Après les études universitaires, plusieurs apprenants se retrouvent au chômage ou avec un emploi sous payé. Afin de remédier à ce problème, Ayman Bazaraa a lancé Sprints afin de garantir un emploi décent aux jeunes qu’il forme à travers ses programmes d’apprentissage personnalisés.
Ayman Bazaraa (photo) est un cofondateur et le président-directeur général de Sprints, une entreprise de technologie éducative. Originaire d’Egypte, il a fréquenté à l’université du Caire où il a obtenu en 2004 un bachelor en électronique et communication avant de se faire former, en 2014, en leadership, marketing, finance et management à l’European Centre for Executive Development.
Son entreprise est née en 2019 avec pour mission de révéler le potentiel de 100 millions d’apprenants curieux en les aidant à développer les compétences essentielles à l'ère de l'intelligence artificielle. Pour atteindre ce but, Sprints évalue les talents qui s’inscrivent à son programme afin de leur proposer un parcours d’apprentissage personnalisé.
A la fin de la période de formation, la start-up garantit un emploi bien rémunéré dans des entreprises technologiques prestigieuses d’Egypte et du monde à ses élèves et soutient la croissance de leur carrière. Sprints a valu à Ayman Bazaraa une sélection parmi les 50 finalistes de l’Africa’s Business Heroes 2023. Il a également remporté les qualifications finales de la compétition télévisée pour les start-up « El Forsa with Lamees El Hadidi ».
https://www.linkedin.com/posts/ayman-bazaraa-5a750517_we-did-it-and-won-in-the-final-qualifiers-activity-7088123564515635200-8H1C?utm_source=share&utm_medium=member_desktop
Hormis Sprints, Ayman Bazaraa a cofondé MicroDoers en 2012. Cette entreprise fournit des solutions innovantes de réalité augmentée, à une large base de clients aux Etats-Unis, en Europe et en Asie. En 2015, il a également cofondé la start-up Avelabs, un fournisseur de solutions et de services intégrés pour l'industrie automobile.
Avant de se lancer dans l’entrepreneuriat, il a travaillé, à partir de décembre 2004, pour Orange Egypte en tant qu’ingénieur logiciel. En 2005, il rejoint IBM, d’abord au poste de concepteur de logiciels embarqués avant de devenir chef d’équipe de plus de 20 ingénieurs logiciel. En 2011, il devient le directeur de l’équipementier automobile Valeo, en Egypte, et y fonde le département d’experts en logiciels qui soutient aujourd’hui tous les projets de l’entreprise dans le monde.
Melchior Koba
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L’écosystème technologique kényan est l’un des écosystèmes à la croissance la plus rapide en Afrique. Parmi les institutions actives responsables de ce progrès du pays, on retrouve l’incubateur iBiz Africa.
iBiz Africa est un incubateur de start-up qui veut offrir un environnement stimulant aux jeunes qui développent des solutions dans le domaine des technologies de l’information et de la communication et aux entreprises qui œuvrent pour le bien de la société.
Fondé en 2011 et établi à l’université de Strathmore au Kenya, iBiz Africa est le centre d’incubation d’entreprises et d’innovation de iLabAfrica. Il offre aux entreprises l’opportunité de développer, d’entretenir et d’échanger leurs idées novatrices. Il fournit un soutien complet aux start-up en phase de démarrage, incluant des financements d’amorçage, des conseils juridiques, une expertise financière, une formation adaptée et des ressources matérielles.
iBiz Africa fournit également des installations d’incubation d’entreprises et établit des liens avec d’autres centres d’incubation dans le pays et dans le monde afin de proposer les meilleurs services aux entrepreneurs. A travers son événement Pitch Friday qui a lieu les derniers vendredis de chaque mois, il permet à tous ceux qui ont une idée ou une innovation commerciale intéressante de présenter leur produit à un public de mentors, d’investisseurs et d’entrepreneurs.
Récemment, l’incubateur a lancé le programme Whitebox-Strathmore Bootcamp pour aider les entrepreneurs à faire passer leur entreprise à l’échelle supérieure. Les chefs d’entreprise ont jusqu’au 7 août 2023 pour s’inscrire au programme au cours duquel ils pourront booster leurs stratégies de marketing et de vente, améliorer leurs opérations et la gestion de leurs projets et maîtriser la gestion financière et la légalité.
Ready to scale up your innovation?
— @iBizAfrica (@iBizAfrica) July 21, 2023
Join our Whitebox -Strathmore Bootcamp to transform your business gameplan!
✅Boost your marketing & sales strategies. ✅Elevate operations & project management. ✅Master financial management & legality.
Apply Today: https://t.co/4HwJLMbMKq pic.twitter.com/fkklTiDhiu
En plus de 10 ans d’existence et avec le soutien de plusieurs partenaires précieux comme la fondation IDEA en Norvège, CIO East Africa et Deloitte, entre autres, iBiz Africa a déjà soutenu plus de 300 entreprises. Parmi elles, on distingue Purpink, une boutique en ligne de cadeaux personnalisés, M-Ledger, une solution innovante de rapports et d’analyse pour les utilisateurs de M-Pesa, et Lynk Jobs, une place de marché et un réseau pour les travailleurs informels qualifiés et vérifiés.
Melchior Koba
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Kenya : Sote Hub forme les jeunes des milieux ruraux aux TIC et soutient l’esprit entrepreneurial
L’accélérateur d'innovation africain IMPACT lab a récemment annoncé le lancement de la 2e édition du Launchpad Agritech.
Pour cette édition, l'accélérateur sélectionnera 10 start-up du Maroc, de Tunisie, de Côte d’Ivoire et du Sénégal répondant à 5 défis du secteur définis avec les partenaires du programme, notamment la maîtrise des ressources hydriques, l’optimisation de l’usage des intrants, l’estimation des rendements, la gestion du matériel agricole et le suivi des élevages avicoles.
Les start-up Agritech en Afrique francophone et du Maghreb intéressées sont invitées à postuler avant le 30 juillet en remplissant le formulaire disponible sur le lien :
https://www.f6s.com/launchpad-2eme-edition/apply
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Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 14 août pour l’AWS Global Fintech Accelerator
Au Kenya, les populations des milieux ruraux manquent de formation pratique dans les domaines des technologies de l’information et de la communication. C’est à ce problème que remédie Sote Hub qui soutient également les entreprises en démarrage.
Sote Hub est un centre d’innovation kényan qui forme les jeunes, les micro, petites et moyennes entreprises des zones rurales et les pauvres des zones urbaines aux compétences numériques. Il permet à ces derniers de se lancer avec succès sur les marchés ou d’y prendre de l’ampleur.
Fondé en 2015 par David Ogiga qui en est le directeur, Sote Hub propose aux jeunes, aux entreprises en démarrage, aux incubateurs et à toute la communauté kényane un espace de travail collaboratif équipé et moderne. En tant que centre de soutien et fonctionnant comme un incubateur, il présélectionne des entreprises à qui il octroie un capital de départ, une admission de 12 mois à son programme et les ressources nécessaires à leur développement.
Haut lieu d’opportunités et de réseautage, il soutient les start-up qui évoluent dans les domaines de l’agriculture climato-intelligente, de l’économie bleue et de la numérisation à travers ses programmes Go Blue, Cashew Nut Project, Voices for Climate Action, No Code Projet, Internet Safe Kenya, entre autres.
Dans le cadre du projet No Code, qui est l’un de ses programmes phares, une académie a été mise en place pour permettre de former les jeunes à l’art du développement informatique NoCode, du marketing numérique et des médias sociaux, de la conception graphique, et plus encore.
A travers ses programmes d’incubation et de soutien à l’esprit d’entreprise, Sote Hub a déjà travaillé avec plus de 800 entreprises et offert des possibilités d’emploi et de stage à près de 800 femmes. Œuvrant en milieu rural, il a fourni des services de développement d’entreprises agricoles et un soutien à plus de 18 000 exploitants agricoles.
Plusieurs partenaires, à la fois locaux et internationaux, ont adhéré au combat de Sote Hub. Il s’agit, entre autres, de GIZ, UK Kenya Tech Hub, UKaid, AgriFi, Gratitude Network, Google et Impact Amplifier. Le centre de soutien est également membre d’AfriLabs, de la Kenyan National Chamber of Commerce and Industry et de l’Association of Countrywide Innovation Hubs.
Melchior Koba
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Le géant américain du commerce en ligne Amazon lance l’AWS Global Fintech Accelerator. Le programme est réservé aux start-up opérant dans les technologies financières et alliant intelligence artificielle et apprentissage automatique à leurs solutions. 150 jeunes pousses seront sélectionnées dans diverses régions du monde dont l’Afrique pour rejoindre un programme à distance de six semaines entre le 18 septembre et le 23 octobre. Cliquez sur sur ce lien pour postuler.
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iSpace Foundation est un acteur clé de l’écosystème entrepreneurial du Ghana. Il fournit aux entrepreneurs des ressources éducatives, un espace de travail et l’accès à une communauté d’entrepreneurs partageant les mêmes idées.
iSpace Foundation est un centre d’innovation et de technologie du Ghana. C’est une plateforme renommée qui met à la disposition des entrepreneurs et des start-up un environnement propice à la création, en leur offrant un espace de travail moderne et équipé, ainsi que des outils et des installations de pointe. Son engagement est de soutenir activement les entrepreneurs et innovateurs dans la création de nouvelles technologies pour les marchés mondiaux, faisant de lui un acteur clé de l’écosystème entrepreneurial du pays.
Fondé en 2013 par les tech entrepreneurs Josiah Eyison, qui en est le président-directeur général, et Fiifi Baidoo, iSpace Foundation offre, en plus de son espace de coworking, des ressources éducatives et l’accès à une communauté d’entrepreneurs partageant les mêmes idées.
Le centre d’innovation et de technologie développe plusieurs programmes pour renforcer les capacités des entrepreneurs en herbe et des jeunes. Parmi ceux-ci, on peut citer Code School, un programme de 9 mois de développement de compétences logicielles et de stages, et Phoenix Kids qui fournit aux enfants, en particulier aux jeunes filles âgées en 9 et 12 ans, un accès aux technologies informatiques.
Avec le soutien de la Banque mondiale et du NEIP Hub Acceleration dans le cadre du Ghana Economic Transformation Project (GETP), iSpace Foundation a lancé récemment le programme The Vault Foundation, qui durera 3 mois (août à octobre 2023), pour aider les entreprises à augmenter leur rentabilité, affiner leurs offres de produits ou services, étendre leur marché et construire une base solide pour un succès à long terme. La phase d’inscription au programme a pris fin le mercredi 19 juillet.
𝐓𝐡𝐞 𝐕𝐚𝐮𝐥𝐭 𝐀𝐜𝐜𝐞𝐥𝐞𝐫𝐚𝐭𝐨𝐫
— iSpace Foundation (@iSpaceGh) July 7, 2023
Are you a Startup with traction and ready to scale but need access to mentors, capital, resources, and opportunities to network with other entrepreneurs? pic.twitter.com/m3Tx1dUonY
iSpace Foundation a également mis en place le programme Unlocking Women and Technologie pour permettre à un plus grand nombre de femmes de se lancer dans la technologie en formant ces dernières en programmation informatique, gestion d’entreprise et technique de présentation et en leur donnant accès à des fonds de démarrage et à un réseautage professionnel.
Melchior Koba
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A l’instar de la plupart des pays africains, le Bénin fait de l’économie numérique un élément important de son développement. Parmi les structures qui contribuent à la promotion de l’innovation technologique, on retrouve le hub EtriLabs.
EtriLabs est à la fois un écosystème d’innovation et une communauté regroupant des individus désireux de co-créer et de collaborer sur des projets visant à résoudre des problèmes majeurs à l’échelle nationale et internationale.
Créée en 2009 par Senam Beheton qui en est aussi le président-directeur général, sa vision est de favoriser une culture entrepreneuriale axée sur l’innovation, la créativité et le partage, en créant un environnement propice à l’émergence de solutions d’envergure mondiale.
Comme la plupart des centres d’innovation, EtriLabs offre un espace de coworking suffisamment équipé pour permettre aux entrepreneurs, concepteurs, développeurs et spécialistes du marketing qui composent sa communauté de travailler dans le calme et l’harmonie.
Présent au Bénin à travers trois sites répartis sur Cotonou (2) et Parakou (1), il est également implanté à Dakar, au Sénégal. Ses trois axes d’interventions sont le développement d’écosystèmes, l’accélération et l’incubation d’entreprises et l’innovation numérique. Dans le cadre du développement d’écosystèmes, il fournit plusieurs programmes de formation dans le domaine du numérique, comme le camp Learn2Code qui forme les enfants à la programmation informatique et au graphisme.
Avec EtriStars qui regroupe les programmes d’accélération qu’il a créés, EtriLabs répond aux besoins des jeunes entreprises et les aide à relever les défis auxquels elles font face, en leur offrant un soutien et un accès aux ressources essentiels.
EtriLabs propose également aux entreprises, particuliers, organisations non gouvernementales et gouvernements, des solutions taillées sur mesure. Que ce soit le développement d’une image de marque, l’introduction d’une stratégie d’innovation au sein de l’institution ou dans l’intégration de nouvelles technologies digitales, le centre aide les structures qu’il accompagne dans l’atteinte de leurs objectifs.
Hormis les formations, EtriLabs offre des workshops et des séminaires sur des thèmes variés. Il organise aussi des événements pour favoriser le réseautage, la démonstration de produits et services et la levée de fonds.
Avec l’aide de ses partenaires, EtriLabs a accompagné plus de 1 000 entrepreneurs dans 14 secteurs d’activités. Parmi les entreprises qu’il a soutenues, on distingue la fintech FedaPay, Ylomi qui connecte les artisans avec des clients potentiels et la healthtech Rema.
Melchior Koba
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Ouganda : Hive Colab veut incuber 1 000 jeunes entrepreneurs d’ici 2024
Hive Colab, est le premier centre technologique en Ouganda. Avec le soutien de ses partenaires, il développe des programmes d’incubation et d’accélération pour encourager et accompagner l’innovation numérique dans le pays.
Hive Colab est un centre d’innovation et d’incubation, un espace de travail collaboratif pour la communauté des affaires et de la technologie en Ouganda. Fondé en 2010 par Barbara Mutabazi, Daniel Stern, Jon Gosier et Marieme Jamme, son centre de coworking offre aux entrepreneurs un accès à Internet, un environnement de travail professionnel et calme pour développer leurs idées, organiser des événements et collaborer de manière générale.
En tant que premier centre technologique en Ouganda, son but est d’encourager les technologues des générations présente et future à créer et à développer des applications résolvant les défis liés au développement du pays. Il désire susciter chez les jeunes un esprit créatif et novateur afin de produire une technologie de qualité supérieure qui soit reconnue à l’échelle mondiale.
Les domaines qu’il soutient sont l’éducation, la finance, la santé, la gouvernance, l’agriculture. Il propose plusieurs programmes d’incubation, dont le projet Youth Startup Academy Uganda (YSAU), son programme phare qui a pour but d’incuber 1 000 jeunes entrepreneurs d’ici 2024. La phase d’inscription dans le cadre de la troisième cohorte du programme s’est d’ailleurs terminée le 15 juillet passé.
Le centre d’innovation propose également des programmes d’accélération comme le programme University Acceleration qui a pour but de générer de nouvelles start-up ou innovations résolvant les défis quotidiens de la société. Les solutions seront ensuite développées et mises à l’échelle par les étudiants eux-mêmes avec le soutien de Hive Colab, ce qui permettra de transformer leurs idées en entreprises.
Plusieurs entreprises ont déjà été incubées par le centre. Il s’agit entre autres d'Easy Matatu, une start-up de mobilité, et ChapChap qui aide les micros, petites et moyennes entreprises à accroître la productivité de leurs réseaux et à étendre la distribution de leurs services.
Hive Colab est également soutenu par plusieurs entreprises et institutions engagées dans la promotion de l’innovation numérique. Parmi elles, on distingue The Indigo Trust, UNICEF, Microsoft, Seacom, AfriLabs, Village Capital et Startup Ouganda.
Melchior Koba
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A Dakar, l’université Cheikh Anta Diop (UCAD) est passée à l’enseignement en ligne à la mi-juin. Pour renforcer son offre, des partenariats sont signés par l’université qui multiplie les efforts pour satisfaire des milliers d’étudiants.
L'université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et la Société nationale des télécommunications du Sénégal (SONATEL) ont signé, le vendredi 14 juillet à Dakar, une convention de partenariat. Ladite convention vise à mettre en œuvre le programme « Pass UCAD » ayant pour objectif de fournir un accès gratuit en ligne aux étudiants et aux enseignants de l'UCAD, grâce à la SONATEL.
#UCAD et le @GroupeSonatel ont signé ce 14 juillet 2023, une convention de partenariat, une étape importante dans leur collaboration. Le programme "Pass Ucad" fournira un accès gratuit en ligne aux étudiants et aux enseignants de l'UCAD. #compublique #Sénégal #Kebetu pic.twitter.com/L1nAguvfDK
— Université Cheikh Anta Diop de Dakar (@UCAD_Senegal) July 15, 2023
Par ailleurs, le directeur général de la Sonatel, Sékou Dramé (photo, à droite), a annoncé la mise en place d’une plateforme permettant aux étudiants de continuer les cours en ligne. « Dès la semaine prochaine, elle sera mise en œuvre. Cette plateforme va permettre aux étudiants de s’identifier et d’accéder à ce "Pass UCAD" spécifique émis pour les étudiants et qui va leur permettre de se connecter gratuitement à la plateforme d’enseignement en ligne mis en place par l’université jusqu’au 31 Octobre ».
Cette décision de fournir un pass gratuit aux étudiants intervient un mois après que le gouvernement sénégalais a décidé d’adopter l’enseignement en ligne dans les universités publiques du pays après de fortes manifestations liées à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko. Au cours de ces actes de violence, plusieurs universités avaient été détruites, dont six facultés de l’UCAD.
Ainsi, ce nouveau partenariat permettra de soutenir l'éducation et favorisera l'accès à Internet pour les étudiants de l'UCAD. Il permettra également aux étudiants de bénéficier de ressources éducatives, de recherches en ligne, de renforcer leurs compétences numériques et de se préparer à l'avenir numérique.
Samira Njoya
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Nayamax, une entité burkinabè opérant dans le secteur du e-commerce, a lancé la semaine dernière un appel à projets pour les entrepreneurs souhaitant se lancer dans le commerce électronique. L’initiative a été mise en place dans le cadre de son programme « l'accélération de l'entreprenariat numérique au Burkina Faso et en Afrique ». Les candidatures prennent fin le 13 août. Cliquez sur ce lien pour postuler.
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