Entrepreneur en série, il a déjà fondé trois entreprises dans le secteur des sciences et de la technologie. Sa dernière start-up vise à simplifier les processus de paiement pour les entreprises.

Mohamed Abdelmottaleb (photo) est un entrepreneur en série égyptien. Il est l’associé-gérant et le fondateur de XPay, une société de technologie financière qui propose des solutions de transformation numérique en mettant l’accent sur l’autonomisation financière.

Fondée en 2018, XPay vise à améliorer la qualité de vie en proposant une gamme de solutions pour optimiser la gestion financière. Elle permet aux entreprises de gérer tous types de paiements, en offrant diverses options de transaction et un contrôle total via un tableau de bord unique.

Pour les organisateurs d’événements, XPay simplifie également la gestion de bout en bout, de la création de l’événement à la vente de billets, et propose des liens de paiement uniques pour faciliter les transactions. Sa passerelle de paiement innovante s’adapte aux entreprises de toutes tailles, facilitant un processus de paiement simplifié pour les opérations en ligne.

Avant de fonder XPay, Mohamed Abdelmottaleb a lancé SabryCorp Ltd en 2006, une entreprise dédiée à l’amélioration des conditions de vie dans les pays en développement par la science et l’innovation. En 2011, il a cofondé Trendak, une société spécialisée dans l’analyse de données et l’intelligence artificielle.

Mohamed Abdelmottaleb est diplômé de l’Ain Shams University où il a obtenu en 1997 un bachelor en chimie. Il est titulaire d’un doctorat en nanotechnologie obtenu en 2002 à KU Leuven, une université belge pluridisciplinaire axée sur la recherche.

En 2004, il a intégré l’université de technologie de Chemnitz en Allemagne en tant que chercheur principal, et en 2009, il est devenu professeur adjoint à l’université du Nil en Egypte. A cette occasion, il a fondé le Centre de nanotechnologie et a dirigé pendant cinq ans le programme de maîtrise en nanotechnologie de l’université.

Melchior Koba

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Après des études en finance, il a accumulé plusieurs années d’expérience en travaillant dans diverses entreprises. Il utilise la technologie pour proposer des solutions financières aux populations.

Tshepo Moloi (photo) est un entrepreneur sud-africain et un expert en finance et en économie. Il est le fondateur et le président-directeur général de Stokfella, une start-up de technologie financière.

Fondée en 2016, Stokfella est née de l’idée de moderniser l’épargne collective et de favoriser la croissance des communautés. En combinant technologie, finance et économie solidaire, la start-up s’efforce de transformer la manière dont les Sud-Africains épargnent et construisent un patrimoine en groupe.

La start-up facilite la gestion des tontines en permettant aux organisateurs de former des groupes, de fixer des objectifs d’épargne, et d’effectuer des paiements sécurisés, tout en suivant l’évolution des objectifs financiers communs. Stokfella propose également des tutoriels et des conseils d’experts pour accompagner ses utilisateurs dans leur parcours d’épargne collective.

Tshepo Moloi est titulaire de plusieurs diplômes obtenus à l’université de Johannesburg. En 2009, il obtient un master en ingénierie mécanique. En 2010, il obtient un master en gestion d’entreprise, économie comptable et droit des sociétés. En 2018, c’est un master en finance qu’il obtient.

Sa carrière professionnelle a débuté en 2008 à l’Université de Johannesburg où il enseignait. En 2011, il rejoint Nedbank, une société financière sud-africaine, où il travaille d’abord comme spécialiste de la tarification. Il y a ensuite occupé les postes de gestionnaire des initiatives de tarification et de révision des prix, puis d’analyste stratégique.

Melchior Koba

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Malgré le développement de la numérisation en Afrique, le Mobile Money comme option de paiement demeure encore assez peu proposé sur plusieurs plateformes de services. La collaboration entre opérateurs télécoms et leaders du secteur des solutions bancaires, porteuse de nombreuses promesses, est la bienvenue.

Mastercard et Orange Middle East and Africa (OMEA) annoncent ce mardi 29 octobre la signature d’un partenariat stratégique. Il permettra à des millions de titulaires de portefeuilles Orange Money d’obtenir instantanément une carte de débit virtuelle ou physique, liée directement à leur portefeuille Orange Money dès 2025. Ces cartes permettront aux abonnés Orange Money d’effectuer des paiements transparents, à la fois localement et internationalement, vers des commerçants et sur n'importe quel site web ou application mobile acceptant Mastercard.

Le nouveau service sera initialement lancé au Cameroun, en République centrafricaine, en Guinée-Bissau, au Liberia, au Mali, au Sénégal et en Sierra Leone. Aminata Kane, présidente-directrice générale du groupe Orange Money pour le Moyen-Orient et l'Afrique, explique qu’en « offrant à nos utilisateurs la possibilité de payer sans effort avec la carte virtuelle Mastercard, nous ouvrons la porte à un monde de nouvelles possibilités et favorisons leur indépendance financière ».

Pour Amnah Ajmal, vice-présidente exécutive du développement du marché, Mastercard EEMEA, cette collaboration « avec Orange Money représente une étape importante dans l'exploitation du plein potentiel des services financiers numériques en Afrique, permettant à des millions de personnes de participer à l'économie mondiale ».

Selon l’African Digital Banking Transformation Report 2023 (African Banker et Backbase), le taux de bancarisation de la population adulte d’Afrique subsaharienne se situait à 48 % l’année dernière. Ce chiffre classe la région parmi celles avec un faible niveau d’inclusion financière. Une fois généralisé aux 17 filiales d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient, le partenariat entre MasterCard et Orange MEA promet l’entrée de 37 millions d’abonnés Orange Money actifs dans un nouvel univers de possibilités financières.

L’expertise de Mastercard en matière de sécurisation des passerelles de paiement, sa connaissance du marché local et des solutions sur mesure pour les petites et moyennes entreprises (PME) garantira le potentiel de ce partenariat à transformer la façon dont des millions de personnes accèdent aux services financiers et participent à l'économie numérique.

Les clients qui désireront expérimenter ce nouveau service devront introduire une demande de carte de débit virtuelle sur la super application Max it d’Orange et retirer une carte physique dans un point de vente Orange Money Mastercard.

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Entrepreneur spécialisé dans la technologie et la finance, il dirige deux entreprises qu’il a fondées. Son travail novateur lui a valu de nombreuses récompenses et distinctions pour ses solutions innovantes.

Muriuki Collins (photo) est un informaticien et entrepreneur technologique kényan, reconnu pour son expertise et ses contributions au secteur des finances en Afrique. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Terra, une entreprise offrant des services innovants de portefeuilles numériques.

Fondée en 2012 par Muriuki Collins et Martin Nyaga, Terra permet aux entreprises africaines de réaliser leurs ambitions financières grâce à une plateforme qui centralise et simplifie l’accès à divers services financiers. En intégrant des fonctionnalités telles que les paiements, les prêts et la vérification d’identité (KYC), Terra propose une solution unique pour la gestion et le déploiement des portefeuilles numériques sur le continent.

Aujourd’hui, Terra est active dans plus de 25 pays et gère déjà plus de 5 millions de portefeuilles mobiles. Parmi ses principaux clients figurent la Kenya Tea Development Agency, qui représente au moins 650 000 agriculteurs, ainsi que Food for Education, une plateforme mobile soutenant un million d’écoliers.

En parallèle, Muriuki Collins a fondé en 2017 SwypePay, dont il est le président-directeur général. La start-up est dédiée à l’automatisation des opérations commerciales pour les petites et moyennes entreprises en Afrique, facilitant ainsi leur croissance et leur développement.

Le Kényan est diplômé de la Jomo Kenyatta University of Agriculture and Technology où il a obtenu en 2013 un bachelor en technologie des systèmes informatiques. Sa carrière professionnelle a commencé en 2011 chez Novel Technologies EA Ltd où il était ingénieur système. De 2014 à 2019, il a travaillé comme consultant fintech pour la Kenya Tea Development Agency.

En 2023, Muriuki Collins a été classé parmi les « Top 40 Under 40 » du Business Daily, qui recense les personnalités influentes et progressistes ayant marqué les affaires au Kenya. Il a également été reconnu par The Founder Africa comme l’un des entrepreneurs les plus prometteurs du continent.

Melchior Koba

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Le secteur informel est très développé dans plusieurs pays du continent. Dans le but de soutenir les acteurs de ce secteur, deux tech entrepreneurs ont mis en place une solution de technologie financière.

Waribei est une solution fintech développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux petits commerçants de se procurer des stocks de marchandises directement chez des grossistes et à ces derniers d’accéder aux crédits des banques. La start-up, basée à Abidjan, a été fondée en 2023 par Ladislas Pham et Frédéric Fameni.

Plus tôt dans le mois, elle a annoncé la réussite d’un tour de table d’un montant de 750 000 euros (environ 813 500 $) auprès de Mstudio et Saviu Ventures. Les fonds seront utilisés pour développer ses activités et soutenir sa croissance.

« Nous passons du temps dans les marchés, à comprendre les défis qu’ils rencontrent au quotidien, afin de concevoir des solutions qui répondent véritablement à leurs besoins. Chez Waribei, nous voulons nous assurer que les commerçants peuvent développer leurs activités sans se soucier de maintenir des niveaux de stock ou de lutter pour obtenir des prêts », a indiqué Ladislas Pham.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android. L’utilisateur se crée un compte et vérifie si son fournisseur fait partie des partenaires de la start-up. Sinon, il peut opter pour un autre fournisseur de Waribei afin de bénéficier des avantages qu’offre la start-up à ses clients. Chaque utilisateur dispose d’un montant qui constitue l’avance disponible pour acheter des stocks de marchandises. Avec un QR Code préalablement généré (waricode), l’utilisateur peut effectuer ses achats auprès d’un fournisseur en partenariat avec Waribei.

La fintech sert ainsi de lien entre les banques, les fournisseurs et les petits commerçants. Elle a pour ambition de s’étendre à d’autres pays d’Afrique francophone.

Adoni Conrad Quenum

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En mars dernier, la société américaine Pay Rem Group Africa a annoncé plusieurs projets numériques au Congo. Elle s’est associée avec un ministère stratégique.

Jacqueline Lydia Mikolo, ministre des Petites et moyennes entreprises (PME) et de l'Artisanat, et André Bouassa, président-directeur général de Pay Rem Group Africa, une entreprise américaine spécialisée dans la modernisation des services financiers, ont signé le vendredi 11 octobre à Brazzaville un protocole d'accord. L’objectif est de soutenir les projets numériques et technologiques au Congo.

« Notre partenaire, Pay Rem Group Africa, va nous accompagner dans la formation, la conception des solutions numériques et technologiques, mais aussi nous aider à lever des financements dans ce domaine », a expliqué Jacqueline Lydia Mikolo.

Cet accord intervient quelques mois après la signature d’un protocole d’accord avec l’Agence de développement de l'économie numérique (ADEN) et la Société des postes et de l'épargne du Congo (Sopeco) dont le but est de stimuler l'inclusion numérique et de réduire la fracture numérique dans le pays. Il s’inscrit dans le cadre de la stratégie « Congo Digital 2025 » dont l’un des objectifs est de favoriser un accès équitable aux services numériques pour tous les citoyens.

Ce partenariat pourrait permettre une meilleure intégration des technologies numériques dans les PME, contribuer à la modernisation de l'économie congolaise et à la création d'emplois dans le secteur technologique. Il pourrait également faciliter l’accès aux opportunités de formation pour les entrepreneurs, ou encore aux solutions de financement pour soutenir les projets numériques.

Adoni Conrad Quenum

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A l'instar de nombreux pays africains, l'Algérie s'efforce d'améliorer le niveau de vie et de moderniser ses infrastructures. Le lancement d’un système de paiement instantané s'inscrit dans ces efforts pour une prospérité durable et une inclusion financière renforcée.

L’Algérie se prépare à lancer un système de paiement électronique instantané dans les prochains mois. C’est ce qu’a annoncé Nabil Dahia, vice-directeur général du Centre de pré-compensation interbancaire (CPI), lors de la Conférence internationale sur les paiements numériques organisée la semaine passée par le ministère algérien des Finances et la Banque d’Algérie, en partenariat avec le Fonds monétaire arabe (FMA).

« La Banque d’Algérie se prépare au lancement du projet de système de paiement instantané afin d’atteindre des objectifs stratégiques liés à l’inclusion financière, d’améliorer l’accès aux services de paiement et de réduire les coûts et les risques associés aux transactions », a déclaré Nabil Dahia.

Le futur système permettra d’effectuer des transactions financières en ligne de manière instantanée, permettant aux commerçants de recevoir immédiatement le montant des transactions. A l’heure actuelle, les fonds versés par les clients sont crédités sur le compte du commerçant après un délai pouvant atteindre 72 heures. Cette évolution représente un saut qualitatif dans le secteur des services bancaires, visant à fluidifier les paiements et à faciliter les échanges.

L'initiative s'inscrit dans le cadre des efforts du gouvernement pour promouvoir l’adoption des paiements électroniques et généraliser l’utilisation des services bancaires numériques. Elle vise également à accélérer la numérisation des transactions commerciales et à renforcer l’inclusion financière, en facilitant l’accès de tous les citoyens, y compris les non-bancarisés, aux services de paiement modernes.

Les résultats de ces efforts sont déjà visibles, notamment à travers le dernier rapport de l’Union internationale des télécommunications (UIT) sur le niveau de développement TIC. Ce rapport, publié en juin, attribue à l’Algérie un score de 80,9 sur 100, une nette progression par rapport aux 77,8 points obtenus en 2023. Cette augmentation témoigne des actions concrètes menées par le gouvernement pour moderniser ses infrastructures numériques et améliorer l’accès aux TIC.

Le lancement du système de paiement instantané devrait ainsi renforcer la compétitivité du pays dans l’économie numérique, faciliter les transactions pour les entreprises et les particuliers, et contribuer à la réduction de l’usage de l’argent liquide. En parallèle, il pourrait ouvrir la voie à d'autres innovations dans le secteur bancaire, telles que l'intégration des portefeuilles mobiles et l’expansion des services financiers inclusifs, notamment pour les populations rurales.

Samira Njoya

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Il est passionné par l’utilisation de la technologie pour développer des solutions efficaces. A travers ses deux entreprises, il veille à la santé financière et au bien-être des Marocains.

Othmane Bennani Smires (photo) est un ingénieur mécanique et entrepreneur marocain, il est fondateur et président-directeur général de PayLik, une start-up spécialisée dans la technologie financière. L’objectif de cette entreprise est d’améliorer la santé financière des employés.

Fondée en 2021, PayLik propose une plateforme de bien-être financier visant à simplifier et rationaliser la gestion des avances sur salaire. Grâce à cette plateforme, les employés peuvent demander et recevoir instantanément une partie de leur salaire, ce qui leur permet de faire face à des dépenses imprévues ou d’éviter des prêts coûteux.

Les avances sur salaire sont versées sur des cartes prépayées sécurisées, réduisant ainsi les risques et la complexité liés aux transactions en espèces. Cette solution favorise également l’inclusion financière des employés non bancarisés. En prenant en charge la gestion des avances sur salaire, PayLik allège la charge administrative des services des ressources humaines.

En parallèle, Othmane Bennani Smires est un cofondateur et un membre du conseil d’administration d’Ish, une start-up créée en 2015. Ish a pour mission de rendre l’alimentation saine accessible à tous. Chaque jour, elle livre environ 2 000 repas nutritifs grâce à un programme varié de services.

Othmane Bennani Smires est diplômé de l’Institut national des sciences appliquées (INSA) de Rouen, en France, où il a obtenu en 2009 un diplôme en ingénierie mécanique. Sa carrière a débuté en 2008 au Complexe de Recherche Interprofessionnel en Aérothermochimie (CORIA) où il a effectué un stage en simulation numérique de la combustion. En 2010, il a rejoint PwC, un réseau de cabinets spécialisé dans l’audit, le conseil et la fiscalité, en tant qu’associé senior.

Melchior Koba

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Elle est consciente des difficultés rencontrées par les professionnels de la logistique pour obtenir des prêts afin de financer leurs activités. Pour y remédier, elle mise sur la technologie et facilite les transactions de prêt en ligne.

Gugulethu Siso (photo) est une experte en marketing et une entrepreneure zimbabwéenne. Elle est la fondatrice et la présidente-directrice générale de Thumeza, une plateforme de technologie financière qui offre des financements basés sur les données aux acteurs de la logistique à travers l’Afrique.

Fondée en 2018, Thumeza a débuté en proposant des services de livraison du dernier kilomètre pour des sites de commerce électronique, des petites entreprises et des détaillants de la région de Bulawayo, au Zimbabwe. En 2019, elle s’est transformée en une plateforme dédiée au fret, coordonnant une flotte de petits transporteurs. Ce n’est qu’en 2021 que Thumeza est devenue une plateforme de financement pour les acteurs de la logistique.

Thumeza utilise une solution en ligne de gestion de prêts pour fournir des crédits aux petits transporteurs, via des services d’affacturage et de règlement anticipé des factures. Elle gère l’ensemble du processus de prêt pour ses partenaires de distribution, comme les entreprises de biens de consommation courante et les agrégateurs logistiques, leur permettant ainsi de se concentrer sur leurs activités principales.

Gugulethu Siso est également membre représentante pour l’Afrique australe de l’Afrikan Youth Business Council, une organisation continentale regroupant des entités, institutions et associations du secteur privé dirigées par des jeunes en Afrique. En 2015, elle a cofondé Ninety Nine Investments, dont elle a été directrice générale jusqu’en 2017. Cette entreprise propose aux détaillants des solutions complètes de gestion des chariots.

L’entrepreneure est diplômée de l’université de Namibie, où elle a obtenu en 2015 un Bachelor en marketing stratégique. En 2022, elle a participé en tant que coach au programme de formation à l’entrepreneuriat pour les femmes de Future Females.

Gugulethu Siso est une ancienne élève du programme d’entrepreneuriat Tony Elumelu (2018) et lauréate provinciale du programme Youth Connekt (2019). En 2020, elle a été sélectionnée pour l’Académie des femmes entrepreneurs, a fait partie de la cohorte de Google for Startups Accelerator Africa, et a été reconnue comme l’une des dix jeunes les plus remarquables de la JCI (Junior Chamber International) Zimbabwe.

Melchior Koba

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Ancien banquier d’affaires passionné par la technologie et l’innovation, il est devenu entrepreneur dans le domaine des nouvelles technologies. Il a lancé une banque numérique dans son pays.

Schalk Burger (photo) est un comptable de formation et un entrepreneur sud-africain. Il est le fondateur et président-directeur général de Xhuma, une banque entièrement numérique visant à offrir une plus grande liberté financière à ses utilisateurs.

Fondée en 2021, Xhuma est une start-up spécialisée dans les technologies financières, proposant diverses solutions aux Sud-Africains. Grâce à PeerPay, les utilisateurs peuvent envoyer et recevoir de l’argent instantanément. Avec LoyaltyHub, la start-up centralise les cartes de fidélité et les offres promotionnelles les plus intéressantes, tout en garantissant la sécurité des comptes transactionnels.

Xhuma propose également SpendSense, qui aide les utilisateurs à gérer leurs dépenses de manière responsable. Avec GroupPay, il est possible de partager des factures avec ses proches. Group Vaults, quant à lui, permet de gérer cotisations, épargne, retraits et paiements sans les tracas administratifs ni les frais supplémentaires. Enfin, TravelGenius facilite la réservation de vols, hébergements, excursions et navettes aéroportuaires pour les Sud-Africains.

Schalk Burger est aussi le fondateur et le PDG de Xhuma Talent, une plateforme lancée en 2020, alimentée par l’intelligence artificielle, qui met en relation des talents avec des opportunités d’emploi en entreprise. En 2010, il a fondé Clothing4children, une initiative caritative de collecte de vêtements. En 2014, il a cofondé le Samaritan Fund, une organisation visant à répondre aux besoins sociaux croissants en Afrique du Sud, dont il a été le directeur jusqu’en 2021.

L’entrepreneur est diplômé de la Stellenbosch University où il a obtenu en 2017 un bachelor en comptabilité et en droit. Dans la même année, il a obtenu à l’université de Johannesburg un bachelor comptabilité. En 2018, il a rejoint Investec, une société de gestion financière, en tant qu’auditeur interne.

En 2020, Schalk Burger a reçu plusieurs distinctions. Entre autres, il a été finaliste pour le prix du PDG de l’année à l’Africa Tech Week et pour le prix de l’entrepreneur de l’année à la Startup School Africa. Il a également remporté le prix AppsAfrica dans la catégorie Edtech et a été finaliste mondial des Global Edtech Startup Awards.

Melchior Koba

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