Le gouvernement mauricien a prévu plusieurs mesures ambitieuses pour accélérer l'intégration numérique et le développement du pays. L'objectif est de stimuler le développement socio-économique en mettant l'accent sur des secteurs clés tels que l'éducation.

Le ministère mauricien de l'Education, de l'Enseignement supérieur, de la Science et de la Technologie a récemment annoncé l’adoption de la plateforme d'apprentissage Google Classroom au niveau secondaire dès le deuxième trimestre prochain. L’initiative vise à améliorer l'expérience et la pratique de l'enseignement en ligne dans les collèges du pays.

« Google Classroom sera déployée à partir du deuxième trimestre de l’année académique 2024. Une séance d’information complète sera organisée à l’intention des recteurs et des protocoles et lignes directrices clairs seront établis. Des séances de formation seront aussi organisées pour les éducateurs afin d’optimiser l’utilisation de Google Classroom », a fait savoir le cabinet du ministère.

Cette initiative s'inscrit dans le cadre de la stratégie numérique nationale « Digital Mauritius 2030 », qui vise la numérisation des secteurs clés du pays, notamment l'éducation. La stratégie prévoit également la connectivité Internet dans les établissements primaires et secondaires du pays, l'initiation des enfants à l'informatique et plus particulièrement au codage dès le plus jeune âge. Un projet de distribution de tablettes a été lancé à cet effet par le gouvernement en 2014.

Pour le déploiement de Google Classroom, des comptes Google seront créés pour les étudiants ainsi que pour leurs parents. Les enseignants pourront créer des expériences d'apprentissage motivantes qu'ils pourront personnaliser, gérer et mesurer. L’application entièrement gratuite permettra également de gérer les travaux en classe, d'organiser les devoirs, de renforcer la collaboration et d'améliorer la communication.

Samira Njoya

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ExxonMobil Foundation a récemment lancé, en collaboration avec Junior Achievement Africa (JA Africa), la filiale africaine de JA Worldwide, une organisation non gouvernementale œuvrant pour l’autonomisation des jeunes : l’initiative « ExxonMobil STEM Africa ». C’est un programme de 300 000 $ dont le but est de promouvoir les sciences, la technologie, l'ingénierie et les mathématiques (STEM) auprès d'environ 3 000 étudiants africains au Nigeria, en Namibie, en Angola et au Mozambique. Cliquez sur ce lien pour en savoir davantage sur le programme.

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La pandémie de Covid-19 a clairement souligné l'importance pour les institutions et les entreprises d'adopter de nouvelles technologies pour améliorer leur efficacité et leur compétitivité. Cependant, de nombreux défis persistent et tous les pays n'avancent pas au même rythme.

Malgré une croissance de 8,21 %, l'Afrique subsaharienne demeure l'une des régions du monde où le taux de numérisation des entreprises est le plus bas. En décembre 2022, seules 27,65 % des entreprises avaient adopté des solutions numériques pour accroître leur efficacité, contre 19,44 % en août 2020. En revanche, l'Asie de l'Est a enregistré la plus forte progression, passant d'un taux de numérisation de 13 % en 2020 à 54 % en 2022, soit une augmentation de 41 %.

Dans son rapport intitulé « La numérisation dans le monde en 10 graphiques », publié le 5 mars, la Banque mondiale souligne que cette lente intégration des solutions numériques en Afrique subsaharienne, notamment par les petites et moyennes entreprises (PME), s'explique en partie par une faible utilisation d'ordinateurs et d'Internet. L'institution internationale ajoute que le manque de compétences, la faible conformité aux réglementations strictes en matière de cybersécurité et de protection des données, ainsi que l'insuffisante sensibilisation aux enjeux de la numérisation des entreprises contribuent également à cette situation.

Pour ce qui est des micro-entreprises, la Banque mondiale et la Société financière internationale (SFI) révèlent que moins de 7 % des microentreprises d’Afrique subsaharienne utilisent les technologies numériques (smartphones et ordinateurs) pour leurs activités, tandis que 71 % estiment ne pas en avoir besoin.

Dans une étude menée dans sept pays d'Afrique et publiée en avril 2023, les deux institutions indiquent que parmi ces 71 %, environ 35 % ont déclaré ne pas savoir comment utiliser ces technologies, mettant en lumière un déficit de compétences numériques à combler ou, inversement, la nécessité pour les entrepreneurs numériques de concevoir des technologies adaptées au niveau de compétences existant. Les 35 % restants ont déclaré que ces technologies étaient trop coûteuses pour elles.

Alors que les pays africains s'engagent progressivement dans la quatrième révolution industrielle, il est crucial que les entreprises intègrent le recours aux solutions numériques au cœur de leur stratégie. Les compétences numériques sont devenues essentielles pour favoriser et pérenniser les activités des entreprises dans un environnement concurrentiel en évolution constante. Cette vision est au cœur de l'Agenda 2063 de l'Union africaine, qui souligne que l'accélération de la transformation numérique doit impérativement imprégner tous les secteurs de l'économie afin de soutenir durablement la croissance des pays africains.

Samira Njoya

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Informaticien de formation, il met ses compétences au service des Sud-Africains, proposant des solutions pour rendre l’éducation plus accessible et plus efficace pour tous les étudiants, quel que soit leur contexte.

Dacod Magagula (photo) est un informaticien et un entrepreneur sud-africain. Diplômé de l’université du Cap où il a obtenu en 2017 un bachelor en informatique, il a forgé son expertise au service de diverses entreprises avant de fonder, en 2020 avec Tao Boyle, la start-up FoondaMate, dont il est le président-directeur général.

FoondaMate se positionne comme une solution pour les étudiants sud-africains en quête de ressources éducatives accessibles et de qualité. L’entreprise utilise l’intelligence artificielle et crée des chatbots disponibles sur des plateformes de messagerie telles que WhatsApp et Facebook Messenger. Son objectif est de fournir aux étudiants, en particulier ceux qui n’ont pas accès à Internet ou qui peinent à trouver des informations pertinentes, les outils nécessaires pour réussir leurs études.

L’impulsion de Dacod Magagula pour créer FoondaMate découle de son propre parcours académique marqué par des défis. Ayant grandi dans un township rural de Mpumalanga, en Afrique du Sud, où les ressources étaient rares, il comprend parfaitement les obstacles auxquels sont confrontés de nombreux étudiants. « Je suis allée à l’école dans un township rural de Mpumalanga, en Afrique du Sud, où il n’y avait pas de ressources. Je n’ai pas eu d’électricité à la maison avant l’âge de 7 ans », a-t-il partagé.

La start-up, qui a débuté en proposant des téléchargements d’anciens examens, compte désormais plus d’un million d’utilisateurs. Ces derniers exploitent le service de FoondaMate comme un contact WhatsApp ou Messenger qui les accompagne dans leurs devoirs et dans la préparation de leurs examens.

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, Dacod Magagula a acquis une expérience précieuse dans le domaine du développement web. En 2016, il a effectué un stage chez Lumico, une agence de marketing numérique, où il a travaillé en tant que développeur d’applications web. Entre 2017 et 2021, il a successivement occupé des postes de développeur full stack chez Monetise E-commerce, une agence de commerce électronique, et d’ingénieur full stack chez ninety9cents, une agence de publicité sud-africaine.

Melchior Koba

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Le secteur numérique propose un vaste éventail d'opportunités d'emploi pour les jeunes. En développant les compétences requises, ces derniers peuvent saisir ces opportunités et améliorer leur insertion sur le marché du travail.

Orange Digital Center a annoncé le mardi 9 avril la signature d'un partenariat avec Coursera, une entreprise numérique proposant des formations en ligne ouvertes. Ce partenariat vise à offrir aux jeunes en Afrique et au Moyen-Orient l'opportunité d'acquérir gratuitement et à leur propre rythme des compétences essentielles dans les métiers du numérique.

« Chez Orange, nous croyons fermement que l'inclusion numérique est la clé pour créer un avenir plus juste et prospère pour tous. En partenariat avec Coursera et à travers les Orange Digital Centers, nous ouvrons les portes de l'apprentissage certifiant à tous nos bénéficiaires, en offrant ainsi des opportunités d'éducation et de développement professionnel à ceux qui en ont le plus besoin », a déclaré Asma Ennaifer, directrice exécutive RSE, Orange Digital Centers et communication chez Orange Afrique et Moyen-Orient.

Dans le cadre de cette collaboration, les jeunes auront la possibilité d'acquérir des connaissances dans des domaines essentiels tels que l'intelligence artificielle, la cybersécurité, le marketing digital et l'entrepreneuriat à travers la plateforme en ligne de référence mondiale Coursera.

L'initiative s'inscrit dans la volonté d'Orange d'offrir aux jeunes talents les connaissances et les compétences nécessaires pour intégrer le marché de l'emploi, faire évoluer leur carrière professionnelle ou les encourager à entreprendre dans le domaine du numérique. Pour Coursera, il s'agit de continuer à offrir aux apprenants du monde entier des expériences d'apprentissage qui transforment leur vie.

Ce partenariat intervient à un moment où les compétences numériques sont de plus en plus demandées, notamment chez les jeunes, qui représentent 60 % de l'ensemble des chômeurs africains selon la Banque mondiale. Les formations offertes par les deux partenaires devraient ainsi contribuer à préparer ces jeunes au monde de l'entreprise et au marché de l'emploi.

Samira Njoya

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Après une formation en informatique, ce tech entrepreneur a voulu démocratiser les formations dans ce secteur pour personnes en quête de nouveaux défis. Sa start-up a mis en place des formations adaptées aux besoins du continent dans le contexte de l’accélération de la transformation numérique.

Xarala Academy est une solution d’e-learning développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs de se former dans divers domaines ayant trait aux technologies de l’information et de la communication depuis ses plateformes web ou mobile. La start-up, basée à Pikine, a été fondée en 2017 par Ousseynou Diop. Le mot « xarala » vient du wolof, une langue locale parlée au Sénégal, et signifie « la technologie ».

« Nous croyons fermement que l'éducation a le pouvoir de transformer – pas seulement des individus, mais des communautés et des nations entières. Notre vision s'ancre dans la conviction que chaque talent africain formé est un pas de plus vers un avenir meilleur, où la technologie est un levier pour améliorer les vies », indique Ousseynou Diop.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur se crée un compte puis accède aux différentes formations que propose l’edtech. Entre autres, il peut se former en développement web et mobile, en cybersécurité, en design, en marketing digital ou encore en gestion des projets. La plupart des formations proposées par la jeune pousse sénégalaise s’étalent sur une durée de douze semaines.

Néanmoins, il faut souligner qu’elles sont adressées aux néophytes et l’edtech juge que cette période est suffisante pour acquérir les compétences nécessaires dans le domaine choisi. Les néophytes ne sont pas forcément des personnes diplômées dans d’autres filières d’étude. En effet, l’edtech sénégalaise n’impose pas de niveau d’étude pour accéder ses formations. Elles sont ouvertes à tout le monde à condition de savoir lire et écrire.

Xarala Academy est accessible tous les jours de la semaine et 24 heures sur 24. Elle revendique plus de 6 000 apprenants sur ses plateformes web et mobile et la version Android de son application mobile a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Informaticienne de formation, elle veut optimiser le suivi des enfants par leurs parents et leur école. Accompagnée par le groupe Orange, elle poursuit le développement de son entreprise à travers l’Afrique.

Sayouri Soukaina (photo) est la fondatrice de Schoolify dont elle dirige le pôle Maroc. Informaticienne de formation, elle veut, à travers cette start-up, offrir, aux écoles, aux élèves et aux parents d’élèves un meilleur suivi scolaire.

Fondée en 2021, Schoolify propose des solutions de gestion aux établissements scolaires. Elle offre des services de suivi scolaire, de gestion administrative, de géolocalisation et de traçage du transport scolaire en temps réel. Elle permet aux administrations des écoles de gérer l’ensemble des services de l’école en ligne, de suivre les dossiers des élèves et de rester en contact permanent avec les parents.

La start-up offre aux élèves un espace éducatif en ligne qui englobe toutes les activités liées à l’école. Que ce soient les cours, les exercices, les emplois du temps, la cantine, les notes et le bilan périodique. L’application donne une vue d’ensemble sur toutes les activités de l’école : bulletins, cahier de texte, etc.

Sayouri Soukaina a aussi cofondé, en 2017, Sotinor, une entreprise dont elle est la présidente-directrice générale. Sotinor est une agence de communication qui permet aux entrepreneurs de réaliser un diagnostic précis de leur entreprise, d’améliorer sa rentabilité et de prendre de meilleures décisions stratégiques.

La Marocaine est titulaire d’un diplôme d’ingénieur en informatique obtenu en 2014 à l’école polytechnique d’Agadir au Maroc. Elle est aussi titulaire d’un master en informatique obtenu en 2015 à l’université de Lorraine en France. En 2019, elle a intégré le programme StartOn d’Orange et a bénéficié d’un accompagnement de deux ans. C’est à l’issue de ce programme d’accompagnement que l’entrepreneure a lancé son produit Schoolify.

« Grâce à l’accompagnement d’Orange StartOn, j’ai réussi à commercialiser mon produit “Schoolify” sur le marché marocain et africain (4pays en Afrique). En ce qui concerne le programme d’accompagnement, je suis en train d’acquérir des connaissances, un savoir-faire robuste, grâce à nos coaches. Sans oublier que j’ai acquis un très bon portefeuille client [...] », explique Sayouri Soukaina.

Melchior Koba

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Il veut créer une génération de jeunes innovateurs et entrepreneurs technologiques. Il a aidé des centaines de jeunes développeurs logiciels à obtenir un emploi auprès de grandes entreprises.

Mvelo Hlophe (photo) est un entrepreneur sud-africain. Fondateur et président-directeur général de Zaio, il crée des programmes de formation pour faire des Sud-Africains des leaders et des innovateurs. L’entreprise vise à doter les individus et les entreprises des compétences nécessaires pour la programmation informatique, principalement.

Fondée en 2017, Zaio est une plateforme en ligne destinée à former les Africains aux compétences numériques. Elle aide aussi les aspirants développeurs de logiciels à décrocher leur premier emploi.

« Nous formons la prochaine génération de leaders technologiques sur le continent. Notre approche est tellement novatrice que lorsque les gens commenceront à réaliser à quel point elle est géniale, il y aura un changement dans nos plateformes edtech, dans la valeur qu’elles apportent et dans la manière dont elles sont adaptées aux utilisateurs individuels. Notre objectif est de créer une base, non seulement en augmentant le nombre de talents de qualité sur le continent, mais aussi en créant une norme pour les produits edtech avec lesquels nos concitoyens interagissent », explique le PDG de Zaio en 2022.

En 2023, la start-up comptait déjà plus de 10 000 inscriptions. Sa plateforme a permis à 200 utilisateurs d’obtenir des postes de développeurs auprès de Sanlam, de la Banque mondiale, de la Standard Bank et d’autres organismes. Zaio souhaite étendre ses activités à l’ensemble du continent et à des régions telles que le Kenya, le Nigeria et l’Egypte.

Mvelo Hlophe est diplômé de l’université du Cap où il a obtenu un bachelor en finance et comptabilité en 2017 et un bachelor en politique, philosophie et économie en 2020. Entrepreneur d’impact de Further, une société d’accompagnement des entrepreneurs, il est, depuis 2021, un boursier de l’Allan Gray Orbis Foundation.

Melchior Koba

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L’Union africaine, en partenariat avec l'agence de coopération internationale allemande pour le développement (GIZ) et AfriLabs, une organisation panafricaine axée sur l'innovation, a mis en place un programme de bourse pour le numérique et l'innovation. L’objectif est de recruter 16 profils qui seront déployés dans divers départements/organes de l'Union africaine pour identifier les domaines clés qui peuvent être renforcés par la numérisation, la technologie et l'innovation. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 27 avril. Cliquez sur ce lien pour postuler.

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BBIncubator veut faire du Cameroun un pays où l’entrepreneuriat est au cœur du développement. Il organise plusieurs événements et propose des programmes de développement aux entrepreneurs.

Boris Bison Youth Empowerment Incubator (BBIncubator) est un incubateur basé au Cameroun. Fondé en 2020, il s’est confié la mission de fournir un environnement propice aux entrepreneurs en herbe pour qu’ils réalisent leurs rêves.

BBIncubator a pour vision de « donner aux jeunes Camerounais âgés de 18 à 35 ans les moyens de lutter contre la pauvreté et la pénurie d’emplois en créant des entreprises prospères », peut-on lire sur son site web.

Dirigé par Boris N. Ngala, fondateur et président-directeur général, l’incubateur d’entreprise fournit des espaces de travail, des conseils, du mentorat et du coaching aux start-up innovantes qu’il repère. Son but est de rendre autonomes les entreprises afin qu’elles génèrent des bénéfices stables pour le développement de la communauté camerounaise.

En 2023, l’incubateur a lancé son premier concours Tech Pitch pour les jeunes entrepreneurs camerounais. Appelé Finance your Startup, il permettra aux entrepreneurs de présenter leur idée technologique devant un jury. Le gagnant remporte un financement de démarrage de 1 000 000 FCFA, soit 1 600 USD environ.

BBIncubator lance aussi un programme d’incubation tous les trois mois afin d’encadrer, former et conseiller les jeunes entrepreneurs. Le programme permet de découvrir le fonctionnement d’une entreprise. Il forme les entrepreneurs à l’utilisation d’Internet et de passerelles de paiements modernes.

Les incubés ont accès aux appareils informatiques de BBIncubator, à des services de cloud et à une connexion Internet haut débit et à un laboratoire pour des prototypages IoT (Internet des objets) et TIC (technologies de l’information et de la communication). L’incubateur organise aussi des événements de mise en réseau et des conférences. Il permet aussi aux entrepreneurs d’accéder à des capitaux de départ.

A travers ses programmes et activités, BBIncubator veut aider les nouvelles entreprises à relever les défis quotidiens auxquels elles sont confrontées.

Melchior Koba

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