A seulement 19 ans, elle lance sa première start-up et participe à la lutte contre le chômage grâce à des programmes de formation innovants. Son entreprise rencontre un immense succès, et elle reçoit de nombreux prix et distinctions.

Matina Razafimahefa (photo) est une entrepreneure célèbre dans le domaine technologique à Madagascar. Elle est surtout connue pour avoir fondé, avec sa maman Nirina Rahoeliarivahy, la start-up de technologie éducative Sayna, dont elle la présidente-directrice générale. L’objectif de l’entreprise est de rendre l’éducation accessible aux Africains à travers des formations gamifiées en ligne.

Fondée en 2018, Sayna est une plateforme d’edtech et de crowdsourcing, permettant à ses utilisateurs d’acquérir des compétences technologiques. Les étudiants qui réussissent ces formations peuvent ensuite accéder à des micro-tâches rémunérées proposées par des entreprises, ce qui contribue à réduire le chômage.

En plus de Sayna, Matina Razafimahefa a cofondé et copréside French Tech Antananarivo, une communauté lancée en 2019. Celle-ci regroupe des fondateurs de start-up, des investisseurs, des institutions et d’autres acteurs clés de l’écosystème technologique malgache. French Tech Antananarivo se veut un laboratoire d’innovation, d’expérimentation technologique et de soutien aux talents.

Née en Côte d’Ivoire et ayant grandi à Madagascar, l’entrepreneure a poursuivi ses études à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne en France, où elle a obtenu une licence en sciences politiques en 2020. Entre 2018 et 2019, elle a occupé le poste de responsable des engagements solidaires chez Maltem Consulting Group. En 2023, elle a été membre du comité scientifique des Assises de la transformation digitale en Afrique.

En 2020, Matina Razafimahefa a été finaliste du concours The Anzisha Prize, récompensant les meilleurs jeunes entrepreneurs d’Afrique. En 2022, elle a été nommée parmi les 30 jeunes de moins de 30 ans qui façonnent l’avenir de l’Afrique par Forbes Afrique. Lors de Vivatech 2022, Sayna a remporté le challenge « Faire de la flexibilité du travail une réalité » organisé par ManpowerGroup, une entreprise spécialisée dans les solutions de recrutement.

Melchior Koba

Lire aussi:

La Malgache Josceline Andriamiarintsoa initie les femmes au numérique

Published in Tech Stars

EtriLabs, un incubateur béninois de start-up présent au Bénin et au Sénégal, a annoncé le jeudi 13 juin, en partenariat avec la Mastercard Foundation, la liste de 6 start-up opérant dans les technologies de l’éducation retenues pour la première cohorte du programme Mastercard Foundation EdTech Fellowship. Le programme vise à accélérer 36 edtech sur une période de 3 ans.

Irawo, Sewema, Logeco, Blemama, Tama et Esseyi bénéficieront, entre autres, d’un programme d’accélération de huit mois, de mentorat et de conseils d’expert ou encore d’un financement sans prise de participation d’un montant de 75 000 $.

Lire aussi:

Bénin : EtriLabs promeut une culture entrepreneuriale axée sur l'innovation, la créativité et le partage

Published in Breves_Une

Fort de plus de 15 ans d'expérience dans l'industrie technologique, cet informaticien utilise son expertise pour former les jeunes aux compétences de développement web et mobile. Son objectif est de rendre ces compétences accessibles à tous.

Jean-Patrick Ehouman (photo) est un architecte logiciel et un entrepreneur social ivoirien. Il est un cofondateur et le président d’Akendawa, une organisation non gouvernementale (ONG) et centre d’innovation technologique qui promeut l’entrepreneuriat par l’utilisation des technologies.

Fondée en 2009, Akendewa a pour objectif de dynamiser l’industrie de l’internet et du mobile en soutenant les start-up, amateurs, passionnés, travailleurs indépendants et entrepreneurs. L’organisation regroupe des passionnés et professionnels qui œuvrent pour le développement des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Parmi les initiatives d’Akendewa, on trouve AllDevCamp, un programme intensif destiné à former des développeurs d’applications prolifiques. Ce programme offre un cadre idéal pour la conception, le développement et la distribution d’applications web et mobiles en Afrique.

Jean-Patrick Ehouman est également cofondateur et directeur de SheIsTheCode, un programme lancé en 2015 qui forme et accompagne les femmes africaines dans les domaines des technologies et de l’entrepreneuriat. Ce programme leur permet d’acquérir des compétences en informatique, de développer leur leadership professionnel et de contribuer à la digitalisation des entreprises, ONG et administrations.

Avant Akendewa, Jean-Patrick a fondé en 2008 AllDenY, une start-up spécialisée dans les technologies web et mobiles. AllDenY aide les entreprises à identifier les technologies et stratégies adaptées à leurs besoins, développe des solutions technologiques et propose des formations dispensées par ses experts. Il a été PDG de l’entreprise jusqu’en 2016.

Jean-Patrick Ehouman est titulaire d’un diplôme universitaire de technologie en génie électronique et informatique industrielle obtenu en 2004 à l’université de Poitiers. Il détient aussi une licence professionnelle en systèmes informatiques et logiciels obtenue en 2005 à Aix-Marseille Université. En 2014, il suit une formation en business et entrepreneuriat à l’université du Texas.

Il a commencé une carrière de développeur logiciel en 2006. En 2015, il devient codirecteur de Founder Institute, un accélérateur mondial de start-up technologiques, en Côte d’Ivoire.

En 2013, Jean-Patrick a remporté le premier prix de l’UNESCO pour l’entrepreneuriat des jeunes et la culture de la paix en Afrique. En 2014, il a été sélectionné parmi les 500 jeunes leaders africains du programme Young African Leaders Initiative (YALI).

Melchior Koba

Lire aussi:

L’Ivoirien Wilfried Dabire simplifie l’expédition de marchandises en Afrique

Published in Tech Stars

Le gouvernement burkinabé veut accélérer la transformation numérique et en faire un pilier du développement socioéconomique. Toutefois, il doit d’abord généraliser l’accès à l’Internet dans tout le pays, y compris les domiciles, les administrations, les hôpitaux, les écoles…

Le gouvernement burkinabé a lancé, le vendredi 14 juin, la connexion de neuf institutions d’enseignement supérieur et de recherche (IESR) sur dix à l’Internet à haut débit. D’un coût de 3,8 milliards de francs CFA (6,2 millions $), le projet a été financé par la Banque mondiale. Il a été réalisé avec l’assistance technique de l’opérateur de téléphonie mobile Orange Burkina Faso.

« L’accompagnement a consisté à mettre à la disposition du ministère chargé de l’Enseignement supérieur des équipements informatiques. Ce sont des équipements wifi qui sont mis dans les neuf IESR. Nous avons aussi œuvré à relier avec un très haut débit les différents bâtiments [174 au total, Ndlr] à travers la connectivité fibre, sans oublier la formation de 29 ingénieurs qui vont assurer le suivi et la maintenance de tout le dispositif pour la pérennisation du projet », a expliqué Nafy Silué Coulibaly, directrice générale d’Orange.

Le lancement du projet fait suite à la rencontre du président Ibrahim Traoré avec le monde universitaire en janvier 2023. Il avait notamment été question des problèmes qui minent les universités et le système éducatif du pays. Le chef d’Etat burkinabé avait instruit Adjima Thiombiano, ministre de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, de doter les IESR du pays d’Internet à haut débit.

Pour M. Thiombiano, la fourniture de l’Internet à haut débit dans les universités publiques du Burkina Faso devrait contribuer à développer l’e-learning en facilitant l’accès à l’information et aux ressources éducatives en ligne. Cela devrait également encourager la collaboration et l’échange de connaissances entre les différentes parties prenantes, renforcer les compétences numériques des étudiants, stimuler l’innovation et la créativité…

Par ailleurs, cette initiative pourrait s’inscrire dans le cadre de « la dynamique de digitalisation » dans laquelle est engagé le gouvernement burkinabé. Ce dernier ambitionne d’introduire le numérique dans tous les secteurs afin d’en faire un instrument de transformation de la société et de développement socioéconomique.

Isaac K. Kassouwi

Published in Gestion Publique

En tant que centre technologique, son objectif est de rendre les compétences numériques accessibles à tous. Situé dans le nord du Bénin, le centre a déjà formé des milliers de personnes.

Guerra Tech Hub est un centre d’innovation numérique situé à Parakou, dans le nord du Bénin. Fondé en 2018, il est dirigé par Vidjinnangni Grégory Thoto, un entrepreneur et gestionnaire de projet d’innovation béninois, qui en est le président.

Guerra Tech Hub se « consacre à la mise en place d’environnements qui serviront de catalyseurs pour la construction de l’Afrique de demain : disruptive, collaborative et inclusive ». Il est composé d’une communauté de passionnés, incluant des développeurs, des designers et des entrepreneurs. Le centre met l’accent sur le renforcement des compétences pratiques, la collaboration et la résolution de problèmes.

En six ans, Guerra Tech Hub a conçu et développé plusieurs programmes, dont Hack Her_, son initiative phare. Ce programme est destiné aux femmes sans emploi âgées de 18 à 30 ans. Par cohortes de 30, il les initie aux métiers du numérique, à la culture technologique et aux bases du code.

Parmi les autres programmes notables figurent Guerra Impulse, Keoubougou Pi et ImpalaEdTech – Parakou. Guerra Impulse accompagne les entrepreneurs dans l’élaboration et le développement de leur projet d’entreprise. D’une durée de 12 mois, ce programme cible les entrepreneurs en phase d’amorçage, sélectionnant cinq startups ou projets par cohorte pour y participer.

Keoubougou Pi vise à inspirer les jeunes écoliers du nord Bénin en les familiarisant avec l’informatique, les préparant ainsi à devenir des citoyens numériques. ImpalaEdTech – Parakou a pour objectif de couvrir à long terme tous les aspects des technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement. Pour atteindre cet objectif, le centre promeut l’enseignement et l’utilisation des TIC dans les écoles et crée des opportunités d’emploi pour les jeunes, en particulier les filles, dans le domaine des TIC.

A ce jour, Guerra Tech Hub a formé plus de 120 jeunes femmes, plus de 500 éducateurs technologiques et plus de 15 000 personnes dans le nord du pays grâce à ses programmes. Il a également investi plus de 175 000 USD dans l’écosystème tech béninois.

Melchior Koba

Lire aussi:

Bénin : Hadjara Ahouantchede forme aux compétences numériques

Published in Tech Stars

En Côte d’Ivoire, les talents du domaine numérique, notamment les analystes de données, sont parmi les plus recherchés sur le marché de l'emploi. Pour renforcer la main-d'œuvre dans ce secteur, Yango poursuit des initiatives de formation spécifiques.

Yango, un service international de réservation de taxis en ligne, a annoncé le mercredi 12 juin le lancement de la nouvelle phase de son programme Yango Education. Cette initiative vise à offrir aux Ivoiriens de 18 ans et plus, ayant terminé leur éducation de base, des cours en ligne d'introduction à l'analyse de données développés par les ingénieurs de Yango.

« Grâce à cette initiative, nous continuerons à offrir un accès gratuit aux cours et à les étendre au reste de la communauté, ce qui, nous l'espérons, aidera les individus à prospérer dans l'économie numérique. Chez Yango, nous croyons au pouvoir de l'éducation pour stimuler l'innovation et créer des opportunités de croissance », a déclaré Kadotien Soro, directeur national de Yango en Côte d'Ivoire.

La formation comporte un accès gratuit à un cours en ligne d'analyse de données en Python et SQL, d'une durée totale de 80 heures réparties sur un mois. Plus de 1 500 étudiants seront sélectionnés tout au long de l'année après examen des candidatures et entretiens personnels avec l'équipe de Yango. La priorité sera donnée à ceux qui souhaitent poursuivre leur éducation et faire carrière dans l'analyse de données. Les chauffeurs partenaires de l'entreprise, les coursiers et/ou leurs familles sont également éligibles aux programmes.

Cette initiative s'inscrit dans la continuité des actions de Yango visant à promouvoir l'entrepreneuriat en Afrique, en dotant les jeunes des connaissances nécessaires pour collecter, analyser et visualiser des données liées au développement des entreprises. La première promotion comprendra environ 250 bénéficiaires.

Samira Njoya

Lire aussi:

Yango prévoit de lancer une plateforme internationale d’apprentissage en ligne au Cameroun 

Published in Tech

Serial entrepreneur, il possède une riche expérience dans la technologie. A la tête d’un incubateur, il aide les jeunes Congolais à devenir des tech entrepreneurs à succès.

Jean-François (Max) Bonbhel (photo) est un entrepreneur congolais. Fondateur et président-directeur général de Yekolab, il fournit des services d’incubation de start-up et soutient les jeunes tech entrepreneur congolais.

Créé en 2014, Yekolab est à la fois un incubateur de start-up et un centre d’excellence en formation aux nouvelles technologies et aux métiers émergents. En exploitant la puissance des TIC, il encourage l’innovation, l’entrepreneuriat et la création d’emplois au Congo et en Afrique.

En plus de l’incubation, il sélectionne et accompagne les entrepreneurs technologiques prometteurs, renforçant leurs compétences techniques et managériales. L’incubateur offre également des services d’accélération aux petites et moyennes entreprises (PME) locales et régionales, en mettant l’accent sur la technologie, afin de les aider à augmenter leur part de marché et à devenir des leaders dans leurs domaines respectifs.

Max Bonbhel est aussi le fondateur et président d’Africa Java User Groups, un réseau de coordination pour les groupes d’utilisateurs du langage de programmation Java en Afrique. En outre, il a fondé et dirige JCertif International, une organisation créée en 2009 qui fournit gratuitement du matériel de formation et des conférenciers, et favorise la collaboration entre les groupes d’utilisateurs de technologies sur le continent africain.

Depuis 2011, Max Bonbhel travaille comme rédacteur technique indépendant chez Oracle. Il est aussi un cofondateur et le directeur technique d’Access EMI, une entreprise américaine créée en 2014, qui met en relation les entreprises technologiques avec les communautés technologiques.

Diplômé de l’université Evry Paris-Saclay où il a étudié de 2000 à 2002, l’entrepreneur a travaillé pendant plusieurs années à Fujitsu Canada. De 2004 à 2014, il y a été consultant et formateur Java et chef de projet.

Melchior Koba

Lire aussi:

La Congolaise Gisèla Van Houcke numérise le secteur de la beauté

Published in Tech Stars

Le ministère congolais des Postes, des Télécommunications et de l’Economie numérique a annoncé le vendredi 7 juin, en partenariat avec l’entreprise technologique chinoise Huawei, l’ouverture des candidatures pour le Prix de l’innovation numérique Denis Sassou Nguesso (photo). Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 19 juin pour les jeunes du monde entier âgés de 19 à 28 ans et passionnés de technologie. Cliquez sur ce lien pour postuler.

Lire aussi:

Le président ghanéen milite pour une interopérabilité de la téléphonie mobile en Afrique

Published in Breves_Une

La Banque africaine de développement, dans le souci de soutenir les pays africains dans leur processus de transformation numérique, scelle divers accords stratégiques.

La Banque africaine de développement (BAD) et la firme technologique américaine Intel ont signé un partenariat pour doter 3 millions d’Africains et 30 000 fonctionnaires de compétences en matière d’intelligence artificielle (IA). L’accord a été paraphé en marge des récentes Assemblées annuelles de la BAD à Nairobi, au Kenya. L’annonce a été faite dans un communiqué publié le vendredi 7 juin.

« Avec les progrès de la technologie numérique, notre monde évolue rapidement, tout comme notre jeunesse, qui devrait atteindre 830 millions d’individus d’ici à 2050. Pour développer des compétences à grande échelle et à la vitesse nécessaire, nous avons besoin de la coopération de tous », a indiqué Ousmane Fall (photo, à droite), directeur par intérim du Développement industriel et commercial à la Banque africaine de développement. Et il poursuit : « la Banque est ravie de collaborer avec Intel pour travailler à la réalisation de cet engagement commun. Ensemble, nous façonnons l’avenir numérique de l’Afrique et nous autonomisons notre jeunesse ».

Se doter de compétences numériques est devenu indispensable avec la révolution technologique en cours dans le monde. Les pays africains ne sont pas en marge de cette révolution et avec le soutien de diverses institutions telles que la BAD, divers projets sont mis en œuvre. En mai 2024, la BAD s’est associée à l’américain Mastercard pour la mise en œuvre de l’initiative MADE (Mobilising Access to the Digital Economy) qui vise à offrir un accès au numérique à 100 millions de personnes et d'entreprises africaines au cours des dix prochaines années.

Cette nouvelle initiative permettra, entre autres, d'accélérer la croissance et la productivité, en positionnant les Africains comme contributeurs actifs de la quatrième révolution industrielle dans les secteurs clés comme l'agriculture, la santé et l'éducation, perturbant les cycles de croissance traditionnels.

Adoni Conrad Quenum

Lire aussi:

MasterCard s’associe à la BAD pour étendre l’accès au numérique en Afrique

La BAD investit 10,5 millions $ dans Seedstars Africa Ventures pour soutenir le financement des start-up

Published in Tech

Les start-up africaines jouent un rôle crucial dans le développement économique et social du continent. Il est important de les soutenir et de les encourager en leur fournissant un accès au financement, au mentorat et aux ressources nécessaires pour réussir.

AfriLabs, un réseau panafricain de centres d'innovation technologique, a annoncé le mardi 4 juin la signature d'un protocole d’accord avec la Fondation Corée-Afrique (KAF), une initiative du gouvernement coréen visant à soutenir des partenariats avec le continent africain. Ce partenariat vise à promouvoir l'innovation et la prospérité économique à travers l'Afrique en soutenant les start-up.

« Chez AfriLabs, nous nous engageons à libérer tout le potentiel de l'Afrique et à générer de la richesse grâce à des alliances stratégiques. Ce partenariat ouvre un trésor d'opportunités pour les start-up, leur donnant accès à un réseau mondial, des ressources inestimables et une connaissance inégalée du secteur », a indiqué AfriLabs sur X.

Dans le cadre du partenariat, AfriLabs et KAF mettront en œuvre des projets tirant parti de leurs expertises respectives pour favoriser un écosystème dynamique qui cultive les talents et favorise un solide esprit d’entreprise. L’objectif est de donner les moyens à la prochaine génération d’innovateurs et d’entrepreneurs africains pour construire un développement durable.

Le partenariat intervient à la veille du Forum des jeunes start-up Corée - Afrique qui se tiendra le mercredi 5 juin à Séoul. Cet événement vise à renforcer la coopération entre la Corée et les nations africaines en réunissant des investisseurs, des start-up et des organisations de soutien des deux continents.

Le partenariat devrait  ainsi permettre aux start-up du réseau AfriLabs de profiter de l'expérience coréenne en matière de numérique. Le pays est doté d'un environnement technologique ultra-avancé qui peut servir de modèle aux entrepreneurs africains. En combinant leurs forces, AfriLabs et la KAF sont convaincus que ce partenariat contribuera de manière significative à la transformation de l'Afrique en un continent prospère et innovant.

Samira Njoya

Lire aussi:

Les candidatures pour le programme Intel Community Reach sont ouvertes jusqu’au 7 juin

Published in Tech
Page 15 sur 64

Please publish modules in offcanvas position.