Informaticien de formation, il s’est spécialisé dans le développement de solutions de technologies financières. Son but est de faciliter la vie quotidienne des Africains.

Ayo Akinola (photo) est un développeur d’entreprise nigérian avec une formation en informatique, en intelligence économique, en gestion de projet et en vente. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Pocket, une application financière.

Fondée en 2019, Pocket simplifie l’envoi, la réception et la gestion d’argent pour les Africains. L’application propose trois types de portefeuilles, appelés poches. La poche personnelle permet de transférer, dépenser, acheter et payer des factures rapidement. La poche d’affaires aide à créer une boutique en ligne, recevoir et gérer des paiements professionnels. La poche de groupe permet aux utilisateurs de gérer des fonds avec des amis, collègues ou membres de leur famille.

Pocket est développée par Piggyvest, une start-up dont Ayo Akinola est également cofondateur et directeur des opérations. Fondée en 2016, Piggyvest aide les particuliers et les entreprises à gérer leurs finances, à épargner et à investir facilement.

Avant Piggyvest, Ayo Akinola a cofondé PuchCV en 2014, où il a été responsable du développement commercial jusqu’en 2019. PuchCV met en relation les talents et les recruteurs à travers une plateforme dédiée.

Ayo Akinola est diplômé de la Covenant University du Nigeria où il a obtenu en 2012 un bachelor en informatique. En 2008, l’entrepreneur a travaillé en tant que stagiaire au sein du département informatique de Meyer PLC, un fabricant et distributeur de peintures au Nigeria. En 2011, il a occupé le poste d’assistant au directeur de la technologie chez Fasyl Technology Group, une entreprise spécialisée dans les services informatiques pour les opérations financières.

Melchior Koba

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Actuaire de formation, il a accumulé plusieurs années d’expérience dans le domaine en travaillant pour des assureurs en France. Désireux de moderniser le secteur, il mise sur la technologie.

Kays Bouachik (photo) est un expert en finance et un entrepreneur marocain. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Kayros, une start-up qui aide les mutuelles et les courtiers à lancer rapidement leurs produits d’assurance sur le marché et à atteindre leurs objectifs de croissance commerciale.

Fondée en 2022, Kayros accélère la croissance des mutuelles et courtiers grâce à des solutions numériques. Elle propose aux assureurs, mutuelles et courtiers une plateforme innovante qui optimise chaque étape du processus d’acquisition et de souscription client. Cette plateforme unifie les canaux d’acquisition et de souscription pour simplifier l’ensemble du parcours client.

Kayros permet la conception de parcours de souscription fluides et le déploiement des produits d’assurance sur tous les canaux de distribution. Elle offre également un accompagnement personnalisé aux courtiers en phase de lancement, aux start-ups en pleine expansion, aux mutuelles cherchant à accélérer leur transformation numérique, ainsi qu’aux courtiers grossistes en quête de nouveaux leviers de croissance.

En parallèle, Kays Bouachik est membre du conseil d’administration de Taillis Labs, une société spécialisée dans le développement de logiciels. En 2019, il a cofondé Rooit, où il a occupé le poste de directeur des opérations jusqu’en 2023. Rooit est une solution de chat social alimentée par l’intelligence artificielle, dont l’objectif est de révolutionner la manière dont les jeunes communiquent et se lient d’amitié.

Le parcours académique de Kays Bouachik est tout aussi impressionnant. Il est diplômé de l’université Paris Dauphine-PSL, où il a obtenu en 2016 un bachelor en mathématiques financières et en 2017 un master en science actuarielle. Il est aussi titulaire d’un master en ingénierie financière obtenu en 2017 à CY Tech, en France.

Sa carrière professionnelle a débuté en 2015 au sein du Groupe Crédit Agricole, où il a travaillé comme assistant commercial. En 2017, il a rejoint GALEA & Associés, une société d’assurances française, où il a été actuaire-conseil.

Melchior Koba

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Il détient plusieurs années d’expérience dans des projets de finance technologique et de blockchain. Son ambition est de connecter l’Afrique aux technologies financières les plus récentes.

Moses Adeniji (photo) est un entrepreneur nigérian spécialisé dans la technologie financière. Il est cofondateur et président-directeur général de Paychant, une start-up qui ouvre aux Africains l’accès aux opportunités financières du web3.

Fondée en 2019, Paychant est une fintech qui propose une infrastructure de paiement en monnaie fiduciaire. Elle permet aux utilisateurs en Afrique d’acheter et de vendre des actifs numériques en utilisant des méthodes de paiement traditionnelles locales. La plateforme prend en charge plus de 100 banques et une dizaine de portefeuilles électroniques à travers l’Afrique.

Grâce à cette solution, les utilisateurs peuvent passer facilement des monnaies traditionnelles aux cryptomonnaies. La mission de l’entreprise est de connecter le système financier traditionnel africain à l’univers de la finance décentralisée.

« Nous nous sommes engagés à construire des solutions transparentes qui permettraient aux habitants des économies émergentes de participer au monde de la finance décentralisée et d’en tirer profit », explique la start-up sur son site. Paychant prend en charge plus de 40 actifs numériques et offre plus de 150 méthodes de paiement.

Moses Adeniji est titulaire d’un diplôme en comptabilité obtenu en 2016 à la Lagos State Polytechnic. Après ses études, il a travaillé comme ingénieur frontend pour les start-up AfricaLinked.com et TIG. La première est un annuaire de produits, d’entreprises et de personnes, tandis que la seconde est une plateforme fintech utilisant la monnaie numérique Tigereum pour acheter, vendre, envoyer et payer via les réseaux sociaux.

Melchior Koba

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Passionné par la résolution des défis mondiaux, il développe des solutions technologiques en portant une attention particulière aux populations les moins privilégiées des pays en développement.

Timothy Musoke (photo) est un ingénieur informatique et un entrepreneur ougandais. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Laboremus Uganda, une start-up qui favorise l’inclusion financière en Afrique.

Fondée en 2013, Laboremus Uganda fournit des infrastructures aux institutions financières. L’entreprise aide les banques et les fintech à accélérer l’inclusion financière en Afrique subsaharienne en facilitant l’accès au crédit pour tous. Elle offre aux prestataires de services financiers des données et des outils pour traiter les prêts plus rapidement et à moindre coût, en numérisant partiellement ou totalement le processus de prêt.

« Nous avons créé Laboremus pour mettre au point des logiciels complexes et conviviaux pour les Ougandais, en Ouganda », déclare Timothy Musoke. « McKinsey classe l’Afrique parmi les marchés bancaires les plus rentables et à la croissance la plus rapide au monde. Nous travaillons à la numérisation de ce marché afin de rendre le crédit accessible à tous », ajoute-t-il.

Timothy Musoke est également cofondateur et conseiller chez Emeta, une institution de microfinance agréée, fondée en 2017, qui révolutionne l’accès au financement pour les petits exploitants agricoles en Afrique. Emeta offre des prêts pour permettre aux agriculteurs d’investir dans leurs exploitations et d’augmenter leurs revenus.

Timothy Musoke est diplômé de la Franklin University aux États-Unis, où il a obtenu un bachelor en génie logiciel. De 2016 à 2020, il a siégé au conseil d’administration de Fontes Foundation, une organisation non gouvernementale norvégienne qui fournit des services de développement communautaire aux populations défavorisées.

Melchior Koba

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Daba Finance, une start-up ivoirienne qui vise à rendre l’investissement accessible à tous via ses plateformes web et mobile, a remporté l’édition 2024 de l’Ecobank Fintech Challenge. Fondée en 2021, la fintech remporte un chèque d’un montant de 50 000 $. Les deuxième et troisième places reviennent respectivement au kényan Melanin Kapital (10 000 $) et au guinéen Ymo (5000 $). La fintech togolaise MiaPay remporte le prix « le choix du public ».

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Digital payments provide access to financial services for unbanked or underbanked people. By facilitating easier and faster transactions, digital payments can boost economic activities. They reduce the costs associated with cash handling and improve the efficiency of businesses, especially small and medium-sized enterprises (SMEs).

KaiOS Technologies, a provider of affordable smart-feature phones, has partnered with Mastercard to integrate digital payment solutions into its devices, the latter announced on September 25. Starting in Cote d’Ivoire and Nigeria, this collaboration aims to empower small and medium-sized enterprises (SMEs) in developing markets by making digital payment acceptance more accessible and affordable.

Jorn Lambert, Mastercard’s Chief Product Officer, stated, "Acceptance fuels a successful digital economy. Our goal is to make it easy for merchants, from micro-merchants in Cote d'Ivoire to larger enterprises globally, to accept digital payments as easily as consumers make them."

Through this partnership, KaiOS-powered devices will offer Mastercard’s secure payment options, enabling even the smallest businesses to accept payments easily via Mastercard QR Pay by Link. Shortly, they will also support contactless payments using Tap & Go technology. Signing up for this service is simple, requiring business owners to use their KaiOS device to enroll, authenticate with a one-time password, and start accepting digital payments.

The partnership will initially focus on African markets, leveraging local partners like Touch and Pay Technologies (TAP) and Wizzit to extend these solutions to merchants across the continent.

As one of the continent's most active investment sectors, fintech plays a critical role in driving financial inclusion and digital transformation. According to Mastercard, fintech start-ups in Africa have emerged as one of the most vibrant sectors for investment, attracting close to $3 billion in funding.

By integrating digital payment solutions into affordable KaiOS-powered devices, this initiative taps into a rapidly growing market. It will help bridge the gap for small and medium-sized enterprises (SMEs) that have struggled with adopting digital payments due to cost barriers, contributing to the expansion of Africa's digital economy and supporting further investment in fintech. This initiative is expected to significantly boost financial inclusion and the digital economy in underserved regions.

Hikmatu Bilali

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Les paiements numériques en Inde ont connu une croissance fulgurante ces dernières années, en grande partie grâce à son système national de paiement unifié. Fort de ce succès, l'Inde se dit prête à accompagner d'autres nations dans le développement de leurs propres systèmes.

L'Inde souhaite accompagner plusieurs pays africains dans l'implémentation de leur système de paiement numérique, inspiré de son interface de paiement unifiée (UPI). La National Payments Corporation of India (NPCI) a déjà engagé des discussions à cet effet avec au moins 20 nations d'Afrique et d'Amérique du Sud pour adapter ce modèle, visant à renforcer l'inclusion financière sur le continent.

Lancé en 2016, le système UPI permet des paiements en temps réel, offrant aux utilisateurs la possibilité de transférer des fonds directement d'un compte bancaire à un autre, que ce soit d'un client à une entreprise ou entre particuliers. Ce système a été exporté avec succès dans plusieurs pays, dont le Sri Lanka, les Emirats arabes unis et, plus récemment, en Namibie. Par ailleurs, l'île Maurice a intégré ce service en février 2023, dans le cadre d'une stratégie plus large qui inclut également le déploiement de cartes RuPay.

L'implémentation du système de paiement en Afrique s'inspire des avantages observés en Inde. En décembre 2023, le nombre de transactions effectuées via UPI a atteint 12 milliards, et plus de 100 milliards de transactions ont été enregistrées pour l'année, représentant une valeur cumulée de plus de 2000 milliards de dollars.

Dans le contexte africain, où l'accès aux services bancaires reste limité pour une part significative de la population, cette solution numérique représente une opportunité cruciale pour favoriser l'inclusion numérique et économique. Un rapport publié en novembre 2023 par AfricaNenda, une organisation indépendante dédiée au développement des systèmes de paiement instantané sur le continent, révèle que 27 pays africains n'ont toujours pas intégré de fonctionnalités de paiement instantané. De plus, une étude du cabinet McKinsey indique que les revenus des paiements électroniques en Afrique pourraient atteindre 40 milliards de dollars d'ici 2025, soulignant ainsi l'intérêt croissant pour l'investissement dans cette infrastructure.

Samira Njoya

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Informaticien de formation, il possède plus de 10 ans d’expérience dans le secteur financier en Afrique. Actuellement, il en est à sa troisième entreprise dans le domaine des technologies financières.

Stone Atwine (photo) est un informaticien et un entrepreneur technologique ougandais. Il est un cofondateur et le président-directeur général d’Eversend, une start-up de technologie financière.

Fondée en 2017 avec Ronald Kasendwa, Eversend propose une plateforme de paiement tout-en-un, spécialisée dans les transferts de fonds mobiles transfrontaliers, les cartes virtuelles, le paiement des factures et les cryptomonnaies, en particulier pour les émigrés. Elle offre une plateforme qui permet de gérer de l’argent en utilisant des cryptomonnaies, grâce à des API (interface de programmation d'application). Cela permet de faire des paiements et d’échanger différentes monnaies facilement.

« Pour les Africains et les Africains de la diaspora qui sont confrontés à des services financiers peu pratiques et coûteux et à des frais cachés, Eversend est un centre de services financiers à guichet unique qui fournit un portefeuille multidevise leur permettant d’échanger, d’épargner et d’envoyer de l’argent aux meilleurs taux possibles, tout en offrant des prêts personnels, des paiements, des investissements et d’autres services financiers. Eversend est la première alternative bancaire exclusivement numérique en Afrique », explique Stone Atwine en 2020.

Aujourd’hui, l’entreprise accepte neuf devises et compte plus de 700 000 utilisateurs satisfaits. Elle est présente en Ouganda, au Kenya, au Nigeria, au Ghana, en France, au Royaume-Uni et aux Etats-Unis.

Avant de créer Eversend, Stone Atwine a cofondé deux autres start-up en 2013 : Useremit et Yetu Credit Finance. Useremit facilite les transferts d’argent internationaux, notamment pour les habitants des zones rurales en Afrique, souvent mal desservies par les services bancaires. Yetu Credit Finance, une société de microfinance, offre des prêts sur salaire aux fonctionnaires ougandais. Il fut directeur de la structure de sa création à 2017.

Stone Atwine est diplômé de la Mbarara University of Science & Technology, en Ouganda, où il a obtenu en 2004 un bachelor en informatique. Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, il a travaillé chez Payment Solutions International, une société fintech basée en Afrique du Sud. Il a été responsable du développement commercial de la société en Uganda et directeur national pour le Kenya.

En 2015 et 2016, il a été reconnu par l’Institut Choiseul à Paris comme l’un des jeunes leaders africains de moins de 40 ans à surveiller pour leur contribution au développement économique du continent. En 2017, le gouvernement français l’a désigné comme un talent exceptionnel dans l’entrepreneuriat.

Melchior Koba

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Il souhaite offrir aux entreprises africaines un accès à des opportunités de financement. Résidant en Europe, il sert de passerelle pour les investisseurs occidentaux désireux de diversifier leur portefeuille.

Alain Nkurikiye (photo) est un entrepreneur burundais spécialisé dans le domaine financier. Il est le fondateur et le président-directeur général de Wajenzi, une plateforme numérique créée pour combler le manque d’investissements dans les start-up durables en Afrique.

Fondée en 2017 aux Pays-Bas, Wajenzi a pour mission de favoriser les investissements dans les entreprises africaines. La plateforme met en relation des entreprises innovantes avec des investisseurs individuels et institutionnels en Europe et aux États-Unis, facilitant ainsi le financement en fonds propres.

Concrètement, Wajenzi propose une plateforme d’outils financiers innovants qui permettent des prises de participation directes dans des start-up africaines. Cela contribue non seulement à accélérer la croissance des petites et moyennes entreprises, mais aussi à stimuler le développement économique du continent.

« L’Afrique, qui ne représente que 1 % du marché boursier mondial, est une ressource largement inexploitée. Wajenzi change la donne, en permettant aux start-up africaines de lever des capitaux patients auprès d’investisseurs particuliers européens. Nous offrons une passerelle unique aux investisseurs qui cherchent à diversifier leurs portefeuilles tout en soutenant l’esprit d’entreprise en Afrique », explique Alain Nkurikiye en mars 2024.

En parallèle de son rôle chez Wajenzi, Alain Nkurikiye est consultant en financement de start-up pour le groupe de la Banque africaine de développement. Il est diplômé de l’université Lumière de Bujumbura où il a obtenu en 2004 un bachelor en administration des affaires. Il détient aussi un master en stratégie d’entreprise et politique économique obtenu en 2010 à la Maastricht School of Management, aux Pays-Bas.

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, il a travaillé comme consultant pour diverses organisations telles que l’International Trade Centre, le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et la Maastricht School of Management. Entre 2022 et 2024, il a occupé le poste d’expert en entrepreneuriat inclusif chez Dorcas, une organisation néerlandaise qui lutte contre la pauvreté.

Melchior Koba

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Il souhaite aider les entrepreneurs technologiques à concrétiser leurs idées novatrices et à réaliser leurs rêves. Il a déjà investi dans plusieurs start-up en Afrique.

Kwamena Afful (photo) est un avocat de formation, un homme d’affaires et un investisseur originaire du Ghana. Cofondateur et directeur général de PAVE Investments, il investit dans des start-up technologiques en Afrique.

PAVE Investments, fondée en 2014, est une plateforme d’investissement offrant des capitaux, un accès stratégique et des ressources à ceux qui créent des opportunités pour promouvoir les talents africains à l’échelle mondiale. Elle collabore également avec des entreprises internationales pour les aider à réussir sur le continent africain.

La société se concentre principalement sur les start-up technologiques et accompagne les entrepreneurs dans la création de leurs entreprises. Parmi ses investissements figurent les fintechs nigérianes PaySack et Flutterwave, ainsi que la plateforme e-commerce kényane MarketForce.

En parallèle, Kwamena Afful est un cofondateur et un associé de Microtraction, une société nigériane de capital-risque créée en 2017. Microtraction fournit des financements de pré-amorçage et d’amorçage aux start-up technologiques en phase de démarrage. Il est aussi un cofondateur et un associé de MAGIC Fund, un fonds de capital-risque lancé en 2018, dédié aux jeunes entreprises en pleine croissance.

Kwamena Afful est diplômé de l’université de Sydney en Australie où il a obtenu deux bachelors : l’un en droit et l’autre en finance et commerce international. Entre 2004 et 2006, il a travaillé comme comptable chez First Data Corporation, une fintech australienne. En 2008, il a rejoint le cabinet d’avocats Allens en tant qu’analyste financier, puis, de 2009 à 2013, il a occupé le poste de chef d’équipe chez Bain & Company, un cabinet de conseil international.

Melchior Koba

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