Mecho Autochek, une start-up nigériane qui fournit des pièces détachées pour automobiles, a annoncé le jeudi 14 septembre la réussite d’un cycle de financement d’un montant de 2,4 millions $. Il s'agit d'une opération de pré-série A soutenue par  Global Brain Corporation, Ventures Platform et Uncovered Fund ; les fonds seront utilisés pour lancer sa plateforme de distribution de pièces détachées business-to-business.

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Diplômé en finance et expérimenté dans la gestion des risques financiers, il se lance dans l’entrepreneuriat et développe plusieurs solutions technologiques. Avec Mapha Logistics, il permet aux PME de créer une boutique en ligne, de s’approvisionner et de livrer leurs clients locaux.

Loyiso Vatsha (photo) est le président-directeur général de Mapha Logistics. Diplômé de l’université de Pretoria, il y a obtenu un bachelor en actuariat et mathématiques financières en 2014.

Fondée en 2017, sa start-up technologique, basée en Afrique du Sud, propose des solutions de livraison et d’achat à la demande du dernier kilomètre pour les petites entreprises dans les zones urbaines et périurbaines, où de nombreuses entreprises locales ont du mal à accéder à des stocks de qualité, à des prix compétitifs et à une clientèle efficace. 

A travers Mapha Logistics, Loyiso Vatsha, Lesego Mokou, Noble Nyoni et Tshidiso Vatsha, cofondateurs de la start-up, visent à renforcer les entreprises en leur fournissant une plateforme qui leur permet de créer un magasin en ligne, de s’approvisionner, de livrer leurs clients locaux, d’accepter les paiements en ligne et de suivre les stocks et les chauffeurs-livreurs. 

L’entreprise sert aussi de place de marché pour le public, qui peut commander des produits auprès de milliers de restaurants, de magasins de proximité, de magasins de cosmétiques et autres, en toute simplicité. 

Philanthrope, Loyiso Vatsha a fondé en 2022 Vatsha Foundation pour améliorer la vie des enfants vivant dans la pauvreté en Afrique du Sud, en favorisant une éducation publique de qualité et la santé des enfants, et en améliorant la stabilité économique des familles vivant dans la pauvreté.

En 2016, il a fondé Mapha Foodshare, une plateforme de partage de nourriture qui permet à ses utilisateurs d’afficher, de vendre, d’acheter et de partager avec des personnes de leur quartier et des environs.

Depuis 2021, Loyiso Vatsha est le directeur général d’Azania Ventures, une société sud-africaine de capital-risque. Cependant, son expérience professionnelle a commencé en 2016 à la Rand Merchant Bank où il était le gestionnaire des risques financiers.

Le travail de Vatsha avec Mapha Logistics n’est pas passé inaperçu. Lauréat du prix de l’innovation sociale de SAB Foundation en 2021, il est un bénéficiaire du programme Black Founders Fund de Google en 2022. 

Melchior Koba

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Malgré sa démocratisation, l'Internet n’est toujours pas aisément accessible dans certains pays du continent. Pourtant, des tech entrepreneurs font le nécessaire pour proposer aux populations connectées des services locaux sur mesure.

Warani Shop est une application de commerce en ligne développée par une start-up centrafricaine. Elle permet aux utilisateurs d’effectuer des achats en ligne et de se faire livrer à l’adresse indiquée lors de la commande. La start-up, basée à Bangui, a été fondée en 2023 par Vianney Kanda.

« Après plusieurs réflexions sur certains problèmes que rencontrent les Centrafricains, notamment pour avoir accès aux produits de bonne qualité, ou pour se faire livrer des produits, j’ai décidé de créer cette start-up Warani qui représente un pont entre le client et le vendeur. [...] L’objectif principal de Warani est de créer des accessibilités à des services, et à des produits pour le compte des Centrafricains », indique Vianney Kanda.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte pour accéder aux divers services disponibles sur la plateforme. Que ce soit les produits cosmétiques et de beauté, des articles de cuisine, de la quincaillerie, des pagnes ou encore des vêtements, Warani Shop est une boutique en ligne plutôt complète. Elle intègre plusieurs moyens de paiement tels que la carte Visa, le mobile money avec le réseau de téléphonie mobile Orange ; ou le paiement en espèces après la livraison.

Dans un pays où le taux de pénétration de l’Internet était de 10,58 % en 2021, d’après les données de l’Union internationale des télécommunications, la start-up a mis en place un numéro pour recevoir des commandes par téléphone. Depuis son lancement le samedi 9 septembre, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus d’une centaine de fois, d’après les données de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Après plusieurs années de croissance en Egypte, la super application a décidé d’investir plusieurs marchés du Moyen-Orient cette année. Pour cela, elle a signé divers partenariats pour améliorer ses services.

Yalla est une super application développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’envoyer et de recevoir des fonds, de payer des commerçants et de commander de la nourriture dans les restaurants partenaires. La start-up, basée au Caire, a été fondée en 2021 par Waleed Sadek.

La solution dispose d’une application accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra créer un compte pour accéder aux diverses fonctionnalités. Outre les principaux services cités plus haut, il intègre également le transport à la demande, une boutique en ligne, le paiement des données et du temps d’antenne, la souscription à des assurances, etc. Yalla propose également des cartes virtuelles pour faciliter les transactions commerciales en ligne.

« La carte Yalla (physique et virtuelle dans Yalla Super App) est le seul compte financier dont vous aurez besoin pour gérer votre argent. Il vous aidera à envoyer, recevoir, payer, retirer, économiser, investir et suivre votre argent », peut-on lire sur la plateforme. Il est également possible d’effectuer des retraits dans des distributeurs automatiques de billets, de verrouiller et de déverrouiller la carte en un clic depuis l’application mobile ou encore de fixer des limites de dépenses.

La super application revendique plus de 1,6 million d’utilisateurs et plus de 6 milliards de livres égyptiennes (environ 194 millions $) de transactions depuis son lancement. Outre l’Egypte, elle est également présente aux Emirats arabes unis, au Pakistan et en Arabie saoudite. A propos de l’expansion en Arabie saoudite, qui a été annoncée la semaine dernière, Waleed Sadek explique que sa start-up a pour objectif « d’attirer environ un million d'utilisateurs saoudiens au cours de la première année d'exploitation, en offrant les meilleurs services possibles qui répondent aux désirs et aux besoins de nos clients ».

Adoni Conrad Quenum

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Fondée en 2021, elle s’est rapidement retrouvée sous le feu des projecteurs avec sa participation à la cohorte d’été d’un programme d’accélération d’envergure. Depuis lors, la jeune pousse est en pleine croissance.

FoodCourt est une solution numérique développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs de commander de la nourriture en ligne dans plusieurs restaurants et de se faire livrer à domicile ou au bureau. La start-up, basée à Lagos, a été fondée en 2021 par Henry Nneji et Paul Adokiye Iruene.

« Le comportement des consommateurs évolue en Afrique et, malgré l'essor d'applications de livraison de nourriture comme Jumia Foods et Glovo, l'inefficacité dans le domaine de la livraison de nourriture est encore très importante. Nous avons réalisé que tout ce que les clients voulaient vraiment, c'était de la bonne nourriture et une expérience de commande transparente », explique Henry Nneji.

L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android, et l’utilisateur doit disposer d’un compte pour passer ses commandes. Plusieurs restaurants proposant diverses variétés de nourritures sont accessibles sur la plateforme mobile de la start-up. Il est également possible de faire des commandes groupées. FoodCourt est cashless, elle ne reçoit donc aucun paiement en espèces. Toutes les transactions sont payées via des moyens de paiement digitaux tels que le portefeuille numérique, les cartes bancaires ou encore les virements bancaires.

« Les frais de livraison sont déterminés par la distance entre vous et le restaurant. Nos frais de livraison sont actuellement compris entre 390 et 850 nairas [environ 0,5 $ et 1,08 $] et peuvent augmenter jusqu'à 1,5 fois en cas de forte hausse. Les surcharges sont causées par des facteurs irréguliers tels qu'un trafic intense, de fortes pluies, une pénurie de carburant, un volume élevé de commandes au restaurant, etc. », indique la plateforme.

D’après les données de Play Store, la version Android de son application mobile a déjà été téléchargée plus de 50 000 fois. En 2022, FoodCourt a été sélectionnée pour participer à cohorte d’été de l’accélérateur californien Y Combinator. La start-up a des rêves d’expansion et veut conquérir le Nigeria, l’Afrique et d’autres continents.

Adoni Conrad Quenum

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Les plateformes de commerce en ligne se multiplient en Egypte et la concurrence pour gratter des parts de marché est féroce. Bien que basée au Caire, cette start-up a décidé de partir à la conquête des autres villes du pays des pyramides.

Kenzz est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs de faire leurs achats en ligne à des prix concurrentiels sans passer par des intermédiaires ou des revendeurs. La start-up, basée au Caire, a été fondée en février 2022 par Ahmed Atef, Mahmoud Al Silk et Moataz Sami. Dès octobre, elle a levé environ 3,5 millions $ pour accélérer sa croissance sur le marché domestique.

« Nous visons un segment complètement différent de celui d'Amazon et des autres grandes plateformes, qui sont centralisées dans les grandes villes et s'adressent aux personnes qui sont à l'aise avec les achats en ligne. [...] Ce que nous faisons, c'est rapprocher cette expérience des masses et construire une plateforme de commerce électronique fiable et digne de confiance qui s'adresse spécifiquement au marché de masse, en résolvant les obstacles à l'achat, qu'il s'agisse de confiance, d'abordabilité et de pertinence, tout en capitalisant sur l'engagement social et les aspects d'interaction sociale du commerce électronique », explique Ahmed Atef.

La jeune pousse propose une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur y crée son compte avec son numéro de téléphone après téléchargement et peut ainsi accéder aux divers magasins en ligne de la plateforme. Que ce soit pour des produits d’épicerie, les vêtements, les articles de maison et de sport, de l’électroménager ou encore des livres, Kenzz dispose de magasins, accessibles depuis sa plateforme, spécialisés dans la commercialisation de ces différents articles.

Il est possible d’effectuer des achats collectifs avec des amis ou les membres de sa famille et de partager les frais de la commande dans le but de bénéficier de réductions allant jusqu’à 65 %. Du fait d’avoir fait le choix de se développer dans les villes secondaires du pays, la plateforme est en pleine croissance et la version Android de son application mobile a déjà été téléchargée plus de 100 000 fois, d’après les statistiques de Play Store.

Adoni Conrad Quenum

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Elle a quitté l’entreprise pharmaceutique française Sanofi-Pasteur pour se consacrer à sa passion, la mode. Désormais présente en Tunisie, au Maroc, en Algérie et en Egypte, sa start-up se positionne comme un leader du secteur au Moyen-Orient.

Ameni Mansouri (photo), une jeune entrepreneure tunisienne, est une cofondatrice et la PDG de Dabchy, une plateforme en ligne de vente et d’achat de vêtements, inspirée du modèle de Vinted en France.

Diplômée en ingénierie biomédicale et en biothérapie, elle a quitté son emploi chez Sanofi-Pasteur pour se consacrer à son projet visant à promouvoir la mode et à créer une communauté de femmes passionnées par la mode. Ainsi, en 2016, elle a fondé Dabchy en collaboration avec Ghazi Ketata et Oussema Mahjoub.

Aujourd’hui, l’entreprise compte plus d’un million d’utilisateurs dans la région MENA, offrant la possibilité de vendre et d’acheter des vêtements neufs ou d’occasion à des prix abordables, tout en encourageant l’interaction entre les utilisateurs comme sur un réseau social. La plateforme génère des revenus grâce à des commissions prélevées sur les transactions et propose des services de livraison et de paiement sécurisés.

Ameni Mansouri a pour ambition de faire de Dabchy la principale référence en matière de mode circulaire au Moyen-Orient et en Afrique, contribuant ainsi à la transition écologique de l’industrie textile. En août 2023, l’entreprise a étendu ses activités en Egypte, consolidant sa position en tant qu’acteur régional majeur dans le domaine de la mode.

« Cette expansion nous remplit de fierté, car elle symbolise le rayonnement de la Tunisie à travers sa jeune et prometteuse scène start-up. Nous sommes déterminés à défendre les valeurs tunisiennes qui nous ont propulsées jusqu’ici : l’innovation, la créativité, et surtout, la confiance dans notre communauté », a déclaré Ameni Mansouri.

Ameni Mansouri s’est vue attribuer plusieurs récompenses pour son parcours entrepreneurial. En 2018, elle a été sélectionnée en tant que TechWomen et sa start-up a été reconnue comme l’une des 100 meilleures d’Afrique lors de l’Africa Forum.

En 2019, Dabchy est devenue la première entreprise arabe et africaine à être sélectionnée par Look Forward, un incubateur français spécialisé dans la mode technologique. La même année, Ameni Mansouri a été citée parmi les « 30 under 30 » de Forbes au Moyen-Orient.

Melchior Koba

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Wasoko, une start-up kényane opérant dans le commerce électronique, a annoncé le mardi 5 septembre son lancement en RDC. Elle utilisera son hub rwandais pour servir les petites et moyennes entreprises de la ville de Goma dans la région du Nord-Kivu, une région frontalière au pays des mille collines.

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Elle a acquis une grande expérience professionnelle en travaillant pour plusieurs entreprises au fil des années. Elle est désormais à la tête de sa propre start-up qui permet à ses clients d’acheter des articles coûteux sans s’endetter.  

Juliet Shiro Njoroge (photo) est une entrepreneure kényane diplômée de l’université de Nairobi où elle a obtenu en 2016 un bachelor en droit. Elle est une cofondatrice et la responsable de la croissance de Mosmos, une plateforme d’épargne-achat basée sur des objectifs qui aide les habitants des marchés émergents à acheter des articles coûteux sans stress ni dette, tout en gagnant des récompenses en espèces.

A travers sa plateforme, Mosmos, fondée en 2021 par Juliet Shiro Njoroge et Chengo Masha, permet à ses utilisateurs d’épargner pour acheter plusieurs articles, allant des appareils électroniques et électroménagers aux fournitures de décoration, sans recourir à la dette grâce à un système de paiement flexible. Elle récompense ses clients les plus actifs et réguliers dans leur paiements.

https://www.linkedin.com/posts/mosmoshq_mosmos-saver-of-the-month-june-2023-activity-7100060532170235904-OLyL?utm_source=share&utm_medium=member_desktop

En mars 2023, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, l’entreprise a été sélectionnée pour faire partie de la première cohorte de l’accélérateur Google for Startups : Women Founders (Africa). Cinq mois après, en août, elle a été sélectionnée parmi les 20 start-up africaines qui participeront à la quatrième édition du programme de mentorat The Future is Female. Toujours dans le mois d’août, elle a levé auprès de Catalytic Africa une somme de 66 000 $.

Tout au long de sa carrière, Juliet Shiro Njoroge a occupé plusieurs postes dans plusieurs domaines différents. Brand Ambassador du programme de formation au développement des compétences professionnelles YUSUDI, entre 2015 et 2016, elle a ensuite travaillé pour Trinc Media en tant que gestionnaire des comptes. En 2017, elle rejoint l’agence Catapult Brand Consulting en tant que responsable des comptes numériques. En 2018, elle a été embauchée par Ogilvy, une entreprise de publicité, comme gestionnaire de compte.

En 2019, elle devient responsable marketing et des grands comptes de Turaco, une entreprise tech de micro-assurance. En 2020, elle est nommée consultante en marketing et communication de BFA Global, une société de conseil spécialisée dans l’innovation financière et numérique. Entre 2021 et 2022, elle occupe successivement le poste de responsable marketing, ainsi que celui de chef partenariats et de la croissance hors ligne de Koa Technology.

Melchior Koba

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Après ses études supérieures en Inde, elle est revenue dans son pays natal pour mettre en place « The Uber for Nannies » avec des associés. C’est ainsi que Samrawit Tarekegn qualifie sa start-up, qui met en relation parents et nounous.

Mogzit In-Home Care est une solution technologique développée par une jeune pousse éthiopienne. Elle permet aux parents de se mettre en relation avec des nounous pour la garde de leurs enfants en bas âge. La start-up, basée à Addis-Abeba, a été fondée en 2021 par Samrawit Tarekegn, Tigist Alene, Rahel Tarekegn et Biniam Asnake. Les nounous de la start-up sont formées pour entre autres préparer les repas, aider pour les devoirs, ranger les zones réservées aux enfants ou encore administrer des médicaments avec le consentement des parents.

« En tant que plus jeune enfant de ma famille, j'ai vu mes sœurs aînées, qui sont mariées et passionnées par leur carrière, se battre pour trouver une garde d'enfants fiable et cohérente lorsqu'elles reprenaient le travail après avoir accouché. [...] L'une de mes sœurs était obligée de confier son enfant à des voisins lorsqu'elle partait travailler », explique Samrawit Tarekegn.

La solution ne dispose pas encore d’une application mobile. L’utilisateur doit donc passer par un navigateur pour accéder au site Internet. Il peut surfer sur la plateforme sans disposer d’un compte et visiter le profil des nounous. Mogzit In-Home Care répertorie plus de 350 nounous sur sa plateforme. Pour en réserver, il suffit d’appuyer sur le bouton « Book a Nanny » et de cliquer sur le profil d’une des nombreuses nounous de la page. Il faut ensuite cliquer sur le bouton « See details » pour voir toutes les informations sur la nounou choisie. Entre autres, on y retrouve nom, prénom, âge, langues parlées, quartier, tarifs, etc.

Si l’utilisateur valide le profil, il peut passer à l’action en réservant la nounou. Il devra à son tour fournir toutes ses informations sur la plateforme et renseigner le nombre d’enfants à garder ou encore le lieu de résidence. « Suite à la réservation, notre équipe organise un entretien en personne ou virtuel en notre présence pour passer en revue les besoins du parent ainsi que les services à fournir par la nounou. Si un accord est trouvé, un contrat légal est signé entre les deux parties », indique Samrawit Tarekegn.

Outre le service de nounou à la demande, la start-up a intégré la réservation de cuisiniers, de tuteurs ou encore d’agents d’entretien à la demande. Elle veut introduire d’autres profils pour fournir des services encore plus complets.

« Actuellement, Mogzit inscrit activement sur sa plateforme des diplômés de l'enseignement supérieur en soins infirmiers cliniques, en travail social et en psychologie, ce qui lui permet d'accroître sa main-d'œuvre. Ces diplômés peuvent embarquer sur Mogzit et nous rejoindre s'ils répondent aux critères », a déclaré Samrawit Tarekegn.

Adoni Conrad Quenum

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