avec Java.
Melchior Koba
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La formation des jeunes aux métiers du numérique est un gage de développement du secteur en Afrique. Au Mali comme dans plusieurs pays du continent, les centres de formations se multiplient pour accélérer la dynamisation du secteur.
Danew Talla Electronics, la coentreprise de droit malien formée par la société française Danew et l’entreprise malienne Talla Telecom, s’est associée au Complexe numérique de Bamako pour former plus de jeunes dans les métiers du numérique et accélérer la numérisation du pays. Les deux entreprises ont signé le lundi 23 janvier une convention de partenariat à cet effet.
Signature de Convention entre @technopolemali & #DanewTallaElectronics en présence des Ministres @McenMali et @MENEFP_mali
— Complexe Numérique de Bamako (@technopolemali) January 24, 2023
Il y a eu la signature de la convention et l'inauguration du Centre d'Excellence #CEDEX
Vivement la suite des activités@hamedsalif @AfDB_Group @MalickMAIGA4 pic.twitter.com/Hjiyu6b2IZ
Hamed Salif Camara, le directeur général du Complexe numérique de Bamako, a indiqué que cet investissement contribuera à la réalisation d’un des objectifs du complexe, à savoir l’assurance du développement du potentiel des TIC. « Nous appelons à vous associer à nous et à toutes les entreprises du numérique afin de prendre en charge le financement des start-up pour que nous puissions demain espérer un Mali plus intelligent et plus brillant pour chacun d’entre nous », a-t-il déclaré.
En marge de cette signature, les autorités maliennes ont procédé au lancement officiel du centre d’excellence (CEDEX), créé par Danew Talla Electronics. Le CEDEX, qui a débuté ses formations gratuites en novembre dernier, a déjà accueilli une sélection de 47 jeunes envoyés par le consortium d’ONG hollandaises du Programme de Gouvernance Locale Redevable Plus (PGLR+). De plus, entre janvier et mars 2023, plus de 150 jeunes seront formés aux métiers du numérique, selon le responsable du centre.
A travers toutes ces actions, les entreprises ambitionnent de participer à la stratégie pour le développement du numérique au Mali baptisé « Mali Numérique 2020 » qui vise à positionner le Mali comme un des Hubs technologiques en Afrique de l’Ouest.
Samira Njoya
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L'appel à candidatures pour participer au programme d'accélération numérique du SME Growth Lab Africa fermera le 29 janvier 2023. Lancé en début d'année, la première édition du SME Growth Lab Africa cible les entrepreneurs de 18 à 40 ans désireux d'acquérir des compétences numériques et diverses autres connaissances pour transformer leurs sociétés et stimuler leur croissance économique. Les candidats retenus participeront à une formation intensive de 4 semaines en ligne dès le 2 février.
Pour participer : https://www.smegrowthlabafrica.com/apply
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En tant qu’acteur de la scène technologique nigériane, il est passionné par l’utilisation des innovations pour l’amélioration de l’éducation. Grâce à sa start-up AltSchool Africa, il contribue à la création de talents au Nigéria et en Afrique.
Adewale Yusuf (photo) est un entrepreneur technologique nigérian. Il a fait des études en science politique et économie à l’université d’Ibadan et est le fondateur et le président-directeur général de la start-up de technologie éducative AltSchool Africa.
Lancée en 2021, AltSchool Africa est une école pour tous ceux qui désirent acquérir des compétences techniques et lancer une carrière dans la technologie. Basé à Kigali, au Rwanda, il utilise une approche moderne de formation en dispensant des cours directement liés à la filière choisie par l’apprenant. Son programme d’études allie la théorie sur sa plateforme à la pratique sur le terrain, garantissant ainsi la transformation de quiconque en ingénieur logiciel de haut niveau en l’espace d’un an.
D’après Adewale Yusuf, AltSchool Africa a déjà des start-up prêtes à embaucher ses diplômés en tant que stagiaire. « Nous avons recruté certaines des meilleures start-up du marché, et c’est l’une des choses les plus excitantes de ce que nous faisons », déclare-t-il. En janvier 2022, la start-up a levé un million de dollars de pré-amorçage pour combler la pénurie de talents débutants en Afrique.
L’idée de créer AltSchool Africa est née pendant qu’il gérait TalentQL, une start-up qu’il a créée en 2020 pour embaucher, développer et gérer les talents à distance pour les entreprises mondiales. En effet, il a réalisé qu’il y a une grande lacune dans les connaissances de certains des ingénieurs en logiciels qui passaient par le processus de vérification de son entreprise lorsqu’il s’agissait de comprendre les éléments de base du génie logiciel. AltSchool résout donc ce problème.
Par ailleurs, Adewale Yusuf est un cofondateur et ancien éditeur de Techpoint.africa. Ce dernier est une plateforme médiatique consacrée aux start-up, à l’entrepreneuriat, à l’innovation et à la technologie en Afrique.
Mentor à Techstars et membre du conseil d’administration de Life Beyond Disability Foundation, un organisme à but non lucratif qui défend les droits et l’autonomisation des personnes vivant avec un handicap en Afrique, Adewale Yusuf a également fondé Techpremier Media en 2016. Il fut également le fondateur en 2013 et le photographe principal de OnedotPhoto.com jusqu’en 2017.
L’entrepreneur a travaillé pour la société de services et de conseil informatique Danami Nigeria en tant que testeur QA (quality assurance) & UX (user experience) pour Nokia Life Tools entre 2011 et 2012. De 2012 à 2014, il était un blogger à OTEKBITS.com.
Melchior Koba
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L’accès à une éducation de qualité n’est pas encore une réalité en Afrique. C’est l’une des raisons qui ont poussé des tech entrepreneurs à mettre en place une solution pour faciliter les études à l’étranger pour les ressortissants africains.
Educatly est une solution numérique développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux étudiants d’accéder aux diverses opportunités dans le secteur de l’enseignement supérieur. L’objectif est de mettre en relation les étudiants et les universités dans le but de faciliter les études à l’étranger pour les uns, et entre autres d’attirer les étudiants brillants pour les autres. La start-up a été fondée en 2020 par Abdelrahman Ayman, Joan Manuel Sanchez Barbera et Mohmmed Sief. Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 1 million $ pour accélérer sa croissance.
« Les étudiants veulent avoir un accès transparent à toutes les possibilités qui s'offrent à eux tout en bénéficiant d'un soutien aussi personnalisé que possible pour prendre la meilleure décision possible. Chez Educatly, les utilisateurs peuvent parcourir la plus grande base de données à jour au monde, avec plus de 120 000 opportunités d'enseignement supérieur dans le monde entier, et filtrer en fonction de leur profil et de leurs préférences pour trouver les programmes les plus pertinents pour eux », a déclaré Abdelrahman Ayman en 2021.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. Il faut créer un compte pour accéder aux multiples fonctionnalités. D’ailleurs, il est possible de vivre l’expérience Educatly en tant qu’étudiant, comme représentant d’une université ou comme étudiant ambassadeur. En effet, la start-up égyptienne veut faire en sorte qu’on retrouve toutes les écoles du monde, chaque programme qu'elles proposent, chaque bourse, chaque cours de langue et chaque professeur et ambassadeurs à un seul et même endroit.
Educatly revendique 100 000 étudiants dans son programme venant de 90 pays, elle est en partenariat avec 3 000 universités et la plateforme draine plus de 150 000 utilisateurs actifs. « Nous tirons parti des dernières technologies pour réduire les programmes les plus pertinents afin de soutenir le processus de décision pour eux et offrons un soutien personnalisé grâce à notre réseau de consultants et d'ambassadeurs », a indiqué Abdelrahman Ayman.
Adoni Conrad Quenum
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Le Fonds de capital-risque de l'UNICEF va investir jusqu'à 100 000 dollars dans plusieurs jeunes entreprises technologiques à but lucratif qui ont le potentiel de lutter contre le changement climatique.
Les start-up éligibles à ce programme sont celles qui exploitent des technologies de pointe tels que les drones, la blockchain, l’intelligence artificielle, l'apprentissage automatique…
Les candidatures sont recevables jusqu'au 23 janvier 2023 à travers le lien
https://form.jotform.com/222984466156163
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La pandémie de la Covid-19 et la maladie à virus Ebola ont mis en lumière la fragilité du système éducatif dans de la Guinée, d’où la nécessité de mettre en place des outils innovants pouvant être utilisés en complément de l’enseignement dispensé en classe.
Le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF) et le ministère guinéen de l’Enseignement pré-universitaire ont procédé, le vendredi 13 janvier, au lancement de la phase pilote de la plateforme d’apprentissage « Learning Passport ». C’était à l’école élémentaire de Gbessia Port 1, dans la commune de Matoto à Conakry. La nouvelle Plateforme digitale, créée dans l’optique d’appuyer l'apprentissage des élèves, permettra un accès continu aux ressources éducatives pour les enfants, les jeunes et les enseignants.
UNICEF et le Ministère de l’Enseignement Pré-Universitaire ont lancé la phase pilote du #LearningPassport à #Conakry
— UNICEF Guinea (@UNICEFGuinea) January 16, 2023
👉 Plateforme digitale permettant un accès continu à l'#education pour les enfants, les jeunes et les enseignants, accessibles avec ou sans Internet. pic.twitter.com/fTZSO5y2Dr
Selon le Dr Adama Ouédraogo (photo, à gauche), représentant par intérim de l'UNICEF en Guinée, la nouvelle plateforme contribuera efficacement à l’éducation dans le pays. « Elle permettra d'améliorer les enseignements et les apprentissages et de valoriser les compétences et les connaissances acquises de manière formelle ou informelle. Pour les élèves, cela signifie avoir un accès continu à leur programme de scolarité ainsi qu'à des contenus supplémentaires. Quant aux enseignants, cela représente un accès permanent à des opportunités de formation et de soutien pédagogique ».
Pendant les quatre prochains mois, la plateforme sera testée dans deux écoles pilotes de Conakry, à savoir celles de Ratoma Centre et Gbessia port 1. L’Institut national de recherches archéologiques préventives (INRAP), avec l’appui de l’UNICEF, va procéder à l’évaluation de l’accessibilité des élèves et des enseignants à la plateforme Learning Passport, en vue d’apprécier leur capacité à exploiter les contenus numériques de celle-ci.
Il faut noter que la plateforme Learning Passport, délivrée par l'UNICEF et optimisée par Microsoft Community Training, a été développée avec une suite unique de fonctionnalités et de capacités en ligne et hors ligne. La plateforme sera déployée en priorité dans les endroits où la connectivité Internet est intermittente ou inexistante — souvent des endroits où les enfants se trouvent dans l'impossibilité d'accéder à des outils et des contenus éducatifs numériques de qualité.
Samira Njoya
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Gebeya, la plateforme qui permet aux petites et moyennes entreprises africaines de s’offrir plus facilement des compétences dans le domaine du digital, a annoncé le vendredi 13 janvier l’obtention d’un financement de pré-série A non divulgué de la part d'une société de capital-risque japonaise.
La start-up, basée en Ethiopie, prévoit d'utiliser ces fonds pour passer d'une simple place de marché biface pour les talents technologiques à un fournisseur de places de marché selon un modèle « Marketplace-as-a-Service ».
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L’Afrique est en pleine transformation numérique. Il devient urgent d’avoir une main-d'œuvre hautement qualifiée, prête pour l'industrie et ayant une expérience des projets réels, pour poursuivre cette transformation et favoriser la 4e révolution industrielle tant attendue sur le continent.
Mardi 10 janvier, la fondation Africa to Silicon Valley (A2SV) a annoncé, à travers un communiqué, l’obtention d’un financement de Google dans le cadre de ses initiatives visant à soutenir la diversité des talents technologiques en Afrique.
Le communiqué renseigne que ce financement, dont le montant n’a pas été dévoilé, permettra à la fondation d'établir un bureau permanent en Ethiopie, d'embaucher d'autres responsables de l'éducation et un chef de produit. L'objectif visé est d'étendre la présence d'A2SV au Ghana et de former 330 étudiants supplémentaires en Ethiopie et au Ghana au cours des deux prochaines années.
Soulignant le rôle clé de la fondation chez les jeunes apprenants, Emre Varol, le fondateur et responsable de l'exécution chez A2SV, a déclaré que « l'enseignement académique ne parvient pas à les doter des compétences dont ils ont besoin dans des contextes réels. Nous comblons cette lacune grâce à notre programme de formation rigoureux comprenant des cours quotidiens, des bootcamps et des projets réels ».
A en croire un rapport du cabinet international de conseil en gestion des talents et des organisations Korn Ferry, le monde pourrait connaître une pénurie de plus de 85 millions de travailleurs dans le secteur des technologies d'ici 2030. L’Afrique ayant la population la plus jeune au monde, avec plus de 400 millions de jeunes âgés de 15 à 35 ans, pourrait combler ce déficit si les talents technologiques sont formés à temps.
Fondée en 2019, la fondation Africa to Silicon Valley a fait du développement des meilleurs talents une priorité. La fondation offre un programme de formation rigoureux qui prépare les candidats à réussir les entretiens avec les principales entreprises technologiques. La formation couvre différents aspects tels que les algorithmes et les structures de données, les compétences générales et l'expérience de projets réels.
Samira Njoya
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Amoureuse des nouvelles technologies, elle se bat farouchement pour l’autonomisation des femmes africaines dans le numérique. Elle est considérée comme l’une des pionnières de la promotion des TIC pour tous en Côte d’Ivoire et en Afrique.
Christelle Assirou (photo) est une entrepreneure technologique ivoirienne. Au service de l’autonomisation des femmes dans le numérique, elle fonde en 2007 l’organisation non gouvernementale « Femmes & TIC » qui a pour mission de contribuer à la pleine participation de la femme et de la jeune fille dans la construction de la société de l’information.
« Aujourd’hui, les femmes ont 14 % moins de chance de posséder un téléphone portable que les hommes. Le digital peut offrir des opportunités énormes aux femmes si nous parvenons à réduire les inégalités qui résultent notamment du manque de formation et du manque d’un réseau vertueux », affirme Christelle Assirou à l’occasion des Journées européennes du développement qui se sont déroulées en juin 2019.
Christelle Assirou est la présidente-directrice générale de l’entreprise ICTINA qui se définit comme une agence se positionnant à mi-chemin entre un cabinet de conseil en stratégie marketing et transformation digitale, une agence de marketing opérationnel ou de communication et une agence digitale.
Elle est diplômée de l’unité de formation et de recherche de sciences économiques et de gestion (UFR SEG) où elle a obtenu un master en gestion, finances, comptabilité et marketing en 2001 et un DESS (diplôme d’études supérieures spécialisées) en marketing en 2008. Depuis 2013, elle est également l’initiatrice et la coordonnatrice du réseau « Femme, Numérique et Développement ».
Christelle Assirou est aussi un membre fondateur, en 2006, d’Internet Society Côte d’Ivoire (ISOC CI), la section locale de l'association américaine spécialisée dans la sécurité informatique ISOC. Cependant, sa carrière professionnelle décolle en 2004 au sein de COMETE, une filiale du groupe SIFCA où elle passe plus de trois ans comme responsable des services commerciaux.
En 2008, elle devient directrice associée d’Open Technologies en Côte d’Ivoire avant de rejoindre, en 2013, la société Smile en tant que directrice commerciale et marketing. De 2016 à 2017, elle a travaillé en tant que conseillère technique chargée de l’inclusion numérique au ministère de la Promotion de la femme, de la Famille et de la Protection de l’enfant de Côte d’Ivoire.
Commissaire générale de la deuxième édition du salon Africa Open Innovation Summit qui s’est tenu les 20 et 21 octobre 2022, Christelle Assirou a participé en 2020 à l'initiative eTrade for Women. Elle a été désignée par l’UNESCO comme l’une des femmes les plus remarquables dans le domaine de la technologie. En 2021, elle a organisé une masterclass dédiée spécialement aux femmes entrepreneures afin de créer une synergie entre les femmes qui entreprennent dans le numérique dans la sous-région.
Melchior Koba
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