Acelera Angola est une force motrice pour le changement et l’innovation en Afrique. Grâce à ses programmes et initiatives, il continue de transformer le paysage entrepreneurial angolais et africain.

Acelera Angola est un accélérateur de start-up basé à Luanda, qui promeut l’entrepreneuriat et impulse des affaires créatives en Afrique. Fondé en 2017 par son associé gérant José Carlos Santos, un entrepreneur angolais, il a pour mission de soutenir les start-up innovantes et à fort potentiel de croissance, en leur offrant des services de formation, de mentorat, de networking et de financement.

Sous la gestion de José Carlos Santos, Acelera Angola a mis en place une série de programmes et d’activités visant à soutenir les start-up à différents stades de leur développement.

Parmi ces initiatives, on trouve le Clube do Empreendedor, un événement organisé conjointement avec l’ambassade des Etats-Unis d’Amérique en Angola et Unitel, qui offre aux entrepreneurs la possibilité d’échanger des expériences. Il y a aussi l’Acelera Mentoring, un événement qui offre un mentorat gratuit aux start-up à différents stades et leur donne la possibilité de collaborer avec des spécialistes.

En outre, Acelera Angola a lancé plusieurs programmes spécifiques tels que FEMTECH, un programme d’accélération commerciale destiné aux femmes entrepreneurs qui dure 4 à 6 mois, BETA-START, qui vise à promouvoir l’entrepreneuriat dans toutes les régions du pays et ReStart, un programme 100 % numérique pour les femmes entrepreneurs en Angola qui veulent innover et accélérer la croissance de leurs entreprises et dont la phase de candidature pour la sixième édition a été lancée le 1er août 2023.

Depuis sa création, Acelera Angola a formé plus de 750 personnes, lancé plus de 22 programmes à travers au moins 18 provinces cibles en Angola, et accompagné plus de 362 start-up dans divers secteurs.

Il dispose d’un réseau de partenaires locaux et internationaux qui contribuent à son développement et à celui de ses start-up. Parmi eux, on peut mentionner la Société financière internationale (IFC), le gouvernement angolais, qui a soutenu plusieurs programmes d’incubation et d’accélération, ou encore Total Energies.

Acelera Angola est donc un accélérateur de référence en Afrique, qui contribue à la transformation sociale et économique du continent à travers l’innovation et la créativité.

Melchior Koba

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Alors que la transformation numérique s’accélère en Afrique, il devient plus qu’important de former les citoyens aux compétences nécessaires pour cette mutation. Des partenariats se multiplient dans ce sens au Kenya.

MaMa Doing Good, une organisation non gouvernementale dirigée par la première dame du Kenya, Rachel Ruto, a annoncé avoir signé un protocole d’accord avec le chinois Huawei pour fournir des compétences numériques à plus de 14 000 groupes de femmes à travers le pays grâce à un programme de Huawei.

Le partenariat entre les deux institutions englobe plusieurs domaines clés, notamment la réduction du fossé numérique, l’amélioration des compétences numériques, le plaidoyer pour l'alphabétisation numérique, et la communication et la documentation sur le programme et son impact.

« Nous sommes ravis d'unir nos forces à celles de MaMa Doing Good pour donner aux femmes les compétences numériques dont elles ont besoin pour s'épanouir dans la société et prospérer dans le monde d'aujourd'hui. Grâce à cette collaboration, nous visons à combler le fossé numérique et à créer un avenir meilleur pour les femmes dans le monde d’aujourd’hui », a déclaré Steven Zhang, directeur général adjoint de Huawei Kenya.

Pour le Kenya, le nouveau partenariat symbolise un engagement commun à construire une société équitable où chaque individu, en particulier les femmes, peut mener une vie profondément transformée grâce aux TIC. Il s’inscrit à cet effet dans la Vision 2030 du Kenya, qui souligne l'importance primordiale de la culture numérique et de l'autonomisation économique du pays à travers le numérique.

A en croire John Chumo (photo, au centre), le PDG de MaMa Doing Good, l’investissement dans l'autonomisation économique des femmes ouvrira la voie à l'égalité des sexes, à l'éradication de la pauvreté et à une croissance économique inclusive. L'équipement et les compétences numériques seront un catalyseur de changement qui améliorera profondément leur vie.

Samira Njoya

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WETECH : un centre d’innovation camerounais dédié à l’autonomisation des femmes

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Le centre d’innovation WETECH contribue à l’autonomisation des femmes et des filles dans le secteur du numérique. Il démontre que les femmes peuvent être des actrices clés de l’innovation sociale et du développement durable en Afrique.

WETECH (Women in Entrepreneurship and Technology) est un centre d’innovation camerounais qui vise à promouvoir l’entrepreneuriat et l’innovation chez les femmes dans le domaine des technologies.

Fondé en 2020 par Crescence Elodie Nonga, présidente du centre, WETECH veut créer un réseau de femmes dynamiques et dirigeantes en leur donnant des opportunités et des ressources pour leur développement par le biais de l’entrepreneuriat et de la technologie.

Le centre conçoit et développe des programmes d’accompagnement et de mentorat pour les filles et les femmes africaines et offre à ces dernières des formations en matière d’entrepreneuriat et de technologie. Parmi les programmes qu’organise le centre, nous avons le WETECH WILE qui détecte, forme, accompagne les femmes entrepreneurs à fort potentiel dans leur croissance et crée des opportunités d’investissement pour elles.

Le centre propose aussi le programme WETECH WIC (Women in Code) afin d’enseigner aux femmes âgées de plus de 18 ans le développement web et mobile. Avec le soutien du Haut-Commissariat du Canada au Cameroun, WETECH développe le programme FundHer qui a pour objectif d’offrir aux femmes des ressources qui les aideront à améliorer leur accès aux produits financiers et aux opportunités de financement.  

Le dernier programme est l’initiative #eSkills4Girls qui a déjà permis à 115 jeunes filles camerounaises d’apprendre le codage informatique et le développement web. Présent au Cameroun, au Sénégal et au Togo, WETECH a déjà accompagné plus de 30 projets, organisé plus de 10 programmes et activités, formé plus de 600 femmes et impacté plus de 2 500 femmes.

En 2022, le centre remporte le Joint Innovation Challenge, un concours international organisé par le Fonds des Nations unies pour la population (FNUAP) en collaboration avec l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (OMPI), l’Union internationale des télécommunications (UIT) et le Centre du commerce international (CCI).

Melchior Koba

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MIIC offre aux entrepreneurs un environnement propice à la création et au développement de leurs idées, contribuant ainsi à la transformation économique et sociale du pays et de la région.

Makerere Innovation and Incubation Centre (MIIC) est un centre d’incubation de start-up et d’innovations basé à Kampala, en Ouganda. Fondé en 2010 par le Dr Peter Ngategize, un économiste agricole et expert en développement du secteur privé, MIIC vise à soutenir le développement et la croissance des entreprises et des innovations basées sur la technologie dans différents secteurs.

MIIC offre aux entrepreneurs un espace de collaboration, un accompagnement en développement de produit et d’affaires, un coaching, un accès au marché et au capital. Il propose également des programmes d’incubation, d’accélération, de validation et de formation.

Le MIIC Startup Dealflow, son programme d’incubation phare, dure 6 mois et s’adresse aux créateurs d’entreprises technologiques en phase d’amorçage et en phase de développement qui recherchent un soutien pour la conception et l'amélioration de leur produit, la croissance de leur entreprise et l'extension de leur marché.

Il organise aussi des rencontres comme les Jumpstart Series qui réunissent des chefs d’entreprises locaux, des experts de l’industrie et d’anciens élèves de ses programmes pour partager leurs idées sur le développement, la gestion et la croissance des entreprises avec les fondateurs/entrepreneurs de l’écosystème local. 

MIIC collabore avec des partenaires tels que Startup Uganda, VRC Group, Afrolynk, Startup Africa Roadtrip, AfriLabs et d’autres acteurs de l’écosystème entrepreneurial. Depuis 2017, il a encadré plus de 50 start-up lancées, financé plus de 20 start-up, créé plus de 100 emplois à travers ses start-up.

Le centre se concentre sur les besoins les plus pressants du marché et de la société pour développer des solutions viables et durables. Parmi les secteurs d’intervention de MIIC, on peut citer l’agriculture, l’éducation, la finance, la santé, le tourisme, le transport, les services logiciels et l’énergie.

Melchior Koba

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Flapmax, une entreprise opérant dans l’intelligence artificielle, a annoncé la semaine dernière les douze start-up retenues pour son programme Fast Accelerator axé sur l’intelligence artificielle. Soutenu par Microsoft, l’objectif est de renforcer et de faire évoluer l’écosystème technologique en Afrique. « La participation au programme FAST Accelerator aidera ces entrepreneurs à saisir les opportunités de croissance et à étendre leur marché », a expliqué Mame-Fatou Gueye, responsable du programme PME, Microsoft Africa Transformation Office.

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ZongoVation Hub est une organisation qui utilise la technologie comme un levier pour l’émancipation économique et sociale des communautés Zongo, souvent marginalisées et défavorisées. Elle contribue ainsi à créer un écosystème entrepreneurial dynamique et inclusif au Ghana.

ZongoVation Hub est un espace d’innovation technologique communautaire dédié au développement et à la croissance des jeunes entrepreneurs et des start-up dans les communautés Zongo du Ghana. Fondé en 2018, il aide les jeunes porteurs d’idées à devenir des entrepreneurs en leur fournissant tous les outils et les réseaux nécessaires.

Son fondateur et président-directeur général, Mahmoud Jajah, est un entrepreneur en série et un bâtisseur d’écosystèmes qui a pour vision, à travers ZongoVation Hub, de transformer les communautés Zongo en des hubs technologiques en Afrique.

ZongoVation Hub propose des programmes de formation dans divers domaines liés à la technologie, tels que le développement web, le design graphique, le développement d’applications mobiles, les médias numériques, le développement d’entreprise, etc. Il organise également des initiatives caritatives dans les domaines de la santé, de l’éducation, du leadership et de l’entrepreneuriat.

Son programme principal est le Zongo Startup Program, dont l’objectif est d’identifier, de former, d’accompagner et de financer les entrepreneurs débutants et les start-up issues des communautés Zongo au Ghana. Ce programme comprend une période d’incubation de trois mois pour valider les prototypes, suivie d’une phase d’accélération de quatre mois visant à perfectionner les produits et les modèles économiques avant de présenter les entreprises aux investisseurs.

Depuis sa création, ZongoVation Hub a lancé 7 programmes et formé plus de 100 femmes et plus de 100 hommes. Il a accompagné la création de plus de 4 entreprises. Il dirige actuellement une initiative appelée Zongo Tech, dont l’objectif est de former et de faire émerger 100 000 entrepreneurs et experts en technologie issus des communautés Zongo d’ici 2030.

Pour atteindre son but, il compte établir des centres dans les 16 régions du Ghana et renforcer son réseau de partenaires locaux et internationaux. Pour le moment, il peut compter sur Ghana Tech Lab, AfriLabs, ISpace, Google, le British Council, Social Enterprise Ghana, et Digital Zongo, entre autres.

Melchior Koba

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Après avoir inauguré des centres d’apprentissage numérique en Mauritanie en juin dernier, Digital School passe à la vitesse supérieure sur le continent noir.

 Dr Waleed Al Ali, secrétaire général de Digital School, et Ute Klamert, directrice exécutive adjointe du Programme alimentaire mondial (PAM), ont signé un protocole d’accord lors de l’Assemblé générale des Nations unies, apprend-on de l'Agence de presse des Emirats (WAM) ce vendredi 22 septembre. Le but est d’élargir la portée des activités de l’initiative « Digital School », de renforcer les partenariats et d'atteindre les communautés rurales et les étudiants dans toute l'Afrique subsaharienne.

« L'avenir de l'éducation repose en grande partie sur l'utilisation de solutions numériques, qui constituent un facteur essentiel pour permettre aux étudiants du monde entier d'accéder à une éducation de qualité. Le lancement de ce nouveau partenariat reflète le message humanitaire de Digital School et traduit sa volonté d'élargir le cercle d'intérêt et d'atteindre davantage d'étudiants sur le continent africain », a déclaré Omar Sultan Al Olama, ministre d'Etat émirati chargé de l'Intelligence artificielle, de l'Economie numérique et des Applications de travail à distance et président du conseil d'administration de Digital School.

Depuis la pandémie de la Covid-19, l’éducation à distance s’est imposée comme une alternative intéressante aux formations traditionnelles. Avec une connexion Internet, il est possible de se former dans divers domaines en assistant à des cours en ligne ou en consommant des contenus (vidéos et/ou audios) préalablement chargés sur des plateformes web. Les start-up opérant dans les technologies de l’éducation prolifèrent sur le continent et les autorités s’associent à divers partenaires techniques pour améliorer la qualité d’Internet. Toutefois, le taux de pénétration d’Internet en Afrique subsaharienne reste faible, environ 30 % de nos jours.

Présent dans huit pays dans le monde dont deux d’Afrique, la Mauritanie et l’Egypte, Digital School a été lancé en 2020 et a déjà formé plus 1 500 formateurs et a accueilli plus de 60 000 étudiants. En juin dernier, elle a renforcé sa présence en Mauritanie en inaugurant 66 centres d’apprentissage numérique dans le but de diffuser des compétences et des solutions en éducation numérique dans la région arabe.

Adoni Conrad Quenum

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Il croit que l’intelligence artificielle peut transformer le monde et créer de nouvelles opportunités de croissance et de développement. Il met donc à la disposition des entreprises des solutions d’intégration de l’IA dans leur domaine d’activité.

L’Egyptien Marc Banoub (photo) est le président-directeur général et le fondateur de LyRise, une entreprise qui vise à résoudre la pénurie d’expertise en intelligence artificielle (IA) en créant des équipes d’IA à distance. Il est également un entrepreneur en technologie, un formateur en IA et un leader communautaire dans le domaine de la data et de l’IA.

Marc Banoub est né en Egypte et a obtenu un bachelor en ingénierie mécanique à l’université américaine du Caire en 2014. Il a ensuite poursuivi sa passion pour l’IA, l’Internet des objets (IoT) et la blockchain en participant en 2019 au premier MIT Deep Technology Bootcamp, où il a appris auprès d’experts et de mentors de classe mondiale.

En 2019, il a lancé LyRise, une plateforme qui met en relation les entreprises et des équipes d’IA à distance. Elle aide les entreprises à trouver, recruter et gérer des talents qualifiés en IA du monde entier. La société propose également une formation et un mentorat à ses équipes d’IA pour garantir qu’elles fournissent des solutions de haute qualité.

Hormis LyRise, il a fondé Cairo AI, une communauté pour les jeunes professionnels en apprentissage automatique, vision par ordinateur et traitement de la parole en Egypte. Il a également fondé Lyra, un fournisseur de solutions de transformation de l’entreprise par l’IA en Egypte.

Marc Banoub a dirigé des programmes de formation avancés en IA avec des entreprises comme Microsoft, permettant à plus de 150 personnes de se perfectionner et à plus de 60 personnes d’être cocertifiées.

Ambassadeur MENA (Afrique du Nord et Moyen-Orient), depuis 2018, de VETRI Foundation, une organisation à but non lucratif qui se concentre sur la souveraineté et la propriété des données, il a travaillé pour IGI Holding entre 2016 et 2018 en tant qu’assistant technique du président et directeur général. Il a ensuite travaillé pendant 4 mois pour Transcendium, un catalyseur de transformations d’entreprises au Moyen-Orient, comme analyste de transformation.

Marc Banoub a reçu plusieurs prix et reconnaissances pour ses réalisations et ses contributions dans le domaine de l’IA. Il a été nommé parmi les 30 Under 30 par Forbes Middle East en 2021. Il a aussi gagné, en 2022, un voyage sponsorisé pour visiter des dirigeants de Google, Meta, Palantir et bien d’autres dans la Silicon Valley. 

Melchior Koba

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Habaka est un hub qui vise à créer une culture de l’innovation et de la technologie à Madagascar. En rassemblant les talents technologiques et en favorisant leur développement, il espère contribuer au développement social et économique du pays.

Signifiant « espace » en malgache, Habaka, autrefois i-Hub, est un pôle d’innovation technologique qui soutient une communauté d’entrepreneurs, de développeurs et d’innovateurs. Initié en 2011 par des acteurs indépendants du web malgache et dirigé par Princia Heliarizaka, directrice exécutive, il propose différents services et programmes pour aider la communauté technologique locale à se développer et s’épanouir.

D’abord, il dispose d’un espace coworking moderne, confortable et équipé, où les travailleurs du secteur technologique peuvent utiliser Internet, du matériel et rencontrer d’autres personnes qui partagent leurs intérêts et leurs objectifs.

Habaka organise et accueille des événements liés à l’entrepreneuriat et à la technologie. Ces événements sont des occasions d’apprendre de nouvelles compétences, de partager des idées et de réseauter avec des experts et des pairs. Quelques exemples d’événements sont la Startup Weekend, les barcamp, les webcup, des cafés TIC, etc.

Le hub propose des formations sur divers sujets, tels que le développement web, le marketing numérique, le design graphique et les compétences entrepreneuriales. Habaka gère également un programme appelé Coder Dojo, qui enseigne la programmation et la résolution créative de problèmes aux jeunes.

Aussi, le centre offre un fablab qui dispose de plusieurs équipements, notamment une imprimante 3D ainsi que de puissants ordinateurs pour vous permettre de fabriquer sur mesure n’importe quel objet/pièce. Ces différents outils et accessoires permettent aux entreprises de prototyper leurs produits avant toute production en série.

Actuellement, Habaka compte cinq communautés regroupant des milliers de membres et qui ne cessent de s’agrandir. Les membres des communautés du hub travaillent dans divers secteurs stratégiques comme le génie logiciel, le machine learning, la robotique, les villes intelligentes, l’astronomie et le développement de jeux, entre autres.

Depuis 2018, Habaka nourrit un projet qui vise à mettre en place la Silicone Valley de Madgascar, le Hay Valley. Avec l’aide de ses partenaires qui sont AfriLabs, Orange, GIZ, ArchiCONCEPT, Network Information Center Madagascar (NIC-MG) et le Centre d’innovation et de documentation scientifique et technique (CIDST), le hub a accompagné 80 start-up et délivré 70 formations pratiques.

Melchior Koba

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Kosala PME propose une gamme de services et de programmes qui sont conçus pour inspirer et soutenir les entrepreneurs en herbe et existants au Congo. L’incubateur et accélérateur a déjà accompagné une multitude de projets et start-up.

Kosala est une plateforme qui vise à fournir aux entrepreneurs de la République du Congo un accompagnement et des mécanismes de financement sur mesure, afin de faciliter la création et le développement de nouvelles entreprises.

Fondée en 2019 par Trésor Dexter Omono, un jeune entrepreneur et innovateur congolais, Kosala propose une gamme de services et de programmes pour aider les entrepreneurs à atteindre leurs objectifs et leurs rêves.

Kosala propose des programmes d’incubation et d’accélération aux start-up et aux petites et moyennes entreprises (PME). A travers ces services, elle offre aux entrepreneurs du coaching, du mentorat, des formations et des opportunités de réseautage et de financement. Elle organise également des événements et des ateliers pour promouvoir la culture de l’entrepreneuriat et de l’innovation dans le pays.

Kosala propose aussi des espaces de co-working aux entrepreneurs. A travers Kosala Académie, l’incubateur aide ses étudiants à acquérir des compétences dans divers domaines, dont le numérique, le management et l’entrepreneuriat. Il permet aussi aux entrepreneurs de domicilier leur start-up à son adresse et d’obtenir une assistance sur-mesure pour leurs démarches administratives de création d’entreprises.

Kosala noue également des partenariats avec diverses institutions publiques et privées pour soutenir l’écosystème numérique au Congo. Par exemple, il a signé, en juillet 2023, un accord de partenariat avec l’Agence de développement de l’économie numérique (ADEN CG) pour favoriser l’inclusion numérique, le développement des compétences et la création d’emplois dans le pays.

Kosala est une plateforme qui vise à impacter la vie des entrepreneurs congolais et à contribuer au développement économique et social du pays. Selon son site web, elle accompagne actuellement 3 750 projets et a un taux de réussite de 85 %.

Melchior Koba

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