Dans le but d’aider les populations à planifier leurs voyages en bus à l’intérieur du royaume chérifien, des tech entrepreneurs ont mis en place une solution numérique sur mesure.

MarKoub est une solution numérique développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet aux utilisateurs de rechercher les prix et horaires des bus, de comparer les offres de plusieurs compagnies de transport et de réserver ses billets en ligne. La start-up, basée à Rabat, a été fondée en 2017 par Omar Chaabi et Zouhir Droussi.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS, sur Huawei et sur Android. L’utilisateur peut, après la création de son compte avec son adresse e-mail, rechercher les offres disponibles en renseignant la date du voyage, la ville de départ, la ville d’arrivée et le nombre de voyageurs. Il pourra ensuite choisir la compagnie qui lui convient, le(s) siège(s) et valider son achat en payant via les moyens de paiement accessibles sur l’application.

Après cette étape, l’utilisateur reçoit un e-mail de confirmation avec le code de son ticket qu’il présentera le jour du voyage pour embarquer dans le bus. Il faut signaler que des frais de réservation de 5 dirhams marocains (environ 0,49 $) sont applicables sur certains trajets. Aussi, en fonction de la taille et du poids des bagages, certaines sociétés peuvent demander de payer des frais supplémentaires.

La start-up a signé des partenariats avec plus d’une soixantaine de compagnies de transport. La version Android de son application mobile a été téléchargée plus de 100 000 fois, d’après les données de Play Store.

Depuis son lancement, elle a reçu diverses récompenses, en l’occurrence le Hackathon Royal Air Maroc en 2017, le prix de l’entrepreneuriat de Maroc Telecom en 2018, la distinction de l’application de l’année lors des Moroccan Web Awards en 2019 et le prix de bronze de la Huawei Developer Competition (2020). En 2023, elle a été sélectionnée parmi les 100 start-up marocaines et a participé au GITEX Africa à Marrakech.

Adoni Conrad Quenum

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Alors que la transformation numérique s’accélère, Amazon continue de renforcer sa présence sur le continent africain. Après l’Egypte, c’est au tour de l’Afrique du Sud de proposer les services d’Amazon via son site web dédié localement.

Amazon, le géant américain du commerce de détail, a annoncé le  mardi 17 octobre le lancement d'Amazon.co.za, son service de vente en ligne en Afrique du Sud, en 2024.

Selon Amazon, le nouveau service permettra d’offrir aux vendeurs sud-africains la possibilité d'atteindre les clients à travers le pays, de croître et de développer rapidement leurs activités tout en tirant parti des capacités d’innovation fournies par Amazon.

« Nous sommes impatients de lancer Amazon.co.za en Afrique du Sud, en offrant aux vendeurs locaux, aux propriétaires de marques et aux entrepreneurs – petits et grands – la possibilité de développer leur entreprise avec Amazon, et de fournir une grande valeur et une expérience d’achat commode pour les clients de toute l’Afrique du Sud », a déclaré Robert Koen, le directeur général de la région de l’Afrique subsaharienne pour Amazon.

Depuis quelques années, le marché du commerce électronique en Afrique du Sud est dominé par des acteurs locaux tel que Takealot développé par Naspers, un conglomérat sud-africain. Le lancement d'Amazon.co.za devrait ainsi intensifier la concurrence et favoriser l’augmentation des achats en ligne après que la pandémie a donné l'occasion au commerce électronique de s'implanter.

L’annonce du lancement de ce nouveau service intervient un an après que l’entreprise a ouvert un bureau en Afrique du Sud. Avec Amazon.co.za, l’Afrique du Sud deviendra le 21e pays où Amazon dispose d'un site web basé sur un nom de domaine local. Il sera également le 2e pays africain après l'Egypte où le géant américain du commerce électronique met en place un site web dédié localement.

En Afrique du Sud, Amazon offrira une gamme d'outils, de programmes et de services précieux « y compris des centaines de milliers d'heures de contenu éducatif gratuit pour soutenir les vendeurs à chaque étape de leur voyage, y compris des articles, des vidéos, des webinaires et des études de cas », informe le communiqué.

Samira Njoya

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Pour réussir l’inclusion numérique de sa population et sa transformation 4.0, l’Afrique a besoin de la collaboration de tous. Des entreprises mènent ainsi des actions concertées pour surmonter les défis nationaux et régionaux qui plombent encore son développement. 

 Orange Middle East and Africa et Smart Africa Alliance, une initiative politique pour la promotion du numérique en Afrique, ont signé le mardi 17 octobre un partenariat visant à soutenir le développement de la numérisation du continent africain.

L’accord qui porte sur la collaboration des deux parties a été paraphé par Lacina Koné (photo, à gauche), directeur général de Smart Africa Alliance, et Jérôme Hénique (photo, à gauche), CEO d’Orange Middle East and Africa, est survenu en marge de la deuxième édition du Mobile World Congress Africa 2023 qui se tient à Kigali au Rwanda.

Dans le cadre de la coopération, les deux entreprises travailleront ensemble, pour encourager la création de solutions numériques innovantes, répondre aux défis locaux et contribuer au développement durable de l’Afrique.

D’après Jérôme Hénique, le partenariat contribuera à « l’objectif commun de Smart Africa et Orange de développer les compétences numériques de la jeunesse africaine, en particulier des femmes, tout en soutenant l’entrepreneuriat innovant ».

 Pendant trois ans, les deux organisations collaboreront dans des activités telles que la formation des jeunes et des femmes afin de soutenir leur employabilité dans les nouveaux métiers du numérique ceci à travers leurs programmes de développement des compétences numériques, notamment la Smart Africa Digital Academy (SADA) et le réseau Orange Digital Center (ODC) qui est présent dans 17 pays d’Afrique et du Moyen-Orient et 8 pays européens.

Ils travailleront également ensemble pour renforcer l’entrepreneuriat innovant en renforçant les capacités d’incubation, d’accélération et de financement des entrepreneurs dans des secteurs prioritaires tels que : l’environnement, l'e-agriculture, l'e-santé, l'e-commerce, etc.

Pour Lacina Koné, le nouveau partenariat permettra de donner des moyens aux citoyens africains, en particulier les jeunes, d’être équipés pour les emplois de demain. L’objectif est de contribuer activement à la transformation numérique du continent. « Unir nos efforts avec Orange accélérera nos efforts collectifs à cet égard », a-t-il déclaré.

Samira Njoya

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L'industrie du streaming est en pleine croissance dans le monde. Les plateformes africaines essayent de se faire une place sur le marché, dominé par des géants comme Spotify, Deezer ou encore Apple Music.

Colorfol est une solution numérique développée par une jeune pousse camerounaise. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des contenus audios et vidéos faisant la promotion de la musique africaine et des artistes indépendants. La jeune pousse, basée à Douala, a été fondée en 2019 par Ronny Kitio.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, crée son compte avec son adresse e-mail et un mot de passe. Il pourra ainsi accéder aux divers contenus de l'application. En fonction de ses goûts, l’utilisateur peut orienter ses recherches et passer plus de temps sur Colorfol. La start-up propose deux plans d’abonnement : le plan gratuit et le plan premium qui se facture à 0,2 euro la journée.

Avec le plan gratuit, il est possible d’accéder à tous les contenus de la plateforme, des chansons aux podcasts, mais les publicités sont inévitables. Pour s’en débarrasser, il faudra opter pour l’abonnement premium avec lequel il est possible d’accéder en plus aux paroles des chansons, d’écouter hors ligne ou encore d’accéder à la radio en ligne. La qualité audio est également meilleure qu’avec le plan gratuit.

Outre ces fonctionnalités, Colorfol intègre une billetterie en ligne où l’utilisateur peut se procurer des tickets pour les showcases, les concerts, les spectacles ou encore les événements culturels auxquels prendront part divers artistes. La start-up intègre plusieurs moyens de paiement tels que le mobile money, les cartes bancaires et les applications d’envoi d’argent pour effectuer les transactions sur la plateforme.

Depuis son lancement, la version Android de l'application mobile a déjà été téléchargée plus de 5 000 fois. Colorfol figure parmi les dix start-up africaines lauréates de l’édition 2023 de l’AFD Digital Challenge.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faciliter l’organisation des événements et l’acquisition des billets par le public, un tech entrepreneur ivoirien a développé une solution technologique.

SkanTicket est une solution technologique développée par la jeune pousse ivoirienne Skan Technologies. D'une part, elle permet aux promoteurs d'événements de créer des événements sur mesure, de proposer des billets et/ou des invitations en ligne, de promouvoir l'événement et de gérer le contrôle d'accès le jour J. D'autre part, elle offre aux populations la possibilité de se procurer des billets pour divers événements en ligne. La start-up a été lancée par Nancy Aphey Anicet Amani.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, peut créer son compte en renseignant son adresse e-mail et un mot de passe. Après cela, il peut mettre en place des billetteries en ligne s’il est un promoteur d’événements ou un acheter les billets d’événement disponibles sur la plateforme. Pour chaque événément créé, SkanTicket fournit un minisite que le promoteur personnalise avec le logo de l’événement, les images, etc.

Si le promoteur dispose d’un site ou s’il en a prévu pour l’événement, il peut, depuis son espace organisateur, intégrer la billetterie en exportant d’un simple copier-coller le widget. Vous n’avez pas besoin de compétences particulières en informatique pour utiliser l’outil. Après la mise en vente des billets, il faudra attendre les 1er et 16 de chaque mois pour recevoir l'argent des ventes réalisées. Il est reversé par virement bancaire. Il est également possible de ne recevoir l'argent qu'après la fin de l'événement.

SkanTicket, qui intègre les paiements par mobile money des opérateurs télécoms MTN et Orange, perçoit 5% de toutes les ventes. Elle prévoit également un code USSD pour permettre aux utilisateurs ne disposant pas de smartphones de faire des opérations sur la plateforme. Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 10 000 fois. En 2023, la jeune pousse a été sélectionnée avec neuf autres start-up parmi les lauréats de l’AFD Digital Challenge.

Adoni Conrad Quenum

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Dans le but de faire profiter les habitants de leur ville de la révolution technologique en cours, trois tech entrepreneurs ont mis en place une start-up opérant dans la livraison de nourriture.

Capsa Food est une solution développée par une jeune pousse tunisienne. Elle permet aux utilisateurs de commander de la nourriture en ligne et de se faire livrer à l’endroit de leur choix, à la maison, au bureau ou ailleurs. La start-up, basée dans la ville de Gafsa, a été fondée en 2023 par Oussama Dhahri, Amine Chortani et Hadil Fouli.

La solution dispose d’une application mobile accessible sur Android et sur les smartphones de Huawei via AppGallery. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte pour accéder aux services de la start-up. Plusieurs restaurants de la ville de Gafsa, des fast-foods aux entités spécialisées dans les mets locaux, sont accessibles sur l’application.

Après le choix de la nourriture, il faudra valider la commande et renseigner sa position pour la livraison. De la commande à la livraison , il est possible de suivre en temps réel la position du livreur depuis l’application mobile. Le paiement s’effectue à la réception de la commande.

Selon la fréquence des commandes dans un restaurant plutôt qu’un autre ou des mets proposés, l’algorithme de l’application met en avant certaines entités. En fonction de votre position géographique, elle vous propose aussi les restaurants les plus proches. C’est un moyen d’optimiser le temps de livraison une fois la commande passée.

Capsa Food opère uniquement à Gafsa, une ville de moins de 100 000 habitants située à 360 kilomètres au sud de la capitale Tunis. D’ailleurs le nom de la start-up provient de l’ancien nom de la ville, Capsa. Depuis son lancement plus tôt cette année, la version Android de l’application mobile a déjà été téléchargée plus de 5 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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Maroc : Vesttys stimule le marché des articles d’occasion via sa plateforme de commerce en ligne

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Pendant ses études en France, cette tech entrepreneure a découvert une plateforme où il était possible de vendre les articles qu’on utilisait plus. A son retour au Maroc, elle lance sa start-up en reprenant le concept.

Vesttys est une plateforme de commerce en ligne développée par une jeune pousse marocaine. Elle permet, d’une part, de vendre des anciens articles et, d’autre part, d’en acheter à des tarifs intéressants. La start-up, basée à Tanger, a été fondée en 2020 par Mariam Ben Omar. Se définissant comme une plateforme de vide-dressing, elle a pour objectif de favoriser le marché de la seconde main dans le royaume chérifien.

« Lors de mes années d’étude en France, j’ai compris à un moment que j’avais une dépendance au shopping, je me retrouvais avec plusieurs articles que je n’utilisais pas. La plupart d’entre eux restaient avec l’étiquette. [...] une copine m’a parlé d’une plateforme qui permettait de mettre en vente ses vêtements : une sorte de vide dressing virtuel. Je suis donc moi-même devenue vendeuse sur le site en créant mon propre dressing. Quelques années plus tard, je suis rentrée définitivement au Maroc, c’est là que j’ai commencé à ressentir l’importance de cette plateforme dans mon quotidien », explique Mariam Ben Omar.

C’est donc de cette expérience personnelle qu’est né le concept de Vesttys. La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il est néanmoins possible de surfer sur la plateforme et de découvrir les articles disponibles. Entre autres, on retrouve des vêtements traditionnels et modernes, des produits de beauté, des articles pour enfant, des accessoires, etc.

Pour en poster ou en acheter, il est indispensable de disposer d’un compte. Il vous faudra une adresse email pour créer le compte et une carte de crédit pour l’activer. Le processus est gratuit mais la carte est liée au compte au cas où l’utilisateur voudrait effectuer des achats.

De plus, la start-up ne perçoit aucune commission sur les achats ou les ventes des utilisateurs. Elle a toutefois mis en place une fonction qui permet de booster les pages de vente. « Une option Boost permet de faire apparaître le dressing ou l’article en première position, c’est-à-dire lors de la recherche d’un article précis, la personne ayant souscrit à cette option verra son produit apparaître en premier dans la sélection avant les autres », indique Mariam Ben Omar.

Adoni Conrad Quenum

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Lengo AI une start-up sénégalaise qui fournit, aux entreprises de biens de grande consommation, des données sur les performances de leurs produits chez les petits détaillants a annoncé la semaine dernière la réussite d’un tour de table. Le montant de l’opération n’a pas été divulgué mais les fonds serviront à développer sa technologie, à renforcer son équipe et à soutenir sa croissance sur le continent.

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Les plateformes d’éducation à distance sont devenues une alternative de choix sur le continent. Elles se multiplient et proposent des formations de plus en plus adaptées aux apprenants.

Super Fny est une plateforme edtech développée par une jeune pousse égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à des formations professionnelles en suivant des contenus vidéos en ligne. La start-up, basée à Alexandrie, a été fondée en 2016 par Ahmed Anwar et Ramy Elmasry. L’objectif est d’améliorer les compétences des techniciens et des étudiants de l’enseignement technique pour mieux les préparer aux défis du marché de l’emploi.

La solution ne dispose pas d’une application mobile. Il faudra passer par un navigateur et accéder au site web. De là, l’utilisateur pourra se créer un compte et découvrir les diverses formations accessibles sur la plateforme. Entre autres, on peut citer les cours de maroquinerie et de techniques de fabrication du cuir, la fabrication de sacs ou de portefeuilles, les bases de l’entrepreneuriat, etc. Certains cours sont accessibles gratuitement alors que d’autres sont payants. Il faut compter jusqu’à 150 livres égyptiennes (environ 4,85 $) pour souscrire à certains cours.

Outre la formation, la start-up facilite la connexion avec des entreprises à la recherche de techniciens. Ainsi, elle permet à ses apprenants de trouver des contrats de travail grâce aux compétences acquises pendant la durée de leur formation. Par ailleurs, Super Fny dispose de plus de 35 partenaires, de plus de 34 000 stagiaires, de plus de 200 formateurs et propose une soixantaine de formations.

Présente dans 17 gouvernorats d'Egypte, elle veut s’étendre dans le monde arabe et pour cela, elle a réussi en 2022 un tour de table. Le montant de l’opération n’a pas été divulgué mais les fonds, provenant d’OBM Education et de PCS Edventures, seront utilisés pour développer sa technologie et accélérer sa croissance en Egypte et dans le monde arabe.

Adoni Conrad Quenum

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Depuis quelques années, les applications de transport à la demande sont devenues de véritables concurrents des taxis traditionnels. Pour répondre sur ce segment, des associations de taxis ont décidé de se lancer également sur ce segment.

Yo!Taxi est une application mobile développée par une start-up sud-africaine. Elle permet aux utilisateurs de commander des taxis pour effectuer leurs divers déplacements en ville. La start-up, basée à Durban, a été lancée en 2019 par douze associations de taxis avec compteur du KwaZulu-Natal pour concurrencer les géants Uber et Bolt.

L’application est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur, après téléchargement, devra se créer un compte avec son numéro de téléphone et une adresse email pour accéder au service. Pour commander un taxi, il devra saisir la destination dans le champ dédié puis appuyer sur le bouton « Get my Yo!Taxi ? » pour envoyer la demande aux conducteurs de la région. Après cette étape, il faudra cliquer sur « Pick me up from here » après le choix du chauffeur si plusieurs sont proposés puis confirmer le prix de la course après l’estimation de l’application.

Les informations du conducteur sont accessibles en cliquant sur son profil. La jeune pousse collecte et vérifie les informations de tous les chauffeurs avant leur première course. Elle a mis en place des garde-fous tels que les caméras, un bouton de secours ou encore un traqueur de véhicule pour assurer la sécurité des occupants du taxi.

Outre le transport à la demande, la firme sud-africaine propose également des services de livraison. Que ce soit pour de la nourriture dans un restaurant de la place ou un colis, les chauffeurs sont disponibles pour effectuer les courses. Depuis son lancement, la version Android de l’application a été téléchargée plus de 10 000 fois.

Adoni Conrad Quenum

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