Après des expériences dans divers secteurs, quatre tech entrepreneurs ont décidé d’unir leurs forces pour mettre en place une solution sur mesure pour les personnes désireuses d’acquérir des connaissances en technologies de l’information et de la communication.
Zaio est une plateforme numérique développée par une jeune pousse sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des formations en ligne dans divers domaines de l’informatique. La start-up, basée à Sandton dans la province du Gauteng, a été fondée en 2017 par Mvelo Hlophe, Akhil Boddu, Mahomed Asif Yousuf Hassam et Mzwenhlanhla Hlongwane. Depuis son lancement, elle a déjà levé environ 125 000 $ pour, entre autres, soutenir sa croissance et développer sa technologie.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur iOS. L’utilisateur, après téléchargement, devra s’inscrire pour accéder aux différents services de l’edtech. Entre autres, elle propose des cours pour apprendre les bases du codage, du développement web pour apprendre à créer des sites Internet et des applications mobiles de bout en bout, d’ingénierie front-end et back-end. Tous les cours sont disponibles en ligne sur la plateforme de Zaio.
La plateforme dispose de modules de cours en libre accès (Introduction au codage) et des modules tarifés. Il faut au minimum débourser 4 950 rands (environ 280 $) pour accéder aux cours d’ingénierie front-end et de développement web. L’utilisateur aura droit à du mentorat, de l’assistance gratuite avec un tuteur ou encore à un stage pour peaufiner ses connaissances en milieu professionnel. Zaio dispose également d'une intelligence artificielle conçue pour aider les apprenants pendant leur formation.
L’edtech sud-africaine revendique plus de 10 000 étudiants. En avril 2023, la start-up a été sélectionnée par Injini, un incubateur sud-africain spécialisé dans les technologies de l’éducation, avec onze autres pour prendre part à la première édition du programme de bourse de la Fondation MasterCard. Par ailleurs, elle a déjà participé en 2020 au programme Grindstone Accelerator.
Adoni Conrad Quenum
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Avec la Covid-19 et la transformation numérique, le secteur des postes a connu des évolutions, notamment avec l’accélération du commerce électronique. Les pays africains ont décidé de se mettre à jour afin de profiter des opportunités qu’offre ce secteur en pleine croissance.
La République populaire de Chine accompagnera l'île Maurice dans la transformation numérique de la société postale nationale, la Mauritius Post. Une délégation d'experts chinois a effectué à cet effet une visite au Musée postal de Maurice le lundi 24 juillet, marquant ainsi la première étape d’une longue collaboration.
Selon le ministre mauricien des Technologies de l'information, de la Communication et de l'Innovation, Darsanand Balgobin, dans le cadre de cette collaboration, la Chine offrira au personnel des bureaux de poste une formation approfondie, afin qu'ils puissent acquérir les connaissances et les compétences nécessaires pour mettre en œuvre les idées apprises au niveau local.
La Chine apportera également son expertise technique pour la numérisation des activités clés de la poste afin d'améliorer les services postaux offerts à la population.
Cette collaboration s’inscrit dans le cadre de la nouvelle vision de la Mauritius Post, qui consiste à introduire la technologie numérique dans ses activités principales et à se revitaliser grâce au projet e-post.
A cet effet, le gouvernement de Maurice a sollicité l’expertise de plusieurs pays afin de l’accompagner pour améliorer les services postaux, notamment en rendant la livraison des colis plus rapide et en réduisant les inefficacités existantes grâce à des services de réclamation numériques, mais aussi grâce au suivi des colis et aux paiements en ligne.
Tout comme l'île Maurice, plusieurs autres pays africains, notamment le Sénégal, le Congo, l’Afrique du Sud ou encore Djibouti ont lancé des initiatives visant à numériser leurs services postaux. L’objectif est de tirer parti de la technologie pour booster l’activité postale et attirer de grands groupes de vente en Afrique, favorisant ainsi le développement du e-commerce.
Samira Njoya
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Kasha, une start-up rwandaise de commerce en ligne de produits pharmaceutiques et produits de santé, a récemment obtenu un investissement de série B d’un montant de 21 millions $.
Selon les responsables de l'entreprise, les fonds permettront à Kasha de poursuivre son expansion dans la région ouest-africaine.
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Après des études en aéronautique, Salah Kalla s’est mué en entrepreneur en série avant de se lancer dans l’aventure du marketing et de la vente en ligne en avril 2020, pendant la pandémie de la Covid-19.
Hanoot Store est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse libyenne. Elle permet aux utilisateurs de faire des achats en ligne et de se faire livrer à l’endroit de leur choix. La start-up, basée à Tripoli, a été lancée en 2020 par Salah Kalla.
« Hanoot offre une livraison rapide des commandes, une grande flexibilité et de nombreuses options pour les clients en acceptant les opérations de paiement en utilisant cinq méthodes de paiement compatibles avec les moyens disponibles sur le marché libyen et sans aucune augmentation des prix », peut-on lire sur la plateforme.
Avec son application accessible sur iOS et sur Android, les utilisateurs peuvent accéder aux divers produits commercialisés par la jeune pousse. La création d’un compte n’est pas obligatoire pour surfer sur la plateforme et acheter des articles. Que ce soit des appareils électroménagers, des parfums ou encore des produits d’épicerie, la plateforme dispose de plusieurs catégories de produits.
Les commandes peuvent s’effectuer tous les jours de la semaine et les livraisons se font en fonction de la zone dans laquelle vous souhaitez vous faire livrer. De plus, les frais de livraison sont gratuits dans plusieurs régions comme le centre-ville de Tripoli par exemple. Néanmoins, les délais de livraison peuvent varier en fonction de leur distance par rapport aux divers entrepôts de la jeune pousse.
Hanoot Store n’a pas encore communiqué sur une quelconque volonté de conquérir de nouveaux marchés. Elle veut renforcer sa présence en Libye puisque depuis son lancement en avril 2020, la version Android de l’application a été téléchargée un peu plus de 500 fois. « Nous cherchons à trouver des investisseurs sérieux pour investir avec nous », affirme Salah Kalla. Pour ce faire, elle a besoin d’attirer des capitaux, mais part avec un handicap important : le marché libyen. Le pays est en proie à l’instabilité politique depuis 2011 et les investisseurs étrangers n’y accourent pas.
Adoni Conrad Quenum
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Depuis 1994, les pays de l'Afrique orientale et australe ont lancé un marché commun avec de nombreuses facilités pour les acteurs nationaux. Diverses barrières non tarifaires posent encore des problèmes, notamment dans les transactions financières. Une menace pour l'inclusion commerciale recherchée.
Le Marché commun de l'Afrique orientale et australe (COMESA) lancera une plateforme de paiement numérique d’ici juin 2024. Le directeur général du Conseil des entreprises du COMESA (CBC), Teddy Soobramanien (photo), l’a annoncé le lundi 24 juillet lors d’une conférence de presse à Lusaka en Zambie.
La plateforme a pour but de faciliter les transactions en ligne et stimuler les relations commerciales entre les pays de la région. « Le projet sera lancé dans huit pays avant d'être déployé dans les 21 Etats membres d'ici juin de l'année prochain […] Les écosystèmes d'inclusion financière sont essentiels au développement durable et au progrès économique, en particulier parmi les petites et moyennes entreprises (PME) qui sont des moteurs d'innovation, de création d'emplois et de réduction de la pauvreté », a déclaré Teddy Soobramanien.
« En exploitant la puissance de la technologie numérique, nous pouvons leur ouvrir des opportunités sans précédent, leur permettant de réaliser leur plein potentiel et de contribuer à la prospérité de la région », a-t-il ajouté.
La mise en œuvre de la plateforme de paiement numérique rentre dans le cadre d’un projet du COMESA visant l'inclusion financière numérique des micro, petites et moyennes entreprises (MPME) de la région. Le projet est axé sur l'amélioration de la réglementation financière et la réduction des coûts de transaction transfrontalière pour les MPME du COMESA.
Une fois déployée, la plateforme permettra non seulement de stimuler la croissance économique et l'autonomisation financière des catégories sociales les plus vulnérables, mais également de promouvoir les partenariats et les liens entre les entreprises de la région.
Samira Njoya
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Après des expériences professionnelles dans le secteur du digital dans diverses boîtes, ces deux tech entrepreneurs ont décidé de révolutionner la collecte des données pour en faciliter les analyses sur le continent.
Jaabi est une solution technologique développée par la jeune pousse botswanaise Meeticks Africa. Elle permet aux utilisateurs de collecter des données pour effectuer des sondages, des études de marché ou encore pour faire remplir des formulaires de souscription. La solution, lancée en 2022 par Ismael Camara et Bashanganyi Magwape, s’appuie sur l’interface de programmation de WhatsApp Business pour faciliter les différentes collectes de données.
« L’approche de Meeticks Africa avec Jaabi est de s’appuyer sur le digital en allant trouver les consommateurs là où ils sont déjà, réduisant ainsi les barrières d’acquisition et de prise en main. WhatsApp est l’application la plus utilisée du continent, consomme peu de données, est accessible à tout le monde et c’est une application sécurisée à laquelle les consommateurs font confiance », explique Ismael Camara à We Are Tech Africa.
Pourtant, l’application de messagerie instantanée développée par le groupe Meta dispose d’une fonction « Sondage ». Ismael Camara explique que « la fonction sondage de WhatsApp est effectivement disponible dans les discussions (individuelles ou groupes). Cependant, cette fonctionnalité ne peut être utilisée pour faire une étude de marché à l’échelle d’un pays car les entreprises ne peuvent avoir accès aux discussions personnelles ni aux groupes WhatsApp qui sont d’ailleurs limités à 250 participants [1024 en réalité, Ndlr], une taille d’échantillon qui ne suffit pas pour faire des sondages ».
La solution ne dispose pas d’une application mobile. C’est un choix de la firme car les fondateurs pensent qu’il y en a déjà suffisamment sur le marché. Avec Jaabi, les sondés doivent plutôt engager une conversation avec l’agent conversationnel de la solution en scannant un Code QR ou en cliquant sur un lien WhatsApp qui varie en fonction des pays. Ils se retrouveront directement sur la page du sondage et ils pourront répondre aux diverses questions en sélectionnant parmi les propositions s’il y en a ou en saisissant leurs réponses. Il faut souligner que Jaabi peut collecter tout type de données supportées par WhatsApp comme les textes, les images, les documents ou encore les situations géographiques.
Quant aux entreprises, elles ont accès à un tableau de bord pour entre autres créer leur sondage, le suivre ou encore analyser les données. « Dans le futur, il sera possible de répondre aux sondages Jaabi sur le site web Jaabi à la manière de Google Forms ou Survey Monkey mais nous pensons que cela n’est pas efficace tant que les coûts d’Internet ne seront pas drastiquement réduits sur le continent », affirme Ismael Camara.
En 2023, Jaabi s’est lancée à la conquête d’autres marchés africains. Elle a commencé son expansion par l’Afrique du Sud, un pays où la start-up mère est également enregistrée. Par ailleurs, la solution dispose d’une base de sondés avoisinant les 7 000 personnes et environ une vingtaine d’entreprises ont déjà recours à la solution pour effectuer des études de marché ou recevoir des feedbacks de leurs clients.
Adoni Conrad Quenum
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Les applications d’e-mobilité ont pris d’assaut le continent africain. Elles offrent une meilleure garantie que les taxis traditionnels, ce qui séduit aussi bien les touristes que les autochtones.
VotreChauffeur.ma est une solution technologique développée par une start-up marocaine. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des voitures de luxe avec chauffeur, depuis leur smartphone ou leur ordinateur, pour effectuer leurs divers déplacements. La start-up, basée à Casablanca, a été fondée en 2014 par Jawad Ziyat et Ismael Belkhayat.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte pour avoir accès aux diverses fonctionnalités. Que ce soit pour des déplacements au sein d’une même ville, des excursions, des circuits touristiques ou encore des transferts aéroports, la jeune pousse propose tous ces services. Elle offre également un service de mise à disposition où le chauffeur vous aidera à faire toutes vos courses pendant la durée souhaitée.
« Le seul critère que nous prenons en considération est si vous voulez garder la voiture avec son chauffeur sur Casablanca, ou bien en dehors de cette ville. À partir de ce moment, libre à vous de faire tous les trajets dont vous aurez besoin, tous les services sont inclus dans le prix annoncé lors de votre réservation », indique la start-up.
L’utilisateur a aussi le choix sur le type de voiture. VotreChauffeur.ma dispose de berlines et de vans et le type de voiture a des incidences sur les tarifs. Le wifi, le chargeur de téléphone, des bouteilles d’eau, des journaux et des magazines sont autant de services disponibles à bord des véhicules de la start-up.
« Les prix dépendent de l'option choisie et la ville où vous vous situez. Nos tarifs sont calculés principalement en fonction du trajet réservé ainsi que de la distance du chauffeur de votre point de départ », peut-on lire sur la plateforme. Il est possible de visualiser depuis la plateforme web et l’application la liste des chauffeurs disponibles en temps réel.
Outre Casablanca, VotreChauffeur.ma est présente à Agadir, à Marrakech, à Rabat, à Fès et à Tanger. La version Android de son application mobile a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois.
Adoni Conrad Quenum
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Après avoir découvert les frais exorbitants des livraisons dans son pays, il a décidé de s’associer à un ami pour se lancer dans le secteur. Pour réduire considérablement les tarifs et aussi les frais d’exploitation, sa start-up a opté pour une solution écoresponsable.
Errand360 est une solution technologique développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à un service de livraison écoresponsable puisque la firme n'utilise que des bicyclettes. La start-up, basée à Lagos, a été fondée en 2019 par Adetola Adele et David Ayodeji.
« Nous avons repéré un besoin de livraisons rapides et abordables, et un besoin de courses courtes pour les personnes au sein d'une communauté, et c'est ce qui a inspiré notre modèle. Nous avons décidé de créer un système de livraison communautaire avec des vélos car il n'aura pas besoin de carburant et cela peut être moins cher », explique Adetola Adele.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Il faut disposer d'un compte sur la plateforme pour accéder aux diverses fonctionnalités. La start-up opère directement avec les commerçants. Ainsi, en cas d’achats, ceux-ci contactent directement les livreurs via l’application pour leur confier les courses.
« La situation est prometteuse, car de nombreuses entreprises sont prêtes à s'associer avec nous et les utilisateurs nous demandent quels sont nos plans de déploiement. Cela nous donne le sentiment d'avoir un impact. Dans le secteur de la logistique, nous sommes les premiers à proposer la livraison de vélos au Nigeria et nous espérons poursuivre notre extension », a indiqué Adetola Adele en juillet 2021.
Depuis, la start-up a pris le temps de s’implanter dans diverses régions du pays. Errand360 facture 500 nairas (0,64 $) pour une livraison dans un rayon de 3 kilomètres et 100 nairas supplémentaires sont facturés pour chaque kilomètre de plus. Quant aux livreurs, ils disposent d’un salaire de base de 40 000 nairas et perçoivent 100 nairas pour chaque livraison effectuée.
Adoni Conrad Quenum
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Ayant pour but d’aider les entrepreneurs africains à faire connaître leurs produits sur le continent et dans le monde, une tech entrepreneur a décidé de mettre en place une plateforme digitale pour faciliter les transactions commerciales sur le continent et en dehors.
Awalebiz est une place de marché numérique développée par une jeune pousse sénégalaise. Elle permet aux utilisateurs, les vendeurs d’un côté, d’exposer et de vendre leurs articles sur la plateforme et, d’un autre côté, aux clients potentiels de se procurer des articles uniques. La start-up, basée à Dakar, a été fondée par Nafy Diagne en 2014. Elle a pour objectif de regrouper les entrepreneurs de plusieurs pays d’Afrique pour leur permettre de commercialiser leurs produits partout dans le monde.
« Dans l'esprit du jeu d'Awalé, basé sur l'idée de semer les graines et en récolter le fruit, notre compagnie se concentre non seulement sur la vente en ligne, notre cœur de métier, mais également sur la promotion de nos artisans et de notre culture africaine que nous voulons partager avec le monde », peut-on lire sur la plateforme.
La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Néanmoins, c’est par le site Internet que la plupart des utilisateurs passent pour s’offrir des articles sur Awalebiz. Il est possible de surfer sur les pages de la place de marché pour découvrir la multitude d’articles disponibles. Qu'il dispose ou non d’un compte, l’utilisateur peut effectuer ses achats. Il va falloir renseigner votre adresse de facturation et de livraison à chaque fois que vous voulez passer commande.
« Des vendeurs de tous pays d'Afrique vous offrent à voir leurs produits. L'acheteur camerounais se fait livrer du Kenya, l'acheteur sud-africain du Sénégal. Et L'acheteur australien se fait livrer du Benin. Nous jetons le filet pour relier le continent de toutes parts, et bien sûr le relier au reste du monde. L'esprit est panafricain. L'ambition en est mondiale », indique la plateforme.
Les délais de livraisons dépendent du moyen de livraison pour lequel vous avez opté, du pays d’origine de l’article et de votre situation géographique. La plateforme prend la peine de signaler un intervalle de temps raisonnable dans lequel les articles sont susceptibles d’être livrés. En 2017, Awalebiz remporte le premier prix de la troisième édition du Linguère Digital Challenge. La start-up empoche un chèque de 7 500 000 FCFA (12 867 USD) et un accompagnement technique d'une valeur de 2 500 000 FCFA.
Adoni Conrad Quenum
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Les chauffeurs sud-africains des applications de VTC, en l’occurrence ceux d'Uber et Bolt, ont annoncé le lundi 17 juillet par l’intermédiaire de leur porte-parole Vhatuka Mbelengwa leurs intentions d’entrer en grève. Les principales raisons évoquées sont les problèmes de sécurité et des commissions jugées élevées par les chauffeurs.
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