Après avoir inauguré une antenne à Paris en janvier dernier, Université Mohammed VI Polytechnique poursuit son expansion mondiale à la recherche d'opportunités significatives pour le continent africain et sa jeunesse dynamique.

L’Université Mohammed VI Polytechnic (UM6P) du Maroc a annoncé le vendredi 13 septembre l'ouverture officielle de sa nouvelle antenne internationale à Montréal. Cette branche canadienne se concentrera sur la recherche et le développement des compétences, l'échange de connaissances, ainsi que le renforcement des capacités et le transfert de technologie entre l'Afrique et l'Amérique du Nord.

« Avec l'ouverture de la nouvelle antenne UM6P Canada, nous marquons une étape importante dans notre engagement à renforcer les liens entre l'Afrique et l'Amérique du Nord. En collaboration avec nos partenaires canadiens, nous répondons au besoin d'innovation et favorisons la coopération internationale face aux défis contemporains », a déclaré Hicham El Habti, Président de l'UM6P.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie d'expansion internationale de l'UM6P, déjà marquée par l'ouverture récente d'un campus en France. Ce campus va abriter le premier lab eurafricain dédié à l'accompagnement de start-up sur un an sur les deux continents. En parallèle, l'université prévoit d'inaugurer dans les prochains mois la Digital Farming School à Yamoussoukro, en Côte d'Ivoire, en partenariat avec le groupe marocain OCP Africa, axé sur l'agriculture.

L’expansion de l’UM6P au Canada marque ainsi une avancée stratégique majeure pour l’institution. Ce développement permettra de stimuler l'innovation, d’encourager les partenariats dans des secteurs clés comme l’AgriTech, l’IA et la formation des cadres, tout en contribuant à la croissance économique durable en Afrique.

Samira Njoya

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En 2023, le PNUD a mis en place un projet pilote pour former les jeunes de 24 pays africains en cybersécurité. La réussite de cette phase conduit au lancement d'une grande initiative.

Le Bureau régional Afrique de l’Ouest et centrale du Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) s’est engagé à former 25 000 jeunes des deux sous-régions en cybersécurité. L’information a été dévoilée le lundi 9 septembre.

Pour atteindre ce but, l’institution s’est associée à l’université canadienne Concordia et à l'académie des compétences numériques Give1Project. La formation s’effectuera sur une période de 5 mois sanctionnée d’un certificat.

Cette initiative intervient après le succès de la phase pilote qui s’est déroulée en 2023. Elle a pris en compte les jeunes de 24 pays du continent pour une formation de 4 mois, dont 2 semaines en présentiel dans la ville de Saly, au Sénégal. Selon l’Union internationale des télécommunications (UIT), l’Afrique fait face à un déficit de 100 000 professionnels qualifiés en cybersécurité.

La cybersécurité s’impose depuis quelques années comme l’un des segments clés du secteur technologique en Afrique. Alors que le marché du numérique continental devrait atteindre 712 milliards $ en 2050, l’UIT estime que le faible niveau de préparation de l'Afrique en matière de cybersécurité coûte aux Etats membres en moyenne 10 % de leur produit intérieur brut (PIB). En plus d’investir dans la formation des talents locaux en cybersécurité, les Etats africains devraient mettre en place un cadre juridique et réglementaire en matière de cybersécurité.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faciliter le partage de connaissances, de compétences et d'expériences avec les entrepreneurs et les professionnels du continent, une tech entrepreneure a décidé de mettre en place une solution sur mesure.

Entourage est une plateforme numérique développée par une jeune pousse béninoise. Elle permet aux utilisateurs, en l’occurrence les entrepreneurs et les professionnels, de réserver des sessions virtuelles payantes avec des experts de divers secteurs évoluant en Afrique. La solution a été lancée en septembre 2024 par Raodath Aminou (photo). Elle revendique déjà plus de 500 utilisateurs.

« Dans nos environnements africains, l'accès au savoir reste limité, car la culture du partage est encore peu développée. Il est essentiel de surmonter ces défis pour élargir la diffusion des connaissances et contribuer à construire une Afrique plus prospère », a indiqué Raodath Aminou.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faut se rendre directement sur la plateforme web pour découvrir le profil des experts (domaines d’expertise, thématiques préférentielles, langues parlées, etc.) ainsi que leurs tarifs. Entourage regroupe les experts en trois catégories que sont le développement de business, le développement de carrière et les perspectives sectorielles. L’utilisateur n’a pas besoin de créer un compte pour naviguer sur la plateforme, mais cela s’impose s’il souhaite prendre rendez-vous avec l’un des experts.

Pendant le rendez-vous, il peut discuter de divers sujets avec l’expert préalablement choisi pour trouver des solutions rapides à son problème. Un professionnel peut aborder sa carrière, explorer les différentes possibilités qui s’offrent à lui en fonction de ses diplômes, de ses compétences, de ses aspirations ou encore de ses expériences. Les entrepreneurs, quant à eux, ont accès à des conseils pour développer leurs entreprises ou de nouveaux projets. Entourage propose des sessions de 15, 30, 45 et 60 minutes.

Il est important de souligner que pendant le processus de réservation, l’utilisateur fournit à l’expert de son choix des idées de questions, ce qui permet à celui-ci de mieux comprendre les attentes de son client. Une fois la réservation effectuée, les deux parties reçoivent un e-mail confirmant la session de coaching et tous les détails s’y rapportant. A la veille de la session, un e-mail de rappel est envoyé pour confirmer le rendez-vous virtuel aux deux parties. Elles seront également amenées à s’attribuer une note à la fin de la session.

Pour Stanislas Zézé, président-directeur général de Bloomfield Investment Corporation et l’un des experts d’Entourage, « le mentorship est essentiel pour guider les jeunes entrepreneurs, car ceux qui ont déjà entrepris comprennent mieux les défis du monde des affaires ».

Adoni Conrad Quenum

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Selon la Banque mondiale, le Nigeria aura besoin de 28 millions de personnes qualifiées en compétences numériques d’ici 2030 dans divers secteurs de son économie. Pour répondre à cette demande, les autorités ont lancé plusieurs programmes de formation.

L’Agence nationale de développement des technologies de l'information (NITDA) a inauguré la première phase du programme « Alphabétisation numérique pour tous » (DL4ALL). L’annonce a été faite le samedi 7 septembre via un post sur les réseaux sociaux. Cette phase, intitulée « Alphabétisation numérique pour le secteur informel », est mise en œuvre en collaboration avec le Corps national de service de la jeunesse (NYSC). Son objectif est de doter les citoyens, des 774 zones de gouvernement local, de compétences numériques de base nécessaires pour prospérer dans l'économie numérique.

Le programme « Alphabétisation numérique pour tous » vise à atteindre un taux d'alphabétisation numérique de 70 % d'ici 2027. Elle s’inscrit dans le cadre du « Strategic Roadmap and Action Plan 2024-2027 » (SRAP 2.0) de la NITDA, qui a pour but de favoriser la transformation numérique et d'autonomiser les Nigérians grâce à l'innovation numérique.

Le lancement de cette première phase intervient dans un contexte marqué par un besoin croissant en compétences numériques sur le continent. Dans son rapport « Demand for Digital Skills in Sub-Saharan Africa » publié en 2021, la Banque mondiale estime que la population active du Nigeria aura besoin d'environ 28 millions de travailleurs formés aux compétences numériques dans divers secteurs de l'économie d'ici 2030.

Par ailleurs, il est à noter que cette première phase concerne douze Etats, à savoir le Territoire de la capitale fédérale et les Etats de Kebbi, Jigawa, Yobe, Gombe, Kwara, Ekiti, Osun, Cross River, Bayelsa, Abia et Ebony.

Adoni Conrad Quenum

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Il souhaite rendre l'éducation de qualité accessible à tous. Grâce à sa plateforme technologique et à son école, il propose une large gamme de cours couvrant différents domaines du numérique.

Mohammed Mouzaoui (photo) est un informaticien et un entrepreneur algérien. Il est le fondateur et le président-directeur général de KhadMoney, une start-up visant à révolutionner l'éducation en offrant une expérience d'apprentissage fluide et captivante.

Créée en 2023, KhadMoney a pour mission de promouvoir l'apprentissage, de développer le réseau des étudiants et de les accompagner dans leurs projets professionnels. Grâce à une communauté et un réseau de formateurs en pleine expansion, la start-up propose un large éventail de cours pour favoriser l'épanouissement des apprenants.

L'aventure de KhadMoney a commencé en 2022 sous la forme d'une école d'été. Mohammed et son équipe y ont formé plus de 1500 étudiants dans divers domaines tels que le développement web, l'intelligence artificielle et le design graphique. C’est le succès de cette école qui a inspiré le lancement de la start-up.

Aujourd'hui, KhadMoney dispose d'une école à Bab Ezzouar, en Algérie, où elle organise des cours en présentiel. Elle propose également des cours en ligne via Google Meet. Sur sa plateforme web et dans son école, elle offre des formations en développement informatique, marketing, design, langues, affaires, e-commerce et intelligence artificielle, entre autres.

Avant de fonder KhadMoney, Mohammed Mouzaoui a cofondé, en 2017, Qualified Algerian Workers Services (QAWS), une entreprise de services pour particuliers et entreprises, dont il a été directeur jusqu'en 2023. En 2019, il a également cofondé GDG Mostaganem, un groupe de développeurs Google à Mostaganem, en Algérie.

Il est titulaire d’un diplômé d’ingénieur en informatique obtenu en 2020 à l’Ecole nationale supérieure d’informatique d’Algérie. De 2019 à 2020, il était le président de Club Vert dans son université. Une association qui a pour but de protéger l’environnement. De 2020 à 2023, il travaille comme analyste commercial pour ERENAV, une compagnie maritime basée en Algérie.

Melchior Koba

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Dans le souci de contribuer au développement des technologies de l’information et de la communication, l’Union internationale des télécommunications signe des partenariats stratégiques.

L’université sud-africaine du Witwatersrand, basée à Johannesburg, a annoncé le lundi 26 août un partenariat avec l’Union internationale des télécommunication (UIT). L’objectif est d’accélérer le développement des compétences et des connaissances numériques parmi les décideurs politiques et les professionnels des TIC en Afrique. Le centre LINK de l'université du Witwatersrand rejoint dans ce cadre le programme des centres de formation de l'académie de l'UIT.

« Cette étape importante viendra compléter les programmes d'études supérieures et les certificats professionnels proposés par le centre LINK. Le centre est prêt à contribuer de manière substantielle aux compétences essentielles requises pour le développement économique et social de l'Afrique du Sud et au-delà, en promouvant une société mondialement connectée et compétente sur le plan numérique », a indiqué l’université du Witwatersrand.

L’UIT a mis en place son académie en 2012 dans le but de répondre à une demande croissante de formation, d'enseignement et de recherche dans le secteur des TIC. Au fil des années, diverses entités ont rejoint ce programme et l’agence onusienne a mis à leur disposition les connaissances et les outils spécialisés pour mieux s'orienter dans un écosystème numérique en pleine évolution.

Pour rappel, l’université du Witwatersrand est l’une des meilleures universités d’Afrique du Sud et du continent. Selon le QS Ranking de 2023, elle occupe la deuxième place des meilleures universités d’Afrique, derrière l’université du Cap et celle de Stellenbosch, toutes situées en Afrique du Sud.

Adoni Conrad Quenum

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Elle veut offrir un enseignement interactif en langue maternelle aux élèves de la maternelle à la terminale. Pour y parvenir, elle a développé une plateforme de technologie éducative.

Mukundi Lambani est une entrepreneure sud-africaine, fondatrice et présidente-directrice générale d’Ambani Africa, une société de technologie éducative. L’entreprise se concentre sur l’éducation en langue maternelle pour les enfants de la maternelle en terminale.

Créée en 2021, Ambani Africa propose une plateforme qui facilite l’apprentissage précoce en offrant des ressources numériques aux élèves, permettant ainsi l’apprentissage dans les langues africaines. L’objectif est de donner aux élèves les moyens d’apprendre et de communiquer efficacement dans leur propre langue.

L’apprentissage sur la plateforme Ambani Africa est interactif et comprend des jeux, des vidéos, des livres numériques et des leçons. Le contenu est disponible en anglais ainsi que dans plus de 15 autres langues, telles que l’isiZulu, le kiswahili, le yoruba, le français, l’espagnol, et bien d’autres.

« Les langues africaines sont numériquement sous-représentées et pour les jeunes apprenants, trouver du contenu dans leur propre langue peut s’avérer difficile. La phase de base est particulièrement importante, car si vous avez pris du retard en troisième année, il est peu probable que vous puissiez le rattraper. C’est pourquoi Ambani met l’accent sur l’enseignement dans la langue maternelle à ce stade critique », explique la fondatrice.

Mukundi Lambani est diplômée de l’African Film and Drama Academy (AFDA), où elle a obtenu en 2008 un bachelor en cinéma. Elle possède également un diplôme en gestion et administration des affaires, obtenu en 2011 à Varsity College. En 2017, elle a décroché un master en communication et études des médias à l’université de Bournemouth, au Royaume-Uni. En 2019, elle obtient un certificat en gestion de la propriété intellectuelle de l’université de Witwatersrand.

La carrière de Mukundi Lambani a débuté en 2008 à la South African Broadcasting Corporation, où elle travaillait en tant qu’éditrice vidéo. En 2010, elle a rejoint le 48 Hour Film Project en tant que productrice. En 2013, elle a été nommée cheffe de la recherche et du développement chez Brainbow Conscious Creatives, une agence créative. En 2017, elle est devenue conférencière à l’Academy of Sound Engineering, et en 2018, cheffe de projet au Goethe-Institut, un institut culturel allemand.

Melchior Koba

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Lancée en juin 2022 par Osita Oparaugo, l’edtech nigériane GetBundi aide à accéder à des contenus éducatifs dans le domaine des sciences, de la technologie, de l'ingénierie et des mathématiques (STEM) et des compétences numériques.

GetBundi, une start-up nigériane opérant dans les technologies de l’éducation, a annoncé le jeudi 29 août la signature d’un protocole d’accord avec la Commission nationale des collèges d'enseignement (NCCE). Baptisé « Empowering Tomorrow’s Teachers », le programme vise à doter les élèves et les enseignants de compétences numériques.

« Cette initiative ne vise pas seulement à combler les lacunes en matière d'effectifs, mais aussi à améliorer la qualité et l'attrait de la profession d'enseignant en dotant nos futurs professeurs de compétences numériques du XXIe siècle. Dans le paysage éducatif actuel, qui évolue rapidement, nos enseignants doivent maîtriser les outils et les technologies numériques qui améliorent les résultats de l'apprentissage », a indiqué Paulinus Chijioke Okwelle, secrétaire exécutif de la NCCE.

Ce programme intervient dans un contexte marqué par l’accélération de la transformation numérique sur le continent. Les autorités nigérianes multiplient les initiatives pour former les populations aux compétences numériques. En août 2023, elles se sont associées à la firme américaine Google qui compte investir 1,5 million $ pour former 20 000 jeunes et femmes au numérique. Quelques mois plus tard, ce sont l’American Business Council (ABC) et la firme américaine Microsoft qui se sont engagés dans cette direction.

Toutes ces actions s’inscrivent dans le cadre du programme numérique du gouvernement du président Bola Tinubu dévoilé en mai 2023. Le Nigeria est l’une des places fortes de la technologie en Afrique et son écosystème de start-up est l’un des plus attractifs du continent. Les start-up nigérianes ont capté 469 millions $ en 2023, soit 20,39 % des montants captés par les jeunes pousses du continent, selon les données de Partech Africa.

Par ailleurs, le pays fait encore face à des défis dans le secteur. Selon l’Union internationale des télécommunications, le Nigeria pointe au 26e rang continental avec un indice de développement des technologies de l'information et de la communication de 46,9 sur 100 en 2024, loin du trio de tête composé de la Libye (88,1), du Maroc (86,8) et des Seychelles (84,7).

Adoni Conrad Quenum

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Il souhaite faciliter l’expérience d’apprentissage des jeunes élèves en Afrique du Sud. A la tête d’une start-up spécialisée dans la technologie éducative, il s’efforce de rendre les élèves plus autonomes dans leur parcours éducatif.

Kagisho Masae (photo) est un entrepreneur sud-africain, cofondateur et président-directeur général de Matric Live. La start-up de technologie éducative travaille à faciliter l’apprentissage pour les élèves.

Fondée en 2017 par Lesego Finger et Kagisho Masae, cette start-up propose une application éducative multifonctionnelle qui révolutionne la manière dont les élèves apprennent. La solution rend l’apprentissage plus contextuel et visuel, en couvrant plus de 16 matières pour aider les élèves à préparer leurs examens.

Par exemple, l’application inclut Live Exams, une simulation d’examen qui permet aux apprenants de répondre à d’anciennes questions d’examen directement sur leur appareil. L’application enregistre les questions pour lesquelles les élèves ont souvent des réponses incorrectes, leur permettant ainsi d’analyser ces points de manière approfondie.

En Afrique du Sud, « la plateforme s’est développée pour couvrir la plupart des programmes d’enseignement secondaire et l’équipe continue de s’agrandir régulièrement. L’objectif de cette plateforme, parmi d’autres initiatives en cours de réalisation par la société holding, est de décentraliser l’éducation de qualité » peut-on lire sur le site de la start-up.

Kagisho Masae est également le fondateur de CynC, une plateforme numérique destinée à mettre en relation des personnes partageant les mêmes intérêts à travers toute l’Afrique du Sud. En outre, il est ambassadeur de l’organisation caritative One Young World et coordonnateur de projet pour l’organisation à but non lucratif Good Deeds Foundation.

Kagisho Masae est titulaire d’un certificat en produits financiers obtenu en 2012 à la Milpark Business School. En 2019, il a obtenu un certificat de l’université de Toronto en économie comportementale. En 2021, la Harvard Business School Online lui a délivré un certificat en exécution de stratégie.

Sa carrière professionnelle a commencé en 2010 à Discovery Ltd, un groupe de services financiers basé en Afrique du Sud, où il était gestionnaire des relations avec les courtiers. En 2015 il rejoint Investec, une société financière, en tant que consultant. Ensuite, il y occupe successivement les postes de gestionnaire de projet marketing et marque pour le secteur du patrimoine et de l’investissement.

Melchior Koba

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Sai Govender relie consultants en technologies et clients

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Le ministère burkinabè de la Transition digitale, des Postes et des Communications électroniques, en partenariat avec Orange Digital Center Burkina Faso, a lancé le lundi 26 août une formation aux métiers du numérique, du codage et de la robotique destinée aux jeunes filles burkinabè âgées de 15 à 18 ans. Baptisé « Superbes Codeuses », ce programme a pour objectif de pallier la faible représentation des jeunes filles dans les domaines techniques et numériques en formant 200 lycéennes aux compétences numériques.

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