Il est un entrepreneur spécialisé dans les services électroniques en Afrique. Il conçoit des solutions numériques innovantes pour simplifier le quotidien de la population gabonaise.
Anthony Marat (photo) est un homme d’affaires et un entrepreneur en série gabonais. Il est le fondateur de Yoboresto, une application de livraison de repas de restaurant. Créée en 2018, Yoboresto est une entreprise gabonaise qui facilite la commande et la livraison de repas à Libreville et ses environs. Grâce à son site internet et son application mobile, les utilisateurs peuvent commander des plats en quelques clics, depuis une vaste sélection de restaurants partenaires.
La plateforme permet d’accéder aux menus, aux prix, aux horaires d’ouverture et de fermeture, ainsi qu’aux photos et aux avis des clients. Yoboresto propose également des services complémentaires tels que la réservation de tables pour le déjeuner ou le dîner et un programme de fidélité qui récompense les utilisateurs avec des points bonus.
Anthony Marat est titulaire d’un bachelor en affaires internationales obtenu en 2014 à la Marymount University aux États-Unis. Il détient aussi un master en entrepreneuriat et développement des affaires internationales obtenu en 2016 à l’American Business School de Paris.
Sa carrière professionnelle a commencé en 2010 avec des stages au sein d’entreprises prestigieuses comme Citi, Bechtel Corporation, Addax Petroleum et SCRP Consulting. En 2014, il rejoint l’Académie franco-américaine de management (AFRAM) au Gabon en tant que stagiaire en gestion de projet. L’année suivante, il effectue un stage en droit et fiscalité chez Deloitte Gabon. En 2017, il travaille comme consultant en affaires chez Vivendi, une entreprise spécialisée dans la promotion de l’art, des spectacles et des activités récréatives.
Melchior Koba
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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5 tech entrepreneurs zimbabwéens ont lancé un service pour faciliter la réservation de billets de bus aux usagers. L’idée a germé dans l’esprit de l’un d’entre eux, alors qu’il faisait du commerce dans une gare routière.
myRunner est une start-up tech zimbabwéenne lancée en 2017 par Vusumuzi Mkhwananzi, Josiah Mahachi, Millcent Mkhwananzi, Gift Chirinda et Mandla Ncube avec pour but d’améliorer les services de transport routier en Afrique. Via ses plateformes web et mobile tout-en-un, elle permet aux utilisateurs d’accéder à de la billetterie en ligne et de suivre les bus en temps réel. Pour les compagnies de transport, elle facilite la gestion des parcs automobile.
« J’ai grandi en vendant des friandises et des gelées dans une gare routière [...] Tous les jours, je voyais les défis auxquels étaient confrontés les passagers et les opérateurs d’autobus, les voyageurs harcelés par les rabatteurs, l’attente de longues heures pour les bus, et les compagnies d’autobus, qui perdaient beaucoup de revenus en raison de systèmes de billetterie inefficaces et de systèmes de gestion des bus largement manuels » explique Vusumuzi Mkhwananzi.
Plusieurs processus sont ainsi simplifiés avec myRunner. Le voyageur inscrit peut par exemple acheter son billet en ligne chez la compagnie de son choix grâce à divers moyens de paiement digitaux. Il peut choisir en fonction de sa destination, du jour et de l’heure de son voyage entre autres.
Présente dans plusieurs pays africains, notamment le Botswana, l’Afrique du Sud, la Zambie, le Malawi et le Zimbabwe, la jeune pousse cherche à transformer l’industrie du transport interurbain en Afrique en alliant innovation et accessibilité. Elle ambitionne d’accélérer sa croissance en développant davantage ses fonctionnalités pour répondre aux besoins croissants du marché.
En juillet 2024, elle a été sélectionnée avec 41 autres start-up africaines pour faire partie de la première cohorte Timbuktoo Fintech Hub. L’initiative mise en place par les pays africains et le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), vise à soutenir le développement de l’écosystème technologique africain.
Adoni Conrad Quenum
Édité par : Feriol Bewa
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Diplômé en finance, il a acquis une riche expérience professionnelle en travaillant au sein de diverses entreprises en Afrique, en Europe et aux États-Unis. Aujourd’hui, il est entrepreneur et s’est spécialisé dans le domaine de la logistique.
Nick Joshi (photo) est un expert en finance et un entrepreneur technologique kényan. Il est le fondateur et président-directeur général de Leta, une start-up innovante spécialisée dans la gestion et l’optimisation des livraisons pour les entreprises.
Fondée en 2021, Leta développe des solutions logistiques intelligentes permettant un transport automatisé et efficace des marchandises en Afrique. Grâce à l’intelligence artificielle (IA), l’entreprise optimise les itinéraires de livraison, réduit les coûts logistiques et améliore l’efficacité globale des opérations.
Leta aide les entreprises à gérer leurs processus logistiques et leur chaîne d’approvisionnement de manière entièrement numérique. Sa technologie permet aux clients finaux de suivre et de tracer leurs livraisons en temps réel, renforçant ainsi leur confiance. Depuis sa création, l’entreprise a facilité plus de 2,5 millions de livraisons et s’appuie sur une flotte de plus de 5000 véhicules. Aujourd’hui, Leta est présente au Kenya et au Nigeria.
Nick Joshi est titulaire d’un bachelor en finance d’entreprise et financement d’investissement obtenu à l’université d’Australie occidentale. Il commence sa carrière professionnelle en 2006 chez Paradigma Solutions, une entreprise australienne spécialisée dans le développement professionnel et le coaching, où il occupe le poste de consultant.
En 2009, il rejoint le Département des services d’incendie et d’urgence d’Australie de l’Ouest en tant que gestionnaire de programme. En 2013, il devient directeur des produits chez MakerBot, une entreprise américaine reconnue pour son écosystème éducatif autour de l’impression 3D. En 2018, il occupe un poste similaire chez Spring Inc., une société visant à offrir la meilleure expérience d’achat mobile au monde. De 2019 à 2021, Nick Joshi est vice-président chargé des produits pour la plateforme de marché en ligne delivery.com.
Melchior Koba
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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Pour aider les entreprises à dénicher des talents dans les pays africains et leurs diasporas, et ces derniers à trouver des emplois, le tech entrepreneur sénégalais Kémo Touré a monté une solution sur mesure.
Wutiko est une plateforme web qui propose aux Africains, y compris ceux des diasporas, de découvrir les meilleures opportunités disponibles en matière d'emploi, de financements ou encore d’évènements. Elle a été conçue par l’agence Wutiko Senegal SAS de Kémo Touré, basée à Dakar, mais aussi à Lagos (Nigeria) et à Ébène (République de Maurice).
La solution numérique utilise l’intelligence artificielle pour proposer les profils les plus intéressants en fonctions des critères de recherche. On peut ainsi postuler à des offres ponctuelles ou recruter un demandeur d’emploi. La plateforme propose aussi divers services comme la gestion de petites annonces, des outils de collaboration, ainsi que des solutions pour mesurer la performance.
Il y a par exemple le Wutiko Wealth Index qui évalue les interactions au sein de la communauté de la plateforme. Cette initiative vise à mieux répondre aux besoins du marché de l'emploi en Afrique, tout en favorisant l'accès à des ressources adaptées aux spécificités locales et régionales.
« Wutiko est aujourd’hui une plateforme adaptée pour répondre aux besoins du marché de l’emploi au Sénégal, en Afrique, mais également dans la diaspora. Un jeune, au lieu d’avoir un CV papier et d’envoyer des messages à des entreprises non avérées, en venant chez nous, pourra donner plus de visibilité à son profil qui sera vu par l’ensemble des entreprises présentes sur la plateforme. Également, les entreprises ont la possibilité de recruter sur la base de CV bien structurés et certifiés » explique Kémo Touré.
Adoni Conrad Quenum
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Elle a effectué ses études universitaires en finance en France et en Angleterre. Après plusieurs années d’expérience dans ce domaine, elle décide de se lancer dans l’entrepreneuriat en se tournant vers le secteur de la logistique.
Zeinabou Sidibe (photo) est une experte en finance et une entrepreneure malienne. Elle est la fondatrice et la présidente-directrice générale d’Afrisends, une entreprise spécialisée dans le transport et la logistique, dont l’objectif est de démocratiser les achats et les livraisons internationaux.
Fondée en 2021, Afrisends a pour mission de rendre l’e-commerce mondial accessible aux Africains tout en simplifiant la chaîne logistique pour les entreprises. Grâce à sa plateforme numérique, elle permet aux particuliers d’accéder facilement à des produits provenant du monde entier et aide les entreprises à accroître leur compétitivité. La société offre un accès à un réseau de plus de 200 fournisseurs internationaux répartis notamment en Chine, en Turquie, à Dubaï et en Europe.
En tant qu’entreprise logistique, Afrisends assure le transport de marchandises par voie aérienne, maritime ou routière, selon les besoins de ses clients. Elle facilite également le dédouanement des marchandises, propose une assurance fret et offre des services de livraison dernier kilomètre dans des villes comme Abidjan, Bamako et Dakar. La plateforme numérique permet aux utilisateurs de suivre leurs stocks et livraisons en temps réel.
Zeinabou Sidibe est diplômée de l’Université Libre de Tunis, où elle obtient en 2010 un bachelor en finance. Elle poursuit ensuite ses études en France, où elle décroche un master en gestion financière internationale en 2012 à l’ESG Finance, puis un master en audit, contrôle de gestion et systèmes d’information en 2014 à la SKEMA Business School. En 2015, elle complète sa formation avec un master en audit et conseil obtenu à l’ESCP Business School en Angleterre.
Sa carrière commence en 2012 en France chez Attijariwafa Bank, où elle occupe le poste d’assistante en banque d’affaires. Elle rejoint ensuite la Société Générale en tant que contrôleur de gestion de projet. En 2013, elle est nommée au poste de contrôleur financier chez Veolia Environnement, une société spécialisée dans la transformation écologique. En 2015, elle intègre Deloitte France comme auditrice. De 2018 à 2024, elle travaille comme contrôleur financier au sein du groupe PPG Industries, une multinationale spécialisée dans les peintures.
Melchior Koba
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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Samer Choumar, cofondateur et président-directeur général de z.systems, une entreprise marocaine spécialisée dans la technologie de vente au détail B2B, a annoncé le jeudi 12 décembre la clôture d’un tour de table de 1,05 million de dollars. Ce financement permettra à la start-up de poursuivre la modernisation de l’écosystème traditionnel du commerce de détail au Maroc.
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Dans le but de faciliter l’assimilation de divers concepts scolaires par les enfants et les adolescents, une entrepreneure tech a mis en place une plateforme d’apprentissage en ligne qui révolutionne la façon d’apprendre avec des contenus innovants.
Sikul est une plateforme d’apprentissage en ligne développée par une start-up gabonaise. Elle permet principalement aux enfants et aux adolescents d’accéder à des contenus éducatifs, pédagogiques et ludiques. La start-up a été lancée en septembre 2020 par Lynda Hernandez Moibouey.
La plateforme ne dispose pas d’une application mobile. Les utilisateurs doivent utiliser un navigateur pour accéder directement au site Internet. En créant un compte et en renseignant leurs informations personnelles, ils peuvent explorer les contenus de Sikul. La plateforme propose des vidéos et des ouvrages numériques, souvent développés en collaboration avec des enseignants et des conseillers pédagogiques.
La grammaire, les mathématiques, la conjugaison, l’orthographe, le vocabulaire, l’anglais et les langues locales figurent parmi les divers contenus éducatifs disponibles. « Nous apprenons aux enfants tout en les amusant, et nous les aidons à développer des aptitudes de base leur permettant de devenir des adultes bien formés. […] Nous proposons des DVD vidéo, Ma maternelle en poche (volume 1), Mon premier syllabaire (volumes 1 et 2), L’écriture des mots, Je sais conjuguer, ainsi qu’un DVD spécial Mots mêlés », a indiqué Lynda Hernandez Moibouey. Elle ajoute, à propos des ouvrages numériques : « mon super alphabet illustré, L’abécédaire des animaux, L’abécédaire des fruits et des légumes et Animal Alphabet ».
La plateforme Sikul revendique 161 comptes actifs, 77 vidéos et 30 jeux éducatifs. L’accès aux différents contenus est soumis à un abonnement. Les tarifs proposés sont de 7 000 FCFA (environ 11,2 dollars) pour un abonnement d’un mois pour un compte parent et un compte enfant, 15 000 FCFA pour un abonnement trimestriel donnant droit à un compte parent et deux comptes enfants, et 48 000 FCFA pour l’année avec deux comptes parents et cinq comptes enfants.
Adoni Conrad Quenum
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Dans le but d’aider les jeunes Marocains, diplômés ou non, à trouver un emploi, un entrepreneur tech a développé une solution sur mesure.
JobUp est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet de trouver, partout au Maroc, le prestataire idéal pour tous les services du quotidien. La start-up, basée dans la ville de Casablanca, a été fondée en 2020 par Mohamed Ennamli.
« JobUp est un accélérateur de carrière pour les jeunes diplômés qui souhaitent intégrer le marché d’emploi. L’idée de créer JobUp est née juste après la crise sanitaire de la Covid-19. C’est en effet avec le confinement et ses conséquences sur le marché du travail que la présence de l’application va devenir une nécessité étant donné qu’elle va servir tous les chercheurs d’emplois et améliorer leur situation financière », explique Mohamed Ennamli.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et Android, où elle a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, selon les données du Play Store. Après avoir téléchargé l’application, l’utilisateur crée un compte et configure son profil. S’il est demandeur de service, il publie une annonce avec un maximum de détails, et les prestataires intéressés postulent. En fonction des offres reçues, il sélectionne un prestataire qui interviendra sur le lieu du projet à la date et au prix convenus.
Le processus est sensiblement similaire pour les prestataires de services. En créant leur compte, ils fournissent suffisamment de détails sur les services qu’ils proposent afin que, en postulant aux diverses annonces, les clients privilégient leur profil plutôt qu’un autre. Des coiffeurs, cuisiniers, plombiers, maçons ou encore aides-ménagers sont disponibles sur la plateforme. Depuis son lancement, JobUp revendique plus de 10 000 profils et plus de 15 000 utilisateurs. Elle est présente dans plus d’une vingtaine de villes à travers le royaume chérifien.
Adoni Conrad Quenum
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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Dans le but de permettre aux entreprises algériennes de postuler aisément pour les appels d’offres dans le pays, un tech entrepreneur a mis en place une solution sur mesure.
Rhinotenders est une solution numérique développée par une jeune pousse algérienne. Elle permet aux entreprises de trouver les meilleurs fournisseurs pour répondre à leurs appels d’offres. La start-up, basée à Alger, a été fondée en 2016 par Saïd Hamdani.
La solution dispose d’une application mobile uniquement accessible sur Android, où elle a déjà été téléchargée plus de 5000 fois, d’après les données du Play Store. L’utilisateur, s’il est un fournisseur, s’inscrit sur la plateforme en renseignant les informations demandées. Il pourra ensuite découvrir les diverses opportunités correspondant à son profil.
Rhinotenders permet de recevoir une notification (par e-mail et sur l’application) dès qu’une nouvelle opportunité est postée, d’envoyer des offres et devis en ligne accompagnés des documents de support, de suivre les projets et les entreprises de votre choix, de consulter les profils des acheteurs avec l’historique de leurs projets lancés pour améliorer l’efficacité de votre prospection commerciale ou encore d’accéder à la liste quotidienne complète des appels d’offres en Algérie (sans limitation de catégorie) avec des fonctions de recherche avancées.
En ce qui concerne les entreprises, il faudra créer une annonce sur la plateforme en renseignant tous les détails requis, ce qui permettra à Rhinotenders de sélectionner les fournisseurs adéquats. Après cette étape, les fournisseurs envoient leurs devis et l’entreprise, depuis son tableau de bord sur l’application ou la plateforme web, choisit celui qui répond le mieux à ses exigences.
Par ailleurs, il faut souligner que la start-up, outre les appels d’offres publiés directement sur la plateforme, partage les informations sur les appels d’offres disponibles sur les sites web des institutions publiques et privées et des acheteurs, ainsi que sur la presse nationale, régionale, spécialisée et les bulletins officiels. Elle revendique 40 000 utilisateurs et 350 000 publications depuis son lancement.
Adoni Conrad Quenum
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Dans le but de réduire les émissions de gaz à effet de serre et les embouteillages, deux entrepreneurs tech ont mis en place une solution sur mesure pour faciliter les déplacements urbains et interurbains.
Enakl est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet de mettre en relation des personnes allant vers la même destination avec des transporteurs semi-collectifs (minibus), ce qui permet de réduire les embouteillages et les émissions de carbone. La start-up, basée à Casablanca, a été fondée en 2022 par Samir Bennani et Charles Pommarede.
Disposant également de bureaux à Paris, elle a annoncé le mardi 3 décembre la réussite d’un tour de table d’un montant de 1,4 million de dollars. Les fonds seront utilisés pour développer des solutions de transport collectif intelligentes pour les trajets quotidiens à l’intérieur et à l’extérieur du pays.
« Ce financement nous permet d’approfondir notre impact à Casablanca, d’étendre notre portée et d’accélérer le développement de notre technologie, en tirant parti de l’IA pour optimiser les itinéraires, améliorer les expériences des navetteurs et proposer des solutions de mobilité urbaine durable », ont indiqué les deux fondateurs à Disrupt Africa.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et Android, où elle a déjà été téléchargée plus d’un millier de fois, d’après les données du Play Store. L’utilisateur, après téléchargement, crée un compte en renseignant ses informations personnelles. Il peut ensuite accéder aux services de la jeune pousse et planifier une course ou un voyage en quelques clics. Il doit indiquer son lieu de départ, sa destination et l’heure d’arrivée souhaitée.
En fonction de ces détails, Enakl proposera la meilleure option pour effectuer sa course dans les meilleures conditions. L’utilisateur recevra ainsi les détails du moyen de transport, en l’occurrence un minibus, avec l’heure et le lieu de passage, à quelques minutes à pied de la situation géographique préalablement renseignée. La start-up gère plus de 15 000 réservations par mois et veut s’étendre dans d’autres villes du Maroc, puis à d’autres marchés du continent.
Adoni Conrad Quenum
Edité par Sèna D. B. de Sodji
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