La pandémie de Covid-19 a accéléré la mise en place de cette jeune pousse, qui étudiait le marché togolais pour apporter des solutions digitales au secteur de l’événementiel. Depuis lors, elle fait son bonhomme de chemin et a été associée à plus de 150 événements depuis son lancement.

Klumer est une solution numérique développée par l’entreprise Eods Communication. Elle permet aux utilisateurs de se procurer les tickets d’événements en ligne depuis leur ordinateur ou leur smartphone. La start-up, basée à Lomé, a été fondée en 2018 par Fiacre Dagbegnon.

« Klumer est une plateforme événementielle dotée d’un écosystème complet, conçu pour offrir une assistance optimale aux organisateurs d’événements dans la réalisation de leurs objectifs en termes de ciblage de leur public », indique la jeune pousse.

L’application est disponible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d'après les statistiques de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, crée son compte et accède aux services de la jeune pousse. Outre le service e-Ticket qui fonctionne comme une billetterie en ligne et permet de se procurer les tickets de divers événements depuis la plateforme de Klumer, la start-up embarque les services e-Voting, e-Collect et e-Score.

Comme leur nom l’indique, e-Voting permet d’organiser des votes en ligne en un seul clic ; e-Collect aide à effectuer des appels de fonds et des dons sociaux de manière transparente et e-Scoring facilite l’accompagnement des divers événements compétitifs avec un tableau de score digitalisé.

« Klumer a été développé sur le format de Facebook et Instagram. Aujourd'hui, on n’a rien à envier à ce que les développeurs de la Silicon Valley ont réalisé en matière de développement de réseaux sociaux. La seule différence, c’est au niveau de leur logistique que nous n’avons pas encore », a déclaré en février 2023 Fiacre Dagbegnon à Togo First

La start-up togolaise revendique plus de 810 000 utilisateurs, ainsi qu'avoir couvert plus de 150 événements depuis son lancement. Elle a été sélectionnée, avec neuf autres start-up togolaises, pour participer à la deuxième édition du salon technologique Gitex Africa à Marrakech, au Maroc, du 29 au 31 mai derniers.

Adoni Conrad Quenum

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Après l’Asie et l’Europe, avec le Royaume-Uni, la Géorgie ou encore la Turquie, la start-up émiratie OneClickDrive a décidé d’investir un nouveau continent. Elle a choisi le Maroc comme point de départ de son aventure africaine.

OneClickDrive, une place de marché émirati de location de voitures, étend ses activités au Maroc marquant sa première incursion sur le marché africain. L’annonce a été faite via un communiqué de presse publié le lundi 3 juin.

La start-up, basée dans la ville de Dubaï, soutient sa croissance en investissant un autre continent après l’Europe et l’Asie. Pour ses débuts dans le royaume chérifien, elle s’est lancée dans huit villes que sont Agadir, Casablanca, Fès, Marrakech, Nador, Oujda, Rabat et Tanger. Fondée en 2015 par Mahesh Pagarani, OneClickDrive est spécialisée dans la location et le leasing de véhicules de diverses gammes, allant des low cost aux voitures de luxe.

En plus de sa plateforme web, elle dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois, d’après les données de Play Store. L’utilisateur, après la création de son compte, peut accéder au parc automobile de la jeune pousse composée de plus de 5 000 véhicules.

OneClickDrive a signé des partenariats avec plus de 250 fournisseurs de voitures de location dans les villes où elle est présente pour garantir à ses 100 000 clients mensuels de trouver la voiture adéquate pour leurs divers besoins. Pour rappel, les start-up africaines opérant sur le segment de la mobilité ont levé 48 millions $ en capitaux propres en 17 opérations, d’après les données du fonds d’investissement axé sur le secteur technologique, Partech Africa.

Adoni Conrad Quenum

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Le développement du e-commerce sur le continent entraîne une hausse de la demande en logistique. Ce secteur englobe la livraison du dernier kilomètre, et pour combler ce vide, un tech entrepreneur a mis en place une solution adaptée au marché de son pays.

Forcelog est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet aux utilisateurs, notamment les e-commerçants et les professionnels du commerce, de livrer des commandes ou des colis à leurs clients. La start-up, basée à Casablanca, a été fondée en 2021 par Anas Bouziane.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Pour accéder aux services de la start-up, il faut se rendre sur son site Internet. L’utilisateur clique sur le bouton « Devenir client » et arrive sur une page où il doit remplir un formulaire avec son nom, le nom de son entreprise, une adresse e-mail, la ville où se situe le siège social de son entreprise, etc. Après cette étape, il accède à un espace de travail pour suivre ses activités avec Forcelog.

« Nos prestations comprennent un service de ramassage gratuit depuis votre boutique ou magasin de stockage sans quantité minimum, un stockage dans nos locaux jusqu’à déclenchement des commandes auprès de vos clients, la préparation et l’emballage des produits si nécessaire, et enfin l’expédition des colis et la livraison à l’adresse du client », explique la start-up.

Forcelog revendique livrer vers 240 destinations au Maroc. La start-up propose des délais de livraison de 24 heures pour les grandes villes comme Casablanca, Rabat et Marrakech, et de deux jours pour les petites villes. L’utilisateur peut suivre en temps réel depuis son espace de travail l’évolution des livraisons grâce au système de tracking. Les tarifs, quant à eux, commencent à partir de 18 dirhams marocains (environ 1,81 $) par commande livrée.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faciliter la mise en relation entre les particuliers et les professionnels des Bâtiments et travaux publics, une start-up met en place une solution sur mesure.

Djooman est une solution numérique développée par une start-up ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de se faire assister dans les travaux de construction et de rénovation. La start-up, basée dans la ville d’Abidjan, a été fondée en 2019.

« Djooman.ci est venu d’un constat, la recherche d’un artisan compétent et de confiance est difficile et anxiogène pour les particuliers et les entrepreneurs du BTP [Bâtiments et travaux publics] », explique la jeune pousse. Et elle poursuit : « Djooman est un service d’accompagnement des particuliers et des PME dans leurs travaux de rénovation et constructions, qui s’appuie à la fois sur une plateforme digitale innovante, et sur un réseau d’intermédiaires sur le terrain nos "Conducteurs travaux" qui sélectionnent les artisans et entreprises partenaires de Djooman et peuvent intervenir chez nos clients ».

La solution ne dispose pas encore d’une application mobile. L’utilisateur passe par le navigateur pour accéder à la plateforme. Il peut directement demander un devis sans créer un compte. Il suit le processus dans lequel il fournit les informations nécessaires comme le type de bien (immeuble, appartement, bureau, etc.), le lieu des travaux, les artisans nécessaires ou encore une description du projet. L’utilisateur a également la possibilité d’ajouter des images du lieu pour donner un meilleur aperçu de son projet et de suivre son évolution depuis l’espace de travail.

Avec ces données, les experts de Djooman feront un devis sur mesure et proposeront parmi les artisans inscrits sur la plateforme, les plus à même de réaliser le projet, qu’il soit de réalisation ou de rénovation. Parmi les artisans, on retrouve sur le site Internet des architectes, des architectes d’intérieur, des décorateurs d’intérieur, des menuisiers, des peintres, des maçons ou encore des cuisinistes.

Adoni Conrad Quenum

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Ingénieur mécanique de formation, il fait le choix de se lancer dans l'entrepreneuriat après son diplôme. Il développe des solutions technologiques qui facilitent la vie des Angolais.

Erickson Mvezi (photo) est un cofondateur et le président-directeur général de Tupuca. Originaire d’Angola, il a fondé la start-up avec Patrice Espírito Santo, Sydney Texeira et Wilson Ganga afin de permettre à ses utilisateurs de commander des repas, entre autres, et de se faire livrer à domicile.

Créée en 2015, Tupuca a débuté avec la livraison de repas à domicile. Rapidement, elle a étendu ses services pour inclure les commandes d'épicerie, de petits commerces, et même des services postaux. Les livreurs de Tupuca peuvent effectuer des courses dans divers magasins de Luanda pour le compte de leurs clients.

En 2022, Tupuca s'est implantée en République démocratique du Congo et travaille sur le développement d'une super application mobile. « L'entreprise se positionne stratégiquement en vue d'une croissance rapide au cours des 18 prochains mois grâce à la mise en œuvre de la stratégie de la super-application tout-en-un », déclare Erickson Mvezi en 2023.

Erickson Mvezi est diplômé de l’université de Louisiane à Lafayette où il a obtenu en 2014 un bachelor en ingénierie mécanique. Il est aussi titulaire d’un master en entrepreneuriat social obtenu en 2015 à la Hult International Business School, aux Etats-Unis. Hormis Tupuca, il a cofondé en 2018 l’application T’LEVA, qui permet aux utilisateurs de commander un taxi en fonction de leur position.

Erickson Mvezi a commencé sa carrière professionnelle en 2009 comme ingénieur mécanique stagiaire chez C&C Technologies South Africa. En 2015, il a travaillé comme consultant en développement commercial pour IDEO.org, un studio de conception à but non lucratif créant des programmes, produits et services pour améliorer la santé, la mobilité économique et le bien-être.

 Melchior Koba

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Après son master en gestion des projets à l’université de Kigali en 2016, elle met en place sa plateforme de commerce en ligne, se positionnant comme l’une des pionnières du secteur dans son pays, le Rwanda.

Murakali est une solution e-commerce développée par une jeune pousse rwandaise. Elle permet aux utilisateurs d’effectuer des achats sur ses plateformes web et mobile. La start-up, basée à Kigali, a été fondée en 2015 par Yvette Uwimpaye.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android où elle a été téléchargée plus d’un millier de fois. L’utilisateur pourra ainsi créer un compte avec ses informations personnelles et accéder aux services de la jeune pousse. Entre autres, il peut acheter en ligne divers produits tels que les articles de maison, les produits d’épicerie et d’alimentation générale, les articles pour bébé, etc.

C’est la solution « pour les mamans qui sont occupées à concilier travail et vie, pour les célibataires qui ont besoin d'une livraison rapide, pour les nouveaux résidents qui ne connaissent pas les prix et les marchés, pour les diasporas qui veulent faire des courses pour leurs familles au Rwanda, et pour les organisations qui ont besoin de consommables de bureau et de papeterie de bureau ».

Murakali offre les meilleurs prix aux clients parce que, en plus de la start-up elle-même, d’autres enseignes de commerce ont la possibilité d’ouvrir leurs magasins sur la plateforme. De là, plusieurs boutiques spécialisées disposent de magasins sur Murakali, ce qui contribue également à la multiplicité des articles sur la plateforme de commerce en ligne.

La start-up dispose d’un service de livraison et s’est associée à l’entreprise américaine DHL pour livrer hors du Rwanda. En attendant une expansion dans d’autres pays du continent, Murakali dispose déjà de clients hors du Rwanda (Ouganda, Kenya) et même hors du continent (Etats-Unis, Suisse).

Adoni Conrad Quenum

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En tant qu’entrepreneur expérimenté, il a démontré ses compétences et son expertise dans le secteur des technologies de l’information et des services. Il a mené des projets ambitieux et apporte des solutions innovantes aux défis actuels de l’Afrique.

Chisepo Chirwa (photo) est un informaticien et un entrepreneur zambien. Il est un cofondateur et le président-directeur général de Bosso, une start-up qui utilise la technologie pour faciliter la construction.

Créée en 2022, Bosso propose une plateforme en ligne où les futurs propriétaires peuvent trouver tous les produits et services nécessaires à la construction de leur maison. En collaborant avec des fabricants, des quincailleries, des promoteurs et des entrepreneurs, Bosso vise à rendre le logement plus abordable en Afrique.

La société travaille également avec des institutions financières pour aider ses clients à obtenir des financements. Elle propose plusieurs options, comme l’approche « acheter maintenant, payer plus tard », les prêts hypothécaires classiques et l’approche « épargner maintenant, construire plus tard ».

Avant Bosso, il a cofondé en 2016 l’application mobile Z’POS qui permet à ses utilisateurs d’enregistrer leurs transactions commerciales afin de connaître facilement les performances de leur entreprise. D’abord directeur des opérations de la start-up, il a, de 2018 à 2019, été son président-directeur général.

Chisepo Chirwa est diplômé de l’université de Greenwich, à Londres, où il a obtenu en 2012 un bachelor en informatique. Bénéficiaire de la Bourse Mandela Washington en 2021, il a effectué une formation en gestion d’entreprise à la Clark Atlanta University.

Entre 2012 et 2015, l’entrepreneur était un professionnel du marketing de réseau chez Forever Living Products International Company. Au sein de cette entreprise, il a mis en place des équipes de distribution et de vente dans toute l’Afrique australe pour divers produits de consommation dans l’industrie de la santé et de la beauté.

Melchior Koba

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Les applications de VTC ont le vent en poupe sur le continent. Plusieurs entreprises d’envergure mondiale s'installent sur le continent pour concurrencer les opérateurs locaux.

Woyo est une solution d'e-mobilité développée par une jeune pousse malienne. Elle permet aux utilisateurs de se déplacer via des taxis préalablement commandés par une application mobile. La start-up, basée à Bamako, a été fondée en 2020 par Oumar Diawara. Les objectifs de Woyo sont, entre autres, de rendre les transports, en l’occurrence les nocturnes, plus sûrs et de contribuer à la réduction du chômage au Mali.

L’application mobile de la solution est accessible sur iOS et sur Android où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les données de Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte et accède aux services proposés par la jeune pousse. Il entre sa destination et en fonction de sa situation géographique, le chauffeur le plus proche prend la course.

Les tarifs sont fixés par l’application et ils varient de façon standard entre 500 FCFA (environ 0,82 $) et 1 000 FCFA par kilomètre. La jeune pousse dispose également des tarifs Eco établis à 2 000 FCFA, Confort à 2 500 FCFA et VIP à 5 000 FCFA. En ce qui concerne les chauffeurs, ils prennent des commissions à hauteur de 20% sur toutes les courses et à la fin du mois une prime fixe pour le meilleur chauffeur établi en fonction du nombre de courses et de la note des clients. En effet, après chaque course sur Woyo, les clients doivent laisser un commentaire et noter le service. C’est une façon de motiver l’équipe à fournir les meilleurs services aux clients.

En octobre 2023, la start-up malienne revendiquait une flotte d’une vingtaine de véhicules et de plus d’une centaine de chauffeurs partenaires. Quant aux moyens de paiement, Woyo intègre sur son application les cartes bancaires, mobicash ou encore le mobile money, en l’occurrence Orange Money.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but d’aider les entrepreneurs africains à développer leurs affaires sur le continent sur les plans juridique et administratif, deux tech entrepreneurs ont mis en place une solution sur mesure.

Legafrik est une solution legaltech développée par une jeune pousse ivoirienne. Elle permet aux utilisateurs de plusieurs pays du continent d’accéder à des services juridiques depuis sa plateforme web. La start-up, basée à Abidjan, a été fondée en 2017 par Youssouf Ballo et Daouda Diallo.

« Notre but est de rendre les services juridiques de base accessibles au plus grand nombre dans les pays de l’OHADA [Organisation pour l'harmonisation en Afrique du droit des affaires]. Aujourd’hui, on parle beaucoup d’inclusion financière, mais je pense qu’il est aussi important de parler d’inclusion juridique. Notre mission est donc de permettre à tous d’accéder à n’importe quel service juridique à des frais très abordables », explique la jeune pousse.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. L’utilisateur devra passer par le navigateur pour accéder au site de la start-up. Il faudra ensuite appuyer sur le bouton « accès client » dans le coin supérieur droit pour accéder à la page de connexion puis cliquer sur « inscrivez-vous ». L’utilisateur devra remplir le formulaire avec son nom, son prénom, son numéro de téléphone puis créer un mot de passe.

Le compte créé, il a accès à un espace de travail depuis lequel il pourra lancer divers services et suivre leur évolution. Entre autres, Legafrik propose des services de création d’entreprise dans plusieurs pays africains, d’assistance pour l'ouverture de comptes bancaires, de recouvrement de créances impayées, de domiciliation d’entreprise ou encore d’obtention de licences ou agréments administratifs.

Depuis son lancement, la jeune pousse a soutenu plus de 7 000 entrepreneurs et a rempli plus de 20 000 formalités juridiques et administratives. En plus de la Côte d’Ivoire, elle est présente au Bénin, au Maroc, au Sénégal, en RDC, au Burkina Faso, en Guinée, au Togo ou encore au Cameroun.

Adoni Conrad Quenum

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Après avoir obtenu son diplôme d'ingénieur et accumulé trois ans d'expérience en recherche et développement, Marwa Moula décide de se consacrer à l'entrepreneuriat. En 2020, elle fonde sa première entreprise pour révolutionner l'industrie de l'e-commerce en Afrique.

Marwa Moula (photo) est une ingénieure DevOps, une spécialiste en marketing digital et une entrepreneure tunisienne. Elle est une cofondatrice et la présidente-directrice générale d’IleyCom, une marketplace sociale qui propose des produits fabriqués par des entrepreneurs basés principalement en Afrique.

Fondée en 2020, IleyCom offre aux artisans africains une plateforme omnicanale pour vendre leurs créations artisanales, y compris des produits faits main, des vêtements berbères et traditionnels, ainsi que des spécialités gastronomiques. Sa mission est de « réinventer l'e-commerce équitable de manière à créer un monde plus épanouissant et durable, et nous nous engageons à utiliser le pouvoir des entreprises pour renforcer les communautés ».

En plus de sa marketplace, IleyCom propose un programme d’incubation pour jeunes entrepreneurs sociaux, les aidant à développer des projets à impact positif et à valoriser leurs produits.

Depuis le mercredi 22 mai 2024, Marwa Moula représente sa start-up au salon VivaTech, qui se termine le samedi 25 mai.

En parallèle de ses activités chez IleyCom, Marwa Moula est la présidente de l’association « La Tunisie De Demain » depuis 2020. Cette association œuvre pour l'instauration de l'économie sociale et solidaire (ESS) en Tunisie.

Marwa Moula est diplômée de l'Institut national des sciences appliquées de Lyon, où elle obtient un master en génie mécanique en 2016, suivi d'un doctorat en science des matériaux en 2020. En 2021, elle décroche un diplôme d’ingénieure DevOps de l'Ib Cegos, filiale du groupe Cegos, spécialisée dans la formation des professionnels de l’informatique.

Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, Marwa a acquis une riche expérience en France. En 2014, elle était ingénieure FAO (fabrication assistée par ordinateur) chez STELIA Aerospace, fabricant de composants pour l’industrie aéronautique et aérospatiale. En 2015, elle rejoint LaMCoS, un laboratoire de mécanique, en tant qu’ingénieure de simulation numérique. En 2021, elle devient ingénieure en recherche et développement à l’université de Lille.

Melchior Koba

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