Entrepreneur, il redéfinit la manière dont les Africains accèdent à des services juridiques de qualité en développant des solutions numériques innovantes pour répondre aux besoins du secteur.

Daniel Bobasha (photo) est un entrepreneur, un écrivain et un banquier originaire de la République démocratique du Congo. Après des études en droit public international à l’université protestante du Congo, il a fondé la start-up legaltech Mibeko Tech, dont il est le président-directeur général.

Mibeko Tech est une start-up qui conçoit et développe des solutions numériques pour répondre aux besoins du secteur juridique en Afrique. L’entreprise est aussi un hub et un think tank qui vise à développer le secteur des legaltech en Afrique. Elle dispose d’une application qui connecte les Congolais à 135 avocats qualifiés.

De plus, la start-up propose des cours en ligne sur plusieurs sujets comme la conception d’une veille juridique et les enjeux juridiques de l’innovation. L’entreprise vend également plusieurs documents juridiques. A ce jour, plus de 28 documents juridiques ont déjà été achetés via sa plateforme.

Mibeko Tech a lancé d’autres initiatives, dont #FundaYe qui vise à prévenir et lutter contre le harcèlement sexuel et les violences basées sur le genre. Une plateforme a été mise en place par la start-up pour aider les femmes. Elle leur permet d’apprendre leurs droits et comment les exercer, d’entrer en contact avec des organisations qui les soutiennent et de générer facilement une plainte.

Daniel Bobasha est un banquier de la Trust Merchant Bank depuis janvier 2024. Avant d’occuper ce poste, il a travaillé en tant que responsable des produits digitaux bancaires d'EquityBCDC qui fait partie du Groupe Equity, un groupe bancaire kényan basé à Nairobi et présent dans 10 pays africains, dont la RD Congo.

Melchior Koba

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Au sein d’un environnement entrepreneurial en constante évolution, l’incubateur d’entreprises tanzanien Dar Teknohama Business Incubator se distingue par son engagement à soutenir et à promouvoir les initiatives technologiques les plus prometteuses.

Etabli en 2011 par la Commission tanzanienne pour la science et la technologie (COSTECH) en partenariat avec InfoDev, un programme de la Banque mondiale dédié aux économies en développement, Dar Teknohama Business Incubator (DTBi) est un incubateur de start-up technologiques. Sous la direction de George Mulamula, président-directeur général, DTBi s’efforce de soutenir les entrepreneurs et d’encourager l’innovation dans le pays.

DTBi s’engage à stimuler la croissance des entreprises émergentes dans le domaine des technologies de l’information et de la communication, ainsi que des start-up et des individus porteurs d’idées novatrices, afin de favoriser la création d’emplois et de renforcer l’économie nationale. Cherchant à devenir le pivot central pour les start-up technologiques, il identifie et fournit activement les services à valeur ajoutée nécessaires à la réussite de ses clients, contribuant ainsi à leur développement et à leur succès sur le marché.

L’incubateur offre une gamme complète de services de développement d’entreprise pour soutenir les start-up TIC en phase de démarrage, visant à accroître leurs chances de survie sur le marché. Ces services comprennent l’accès à des ressources partagées, une assistance dans l’obtention de financements et l’accès aux marchés, ainsi qu’un soutien crédible, des conseils stratégiques et une gestion d’entreprise avisée. De plus, l’incubateur promeut la création de réseaux professionnels pour suivre les tendances techniques et saisir les opportunités d’accès aux marchés, offrant ainsi un environnement propice à la croissance et à la réussite des entreprises.

DTBi offre des espaces de travail et de coworking pour favoriser la collaboration. Il a mis en place des programmes de formation et de gestion financière. Soutenu par les opérateurs télécoms Tigo, Airtel et l’Autorité de régulation des communications de Tanzanie (TCRA), entre autres, il totalise plus de 38 innovations et 33 incubations. L’incubateur a déjà créé plus de 659 emplois directs et plus de 17 000 emplois indirects.

Melchior Koba

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Fate Foundation a lancé, en partenariat avec Orange Corners Nigeria et le royaume des Pays-Bas, les candidatures pour la dixième cohorte de son programme d’incubation. Dispensé en physique et à distance, le programme durera six mois et comprend des sessions de renforcement des capacités, des services de conseil et de mentorat, des visites d'entreprises et des événements de mise en réseau. La date limite pour postuler est le 18 février. Cliquez sur ce lien pour en apprendre davantage.

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l'accélérateur Accelerate Africa a lancé un appel à candidatures pour la deuxième cohorte de son programme destiné aux fondateurs de jeunes pousses sur le continent. Les lauréats bénéficieront d'un coaching de la part de deux fondateurs d'entreprise d'Afrique, d'un accès à un réseau de plus de 75 investisseurs lors de la journée de démonstration. La date butoir pour postuler est le 16 février. Cliquez sur ce lien pour accéder au formulaire d'inscription.

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La pandémie de Covid-19 a rendu urgente l'adoption de l'enseignement numérique par les écoles, exigeant l'intégration de technologies et des méthodes pédagogiques modernes. L’objectif est de préparer les élèves aux défis actuels et futurs d'une société numérique en constante évolution.

LafargeHolcim, une entreprise multinationale suisse spécialisée dans la fabrication de matériaux de construction au Maroc, a présenté le vendredi 9 février son initiative les « Classes connectées », une réponse proactive à la problématique de l'abandon scolaire dans le pays.

Cette initiative vise à promouvoir l'éducation de proximité et à offrir un accès aux nouvelles technologies, permettant aux élèves de bénéficier d'une variété de ressources éducatives en ligne, comme l'indique LafargeHolcim dans un communiqué.

« Nous sommes ainsi investis dans différents projets permettant de soutenir l’éducation des jeunes générations et enfants des communautés riveraines proches de nos sites, avec une attention particulière à toutes les actions permettant d’éviter l’abandon scolaire », a déclaré Zineb Bennouna, directrice communication et RSE de LafargeHolcim Maroc.

Le nouveau programme s'étalera sur trois ans et concernera toutes les écoles proches des différents sites de LafargeHolcim. Lancée depuis le début de l'année 2023 dans plusieurs villes du royaume, notamment Meknès, Tanger, Tétouan, Oujda, Agadir, Laâyoune et Casablanca, cette initiative permettra dans un premier temps à 26 écoles et 13 000 élèves de bénéficier de matériels informatiques de qualité, comprenant des ordinateurs fixes et portables, des tableaux interactifs, des imprimantes, des rétroprojecteurs et une connexion WiFi.

Ce projet s'intègre dans le cadre du programme de responsabilité sociale « N'Bniouw l'7ayat » de LafargeHolcim Maroc, qui aspire à établir un environnement éducatif inclusif et propice à la rétention des enfants des communautés locales, renforçant ainsi la lutte contre l'abandon scolaire. En complément des initiatives gouvernementales visant à numériser les services éducatifs et à améliorer la qualité du système éducatif, ce programme privé ambitionne d'offrir une contribution significative à l'éducation des jeunes générations, en mettant l'accent sur l'égalité des chances et l'accessibilité à l'apprentissage.

Samira Njoya

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A la tête de Niajiri Platform Ltd., elle révolutionne le recrutement en fournissant aux employeurs un accès sans précédent aux talents les plus brillants de l’industrie grâce à une technologie innovante.

Lillian Secelela Madeje (photo) est une entrepreneure en série tanzanienne au service de la communauté mondiale. Elle est la fondatrice et la responsable du développement des affaires de l’entreprise jobtech et de technologie éducative Niajiri Platform Ltd.

Fondée en 2018, Niajiri Platform est « une plateforme technologique de développement de la main-d’œuvre qui utilise l’apprentissage automatique et l’analyse des données pour permettre aux talents d’acquérir des compétences d’employabilité », peut-on lire sur la page LinkedIn de l’entreprise. Elle offre l’accès à des cours, des outils, des ressources et des opportunités, tout en donnant aux employeurs un outil leur permettant de trouver facilement les meilleurs talents liés à leur secteur.

Hormis Niajiri Platform, Lillian Secelela Madeje est un membre fondateur du conseil d’administration de Tanzania Startup. Cette dernière est une organisation qui regroupe les parties prenantes de l’écosystème des start-up, en particulier les entreprises en phase de démarrage, les petites et moyennes entreprises, les centres d’innovation, les entreprises sociales, les sociétés de capital-risque et les fonds de capital-investissement en Tanzanie.

Elle est aussi membre du conseil d’administration et la directrice non exécutive de Jumo Tanzania. Jumo est une société de technologie financière qui s’associe à des banques, des opérateurs de réseau mobile et d’autres acteurs du commerce électronique pour offrir des choix financiers aux clients des marchés émergents d’Afrique et d’Asie.

De plus, Lillian Secelela Madeje est la directrice générale d’Ekihya, une société de conseil en stratégie et en gestion qui propose aux organisations tanzaniennes des solutions commerciales sur mesure afin de promouvoir l’efficacité et l’efficience de leurs activités quotidiennes.

L’entrepreneure est titulaire d’un master en administration des affaires obtenu en 2018 à l’African Leadership University, School of Business.

Lauréate du Marlowe Sherwood Memorial Award 2019 décerné par Park University (USA), Lillian Secelela Madeje a travaillé à Dairy Farmers of America successivement en tant que stagiaire en droit et administration et spécialiste du service à la clientèle entre 2003 et 2011. Elle a également travaillé sur des projets de recherche qualitative autour de l’inclusion financière avec IDEO.org entre 2016 et 2018.

Melchior Koba

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Avec ses 5 incubateurs stratégiquement répartis à travers le Sénégal et la Gambie, Teranga Tech Incub offre, en plus d’un espace de travail équipé, des programmes et des événements pour stimuler l’innovation et accompagner les jeunes entrepreneurs dans leur voyage vers le succès.

Teranga Tech Incub est un réseau d’incubateurs créé par l’ambassade de France au Sénégal et en Gambie. Composé de cinq incubateurs répartis sur l’ensemble des deux pays, il les accompagne dans leur ambition de promouvoir et d’accompagner l’entrepreneuriat, en particulier dans le secteur du numérique, chez les jeunes.

Le réseau, à travers ses cinq incubateurs implantés à Dakar, Saint-Louis, Kaolack Ziguinchor et Banjul, propose deux principales activités. La première est un programme d’accompagnement de six mois conçu pour aider les entrepreneurs à structurer leur projet. Chaque année, grâce aux deux cohortes organisées par chaque incubateur, environ 70 projets entrepreneuriaux sont accompagnés.

La deuxième activité est l’organisation d’événements pour la promotion de l’innovation et de l’entrepreneuriat pour tous. Le réseau accueille aussi différents événements ou programmes d’accompagnement portés par d’autres structures ne disposant pas d’implantation sur le territoire sénégalo-gambien.

Teranga Tech Incub propose aussi, dans chacun de ses incubateurs, un espace équipé et connecté et des espaces propices à la création et aux échanges. Il mobilise un réseau d’experts locaux et internationaux afin de renforcer l’écosystème. Il organise des sessions de sensibilisation au parcours entrepreneurial, des événements mobilisant des experts sur l’économie bleue, l’agritech et l’audiovisuel, entre autres.

Parmi les entreprises accompagnées par le réseau, on peut citer Boutique Sénégal, une plateforme regroupant les boutiques faisant de la vente en ligne, Kucibok qui est spécialisée dans le secteur du Web3 en Afrique, et O’Connect, une entreprise qui développe des solutions technologiques pour la sécurité maritime.

Le réseau a noué plusieurs partenariats pour mener à bien sa mission. Entre autres, ses partenaires sont Polaris Asso, Concree, Jokkolabs et Simplon.

Melchior Koba

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En fusionnant les mondes de l’industrie et de l’académie, cet incubateur dynamique propulse la recherche, l’apprentissage pratique et l’entrepreneuriat vers de nouveaux sommets.

AUC Innovation Hub (AUC iHub), une initiative de l’université américaine du Caire (AUC), connecte l’industrie au monde universitaire pour catalyser l’innovation. Il favorise les collaborations industrielles, la recherche interdisciplinaire et l’apprentissage pratique, créant ainsi un écosystème dynamique propice à l’émergence de nouvelles idées et technologies.

L’iHub offre aux partenaires industriels un accès privilégié aux perspectives novatrices des membres du corps professoral et aux jeunes talents les plus prometteurs de l’AUC. Dans ce cadre collaboratif, les industriels peuvent façonner et exploiter la recherche universitaire pour développer et valider des produits et des services, ouvrant ainsi de nouvelles voies vers l’innovation.

A travers des stages et des projets en classe, les étudiants les plus créatifs et entreprenants de l’AUC interagissent avec les pionniers de l’industrie, se confrontant ainsi aux défis concrets des entreprises.

Par le biais de collaborations entre le monde universitaire et l’industrie, les enseignants transforment les fruits de la recherche en innovations commercialisables et en nouvelles technologies. Cela répond non seulement aux besoins, mais aussi aux désirs changeants de la nouvelle génération de consommateurs à travers le globe.

Les anciens étudiants de l’AUC désireux de faire éclore leur entreprise créative bénéficient d’un accès prioritaire en tant que membres de l’iHub. Cela leur ouvre les portes vers un réseau varié d’entreprises internationales, de start-up, d’enseignants chevronnés de l’AUC, et un réservoir foisonnant de talents parmi les étudiants, offrant ainsi un terreau fertile pour la croissance et l’innovation.

AUC iHub organise aussi des séries d’événements collaboratifs comme Innovation in Action, dont la prochaine conférence aura lieu le mercredi 14 février 2024. La conférence accueillera Sally Asaad, une figure de la fintech Balad.

AUC Innovation Hub a lancé aussi plusieurs autres initiatives comme le Design Thinking Challenge, en partenariat avec Mountain View et le Center for Learning and Teaching. Il est aussi l’initiateur d'Innovation Sprint, un défi pour les entrepreneurs lancé en partenariat avec Wuzzuf, un site de recrutement en ligne d’Egypte, et Klickit, une plateforme de gestion des paiements et de recouvrement numérique.

Melchior Koba

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Botlhale Village, un centre technologique situé en Afrique du Sud, se positionne comme un moteur d’innovation et de progrès dans le domaine des technologies de l’information et de la communication.

Botlhale Village est un lieu de création et de partage de connaissances créé par Belgium Campus pour faire progresser les technologies de l’information et de la communication et l’innovation en Afrique du Sud. Son but est de renforcer les communautés grâce à la technologie.

Le centre est aussi un incubateur où les étudiants chercheurs s’engagent avec des entreprises en phase de démarrage. Les projets qui sortent du centre conduisent à la création de nouvelles start-up qui ajoutent de la valeur aux connaissances acquises et aux systèmes développés.

Botlhale Village propose plusieurs services. Il fournit des services de développement de logiciels personnalisés aux clients qui recherchent des solutions sur mesure pour répondre à leurs besoins professionnels. Il propose aussi un programme de stage qui offre, aux entreprises d’Afrique du Sud, un assistant spécialisé qui les aide à répondre à leurs exigences.

L’incubateur du centre offre un soutien, un mentorat et des ressources aux entreprises en phase de démarrage. Il met aussi à la disposition des jeunes entrepreneurs des bureaux, un accès aux possibilités de financement, une aide à la planification d’entreprise, des événements de réseautage et des contacts avec des clients ou des investisseurs potentiels.

Les étudiants de Botlhale Village s’engagent aussi dans l’organisation de conférences dynamiques dans le but de promouvoir leurs succès académiques et leurs projets de développement novateurs. Ces rassemblements attirent un large éventail de participants, notamment des universitaires, des représentants du monde des affaires et de l’industrie, des responsables gouvernementaux et des bénéficiaires potentiels.

En outre, ces conférences fournissent une plateforme collaborative où les idées sont échangées, les collaborations sont forgées et les opportunités de croissance et de partenariat sont explorées pour le bénéfice mutuel de tous les intervenants.

Hormis Belgium Campus, Botlhale Village bénéficie du soutien de plusieurs autres institutions et entreprises. Entre autres, il s’agit de Ericsson, Altron Healthtech, Vodacom et Cape Town Creative Academy.

Melchior Koba

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Ingénieur électrique de formation, l’entrepreneur conçoit et développe des solutions technologiques à fort impact social. Il a fondé une entreprise de technologie éducative qui fournit à ses clients le soutien et les compétences nécessaires pour s’affirmer sur le marché de l’emploi.

Allan Mushabe est un entrepreneur passionné par le développement de solutions et de services à fort impact social. Originaire d’Ouganda et vivant en Afrique du Sud, il est le fondateur et le président-directeur général de Lightbulb EdTech, une start-up de technologie éducative.

Fondée en 2015 et basée en Afrique du Sud, Lightbulb EdTech a pour objectif de rendre ses clients autonomes en leur fournissant le soutien et les compétences dont ils ont besoin pour garantir des opportunités d’emploi durables. Ces clients sont des entités corporatives qui cherchent à former leur personnel, ainsi que des écoles et universités qui répondent aux besoins de leur apprenant.

Lightbulb EdTech est un système et un service de gestion de l'apprentissage géré, personnalisé, mobile et basé sur le cloud qui vise à fournir aux utilisateurs un accès en ligne à des experts et à leurs ressources. Elle conçoit et gère des environnements d’apprentissage virtuel personnalisés et engageants dans le but de combler le fossé entre ses utilisateurs et l’emploi durable. Aujourd’hui, la plateforme edtech compte plus de 30 000 utilisateurs actifs.

Allan Mushabe est aussi, depuis 2012, le directeur de Vargatex, une entreprise qui développe et gère le déploiement de solutions clés en main en matière de technologies de l'information et de la communication (TIC) pour les entreprises et établissements d'enseignement. Entre autres, ces services sont le développement de logiciels, l'optimisation des processus d'entreprise et l'approvisionnement, la configuration et le déploiement de matériel TIC.

Titulaire d’un master en ingénierie électrique obtenu en 2009 à l’université du Cap, l’entrepreneur a commencé sa carrière professionnelle à Telkom où il était développeur de produits techniques. En 2011, il a rejoint Internet Solutions et y a occupé le poste de consultant en développement commercial.

Melchior Koba

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