Villgro Africa se positionne en tant que moteur de l’innovation dans le domaine de la santé en Afrique. Il œuvre pour catalyser l’écosystème entrepreneurial de ce secteur et encourager, à travers ses subventions et ses programmes d’incubation, la création d’entreprises durables.

Villgro Africa est un incubateur kényan d’entreprises en phase de démarrage et un investisseur d’impact qui soutient principalement les start-up émergentes du secteur de la santé en Afrique. Il est fondé en 2015 par Wilfred Njagi (président-directeur général), Robert Karanja et Bob Beyer.

L’incubateur se sert de ses connaissances approfondies du secteur de la santé et de son vaste réseau de partenaires pour aider les innovateurs à mettre au point des solutions viables et évolutives dans le domaine de la santé et des sciences de la vie afin d’améliorer la qualité de vie des populations africaines.

Villgro Africa accompagne les start-up à travers trois principaux services. Le premier est le financement. En effet, il met à la disposition des entreprises un financement d’amorçage et leur donne accès à des investisseurs d’impact. A ce jour, il a déjà investi dans plus de 40 innovateurs du secteur de la santé.

Le deuxième produit de Villgro est son service d’incubation à travers lequel il octroie un soutien technique pratique et fournit des mentors experts de l’industrie pour garantir que les innovateurs de son portefeuille sont prêts pour les investisseurs et le marché. Les entrepreneurs qui participent au programme d’incubation bénéficient d’un gestionnaire de portefeuille, d’un plan de croissance personnalisé et de mentors qui les accompagnent dans le développement de leur entreprise.

L’incubateur propose également un service de conseil. Il offre sa connaissance approfondie de l’espace d’innovation et d’incubation dans le domaine de la santé en Afrique aux entreprises ou groupes externes qui ont besoin d’aide pour pénétrer le marché, commercialiser et croître, et pour développer des partenariats publics.

En mai 2023, Villgro a lancé un programme nommé Making More Health pour soutenir les entrepreneurs qui innovent dans le domaine de l’insuffisance rénale. La date limite des inscriptions est le 27 juin prochain 2023.

Villgro Africa établit aussi plusieurs partenariats d’innovation en matière de soins de santé. Parmi les collaborateurs actuels de l’incubateur, on peut citer Amref Health Africa, la Strathmore University, mHealth Kenya et PATH, une organisation à but non lucratif.

Melchior Koba

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Silikin Village est un hub d’innovation qui veut joue un rôle majeur dans la croissance de la RD Congo. Il s’engage à construire un écosystème d’entrepreneuriat numérique dans lequel des offres de soutien sont proposées aux partenaires et entrepreneurs locaux et internationaux.  

Silikin Village est un hub d’entrepreneuriat et d’innovation établi au cœur de Kinshasa en République démocratique du Congo. En tant que catalyseur de start-up et d’entreprises, sa mission est axée sur l’identification de talents et le développement de produits et services innovants.

Fondé en 2020 par le groupe Texaf, une société qui opère dans les secteurs immobilier, minier et numérique, Silikin Village, qui veut devenir l’un des plus grands centres entrepreneuriaux d’Afrique, met à la disposition des entrepreneurs des espaces de bureaux, de formations, de réunions et d’événements. Ces espaces de travail collaboratif modernes et équipés permettent de tisser des liens avec des employés d’autres entreprises, y compris des entrepreneurs, des travailleurs freelance et des télétravailleurs.

Dirigé par Raymond Mendy qui en est le directeur général, il propose des formations à court terme axées sur des compétences techniques et managériales. Parmi elles, on peut citer la formation pro No-Code, développée en collaboration avec l’entreprise Le Plan B, qui permet aux apprenants de créer des sites Internet, mono-page et multi-pages, générant des interactions avec la cible.

Silikin Village exécute des programmes d’accompagnement à destination des entrepreneurs de l’idéation à l’accélération. Que ce soit par la structuration de projets, par un support stratégique ou par un soutien de son réseau d’affaires, il apporte aux entrepreneurs le soutien nécessaire au développement de leur projet.

Ainsi, Silikin Village est une plate-forme dédiée à l’apprentissage, à l’entrepreneuriat et à l’innovation réunissant des apprenants, des porteurs de projets, des entrepreneurs, des petites et moyennes entreprises, des grandes entreprises et des partenaires privés et publics intéressés par les solutions d’employabilité.

Le centre collabore avec une multitude de structures soutenant l’innovation en Afrique. Il s’agit, entre autres, de Trace Congo, Kinshasa Digital Academy, Kinshasa Digital, Africa Green Power, Upsail Africa et Ingenious City.

Melchior Koba

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iceaddis est un acteur majeur dans le domaine de l'innovation technologique en Ethiopie. En tant que hub dynamique de l'innovation, il offre un espace de travail collaboratif, des programmes d'incubation et une multitude de ressources pour soutenir les entrepreneurs et les innovateurs du pays.

iceaddis est un centre d'innovation et d'entrepreneuriat basé à Addis-Abeba qui joue un rôle central dans le renforcement de l'écosystème technologique éthiopien. Il a été fondé en 2011 par Markos Lemma, cofondateur et président-directeur général, Florian Manderscheid et Oliver Petzoldt.

Le cœur de son écosystème réside dans son espace de co-working, un environnement ouvert où les entrepreneurs, les développeurs et les créatifs peuvent se réunir, partager leurs idées et collaborer sur des projets communs. Cet espace favorise la création de réseaux solides et stimule l'esprit d'entreprise en offrant un soutien pratique et des opportunités de mentorat.

Outre l'espace de coworking, iceaddis propose des programmes d'incubation pour aider les start-up à transformer leurs idées en entreprises florissantes. Ces programmes offrent un accompagnement personnalisé, un accès à des mentors expérimentés et des opportunités de financement pour aider les entrepreneurs à faire décoller leurs entreprises.

Le programme de démarrage phare du centre est ice 180. Conçu pour permettre aux entrepreneurs à haut potentiel de démarrer leur propre entreprise, il dure 180 jours, soit six mois. Son objectif est de préparer l'investissement dans les start-up grâce à un savoir-faire entrepreneurial, des compétences et un réseau solide.

iceaddis s'engage également à défendre les intérêts des start-up technologiques. En tant que l’un des membres fondateurs de la communauté i4policy, il défend la société innovante et les communautés de start-up auprès des décideurs politiques et des régulateurs.

iceaddis est devenu un carrefour d'activités et d'événements pour les innovateurs et les entrepreneurs. Des conférences, des compétitions et des hackathons sont régulièrement organisés, permettant aux participants de partager leurs connaissances, de développer leurs compétences, d’être récompensé et de favoriser la collaboration.

A ce jour, iceaddis a soutenu plus de 190 entrepreneurs, accéléré 35 start-up et incubé 54 entreprises. Il a organisé plus de 350 événements, bootcamps et hackathons en Ethiopie. Il collabore avec des organisations locales et internationales en tant que conseillers sur des programmes destinés aux jeunes et sur la gestion conjointe de projets dans divers secteurs.

Melchior Koba

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Dans le paysage en plein essor de l’innovation technologique en Afrique, Orange Fab émerge comme un acteur clé dans la promotion et le soutien des start-up du continent. Il s’engage à stimuler l’écosystème entrepreneurial africain en fournissant aux start-up technologiques un accompagnement précieux.

Orange Fab est un réseau d’accélérateurs corporate mis en place par Orange en 2012. Grâce à son vaste réseau de partenaires et à ses solides relations avec les acteurs locaux et internationaux de l’industrie technologique, Orange Fab offre aux start-up africaines une plateforme unique pour développer leurs idées novatrices et propulser leurs entreprises vers de nouveaux sommets.

Les Orange Fabs sont au nombre de 21 à travers 4 continents et plusieurs d’entre eux sont installés en Afrique dans des pays comme le Sénégal, le Mali, la Côte d’Ivoire, le Cameroun et Madagascar. Orange Fab identifie et soutient les start-up qui se concentrent sur des domaines technologiques stratégiques tels que l’intelligence artificielle, l’Internet des objets (IoT), la cybersécurité, les fintechs et bien d’autres.

Les start-up sélectionnées bénéficient d’un accès à des espaces de co-working et à un écosystème complet d’experts, de mentors et de conseillers chevronnés, qui les aident à perfectionner leurs idées, à développer leurs produits et à les commercialiser avec succès. Les étudiants du programme d’accélération d’Orange Fab ont aussi la possibilité d’accéder de façon privilégiée à des événements nationaux et internationaux majeurs sponsorisés par Orange (VivaTech).

L’un des avantages les plus précieux offerts par Orange Fab est la possibilité de collaborer étroitement avec Orange, l’un des principaux opérateurs de télécommunications en Afrique. Cette collaboration permet aux start-up de tirer parti de l’expertise et de l’infrastructure de l’entreprise, ainsi que de bénéficier de la crédibilité et de la portée de son réseau pour accélérer leur développement.

De plus, Orange Fab facilite l’accès des start-up africaines à des sources de financement stratégiques en les mettant en relation avec des investisseurs potentiels. Grâce à des événements tels que des pitchs, des démonstrations et des rencontres avec des investisseurs, les start-up ont la possibilité de présenter leurs projets innovants et de susciter l’intérêt des investisseurs à la recherche de nouvelles opportunités en Afrique.

Melchior Koba

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Il a capitalisé 30 années d’expérience dans la gestion de projets d’infrastructures innovants au sein de plusieurs entreprises de renom. Cependant, depuis quelques années, il fait parler de lui à travers TooShare, un réseau social éducatif conçu pour les élèves, les étudiants et les employés.  

Abdoulaye Mbengue (photo) est un entrepreneur sénégalais diplômé de HEC Montréal où il a obtenu un bachelor en administration des affaires, gestion et fonctionnement en 1992. Il est le fondateur et le président-directeur général de TooShare.

Fondé en 2020 au Sénégal, TooShare est un écosystème éducatif libre et gratuit conçu et développé pour relever les défis de l’éducation et de la formation pour tous en Afrique. Il s’agit d’un modèle d’apprentissage ouvert, dynamique et adapté aux besoins des utilisateurs. Il repose sur des cours gratuits ou à des coûts accessibles afin de participer à l’accélération et à la transformation de l’économie africaine.

TooShare est un système conçu sous forme de réseau social pour permettre à un apprenant ou un employé de créer son propre environnement éducatif avec ses professeurs, ses instituts de formation, ses contacts personnels et professionnels dans lequel il pourra converser, se former et développer ses connaissances et son savoir professionnel et personnel.

« Nous avons l’ambition d’attirer les meilleures écoles et universités du monde et les grandes personnalités du secteur de l’éducation. Le développement de TooShare se fera par ses utilisateurs d’abord, qui alimenteront en permanence le réseau avec des Moocs, cours en live, documents pédagogiques, informations scolaires, etc. Nous sommes sur un modèle qui s’étendra de lui-même en s’auto-alimentant et se construira tout seul. Notre travail est de mettre en place les moyens techniques, l’IA et l’infrastructure adéquate pour y arriver », a déclaré Abdoulaye Mbengue en 2020.

Avant TooShare, Abdoulaye Mbengue a fondé en 2012 AMANI Groupe, une entreprise qui accompagne ses clients dans la conception, le suivi et la concrétisation de leurs projets d’infrastructures et dont il a été le PDG jusqu’en 2022. Sa carrière professionnelle a commencé en 1992 au sein de France Audit Expertise à Paris où il était le responsable chargé du développement et de la gestion des projets en Afrique.

Il a également été chef de projet pour la réalisation de grandes infrastructures au Sénégal, au Gabon, au Congo, en Afrique du Sud et en Ethiopie pour le compte de Bouygues, de Total et de plusieurs Etats.

Melchior Koba

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Depuis la pandémie de la Covid-19, les edtech se sont multipliées sur le continent. Au Tchad, un analyste programmeur et développeur d’applications a décidé de mettre en place une solution pour faciliter les formations en ligne.

Genoskul est une solution d’edtech développée par une jeune pousse tchadienne. Elle permet aux utilisateurs d’accéder à divers formations à distance, de recourir à des répétiteurs ou encore d’obtenir des réponses plus ou moins pertinentes de son assistant intelligent depuis sa plateforme web. La start-up a été fondée en 2020 par Valery Kagro. Elle a pour but de démocratiser l’éducation et de permettre à chaque individu d’accéder à des formations sans aucune autre contrainte.

La solution dispose d’une application mobile accessible uniquement sur Android. Après téléchargement, il est indispensable de s’enregistrer avant d’avoir accès aux divers services. Cette étape est plutôt aisée puisqu’avec Genoskul, il faut juste une adresse mail ou un numéro de téléphone pour effectuer l’enregistrement. L’utilisateur peut accéder à des salles virtuelles où il peut discuter avec d’autres apprenants de l’edtech.

« Les salles virtuelles interconnectent les apprenants de différents horizons pour un brassage intellectuel ; elles sont supervisées par des enseignants qualifiés pour la préparation efficaces aux examens et concours nationaux et internationaux du secondaire et du supérieur », indique la start-up.

En ce qui concerne les formations, Genoskul propose aussi bien des cours en fabrication de chaussures en pagne, en transformation de karité ou encore en élevage de lapins que des cours en gestion publique ou en développement durable et action citoyenne. Selon Valery Kagro, tout le monde devrait pouvoir accéder à l’éducation et aux formations de son choix, peu importe son âge ou le type de formation auquel il aspire.

Pour soutenir sa croissance, Genoskul a réalisé des collectes de fonds à hauteur de 5 millions FCFA (environ 8 149 $). Elle bénéficie également de l’accompagnement de Chad Innovation, un incubateur qui a permis à la jeune pousse de disposer d’un stand lors du Gitex Africa 2023 à Marrakech, au Maroc.

Valery Kagro a des rêves d’expansion. « Notre plateforme est utilisée par plus de 17 000 utilisateurs dans plusieurs pays d’Afrique francophone. Nous sommes en train de vouloir intégrer la version anglaise et arabe pour nous étendre dans d’autres pays du continent », déclare-t-il à We Are Tech Africa.

Adoni Conrad Quenum

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Au-delà des événements, des keynotes ou encore des expositions de solutions tech dans les stands, le Gitex Africa a permis à plusieurs entités de conclure des accords de partenariat.

Hicham El Habti, le président de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), et Safia Faraj, la directrice générale d’Atos, une entreprise française spécialisée dans la transformation digitale, ont signé le mercredi 31 mai une convention de collaboration lors du Gitex Africa à Marrakech. L’objectif de cet accord est de renforcer la collaboration dans les domaines de la recherche, de l’innovation et de l’éducation et de soutenir le développement des talents au Maroc et en Afrique en matière de développement digital.

« Les deux institutions collaboreront sur des projets de recherche et de développement, ainsi que sur l’organisation de conférences ou de séminaires scientifiques, ou le partage de ressources matérielles et humaines […] Atos proposera des événements, des portes-ouvertes ainsi que des formations aux étudiants de l’UM6P. Des offres de stage et de recrutement leur seront également présentées. De même, les collaborateurs Atos seront accueillis au sein de l’UM6P pour des formations en ingénierie et en management », peut-on lire dans le communiqué paru le 1er juin.

L’université marocaine multiplie les partenariats pour s’imposer comme une référence dans les domaines ayant trait à la transformation numérique. Avec son incubateur Stargate, l’institution facilite l’éclosion des start-up dans le royaume et grâce à ce partenariat avec Atos, le secteur technologique marocain pourrait faire face aux besoins et aux enjeux des emplois et de compétences.

Quant à Atos, elle est un acteur actif de la digitalisation sur le continent. Lors du Gitex Africa, elle s’est alliée au gouvernement togolais dans le but de réaliser le système d’identification électronique du pays ouest-africain.

Adoni Conrad Quenum

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AfriLabs est une organisation qui promeut la collaboration, le partage de connaissances et la création de partenariats au sein de l’écosystème technologique africain. Elle a formé l’un des plus grands réseaux de centres d’innovation sur le continent.

AfriLabs est une organisation fondée en 2011 dans le but de soutenir les pôles technologiques africains en fournissant des financements, des mentors, des opportunités de mise en réseau et toutes autres ressources de renforcement des capacités pour les entrepreneurs à fort potentiel. Dirigée par Anna Ekeledo, directrice exécutive, elle dispose d’un réseau de 419 centres d’innovation dans 52 pays africains.

Ainsi, AfriLabs offre des services de renforcement de capacités pour les entrepreneurs, soutient la recherche et organise des événements et programmes, entre autres. Elle fournit également des espaces physiques de coworking et des bureaux aux entrepreneurs. Parmi les programmes organisés par AfriLabs, on peut citer Catalytic Africa qui est une initiative lancée, en collaboration avec African Business Angels Network (ABAN), dans le but de renforcer les entrepreneurs, les start-up, les hubs et les investisseurs providentiels.

AfriLabs a également soutenu plusieurs initiatives comme le programme Global EdTech Hub, dont elle est une partenaire régionale. Financé par Foreign Commonwealth and Development Office, la Banque mondiale et la fondation Bill & Melinda Gate, ce programme cherche à améliorer les technologies de l’éducation dans les pays en développement.

Chaque année, AfriLabs organise un rassemblement, appelé AfriLabs Annual Gathering, où les dirigeants de centres d’innovation et des créateurs d’écosystèmes sur le continent se réunissent. Cette convention annuelle permet à tous les acteurs de la communauté de l’innovation d’apprendre davantage sur les différentes perspectives que présentent les secteurs d’activités représentés à l’événement. Cette année le rassemblement aura lieu à Kigali du 11 au 13 octobre.

Les partenaires d’AfriLabs sont nombreux. Entre autres, il s’agit de Facebook, Mozilla, GIZ, l’Agence française de développement, IBM, AfriHive, la Banque mondiale, la fondation Rockefeller, TechCabal, Google, la fondation Ford, InfoDev et Intel.

Melchior Koba

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MEST Africa forme, soutient, et finance les entrepreneurs technologiques africains

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Douze start-up africaines ont été selectionnées pour présenter leurs projets d'investissement à l'Africa Tech Summit London, qui se tiendra le 23 juin à la Bourse de Londres.

Devant un public d'investisseurs africains spécialisés dans la technologie, les entreprises recevront une formation qualifiée, des contacts, des parrainages et auront l'occasion d'apprendre de différents experts du secteur.

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MEST Africa, plus qu’une école ou un incubateur, est une grande communauté qui catalyse l’entrepreneuriat technologique en Afrique. Elle s’engage en faveur de l’innovation afin de construire un avenir technologique prometteur pour le continent.

L’écosystème de l’entrepreneuriat technologique en Afrique est en pleine expansion. Dans ce paysage, l’organisation à but non lucratif MEST, Meltwater Entrepreneurial School of Technology, se démarque. Fondée en 2008 par Jorn Lyseggen, le fondateur de la fondation Meltwater, elle forme et soutient les entrepreneurs en technologie les plus prometteurs du continent africain, ouvrant ainsi de nouvelles voies pour l’innovation et la croissance économique.

Basé à Accra avec des centres à Lagos, Cape Town et Nairobi, MEST Africa est un programme de formation des entrepreneurs technologiques à l’échelle de l’Afrique, un fonds d’amorçage interne et un réseau de centres d’incubation pour les jeunes entreprises technologiques en Afrique. Il offre aux entrepreneurs technologiques africains une formation aux compétences technologiques, un financement et un soutien en matière de développement de logiciels, d’affaires et de communications.

Le programme de formation de MEST Africa, qui dure un an, est conçu pour créer une expérience d’apprentissage pratique et immersive. Les étudiants sont exposés à une combinaison équilibrée de cours théoriques, de projets pratiques et de stages en entreprise. Les membres de MEST Africa ont un accès à un réseau mondial composé d’experts en vente, en ingénierie, en marketing et plus encore.

En tant qu’incubateur, MEST Africa soutient les diplômés qui ont réussi à convaincre son conseil d’administration dans la création et la croissance de leurs propres start-up technologiques. Ces diplômés bénéficient d’un financement initial, d’un espace de travail collaboratif et de mentors expérimentés qui les guident tout au long de leur parcours entrepreneurial. La prochaine cohorte du programme de formation de MEST Africa, constituée de 60 étudiants comme à l’accoutumée, débutera en août 2023.

De plus, MEST Africa organise régulièrement, en collaboration avec ses partenaires (GIZ, Amazon Web Services, Microsoft, Samsung, Mastercard et Impact Lab, entre autres), des événements, des conférences et des ateliers pour favoriser la collaboration, le partage des connaissances et les opportunités de réseautage entre les entrepreneurs, les investisseurs et les professionnels de l’industrie.

L’émission Edtech Monday est un exemple d’initiative de MEST Africa. Elle se tient les lundis et est diffusée à la radio CITI FM, au Ghana, et en live sur Facebook.

L’impact de MEST Africa sur l’écosystème technologique africain est indéniable. Depuis sa création, l’organisation a formé plus de 1 000 entrepreneurs technologiques et financé plus de 80 entreprises, contribuant ainsi à la création de plus de 750 emplois et à la stimulation de l’innovation en Afrique. Son portfolio d’entreprises soutenues est composé de start-up travaillant dans des secteurs tels que le commerce électronique, l’agritech, la fintech, la technologie de la santé, l’edtech, l’IA, etc.

Melchior Koba

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