Le gouvernement du Kenya multiplie les initiatives pour accélérer et concrétiser la transformation numérique du pays. Pour atteindre ses objectifs, l’exécutif compte sur le soutien des partenaires internationaux. 

Le ministère kényan des TIC et de l'Economie numérique et le Korea Trade Centre, la branche commerciale du gouvernement coréen, ont signé, le lundi 29 mai à Nairobi, un protocole d’accord visant à établir un plan directeur de ville intelligente qui guidera au développement des cinq villes numériques sélectionnées par le président de la République William Ruto, à savoir Lamu, Dongo Kundu, Athi River, Sagana et Naivasha.

L’accord prévoit également la mise en place d'un système de mobilité intelligente englobant un réseau de transport intelligent qui utilisera des permis de conduire intelligents. 

Selon John Tanui, le secrétaire principal des TIC, le partenariat s’inscrit dans le cadre des stratégies mises sur pied par le gouvernement visant à créer un environnement propice à l'innovation et aux technologies émergentes. « Le gouvernement a créé un environnement favorable par le biais de divers cadres juridiques et réglementaires pour stimuler l'économie numérique du Kenya, tels que la politique nationale en matière de TIC, le schéma directeur de l'économie numérique et le plan directeur national en matière de TIC (2022-2032), entre autres interventions politiques », a déclaré John Tanui.

En effet, à son accession au pouvoir en septembre 2022, William Ruto a affiché son ambition de mettre la technologie numérique au service du développement socio-économique du Kenya. A cet effet, il a notamment prévu divers investissements ayant pour objectif de faire du pays une référence en matière de transformation numérique en Afrique d’ici 2027. Les investissements numériques porteurs de cette vision ont été estimés à 40 milliards de shillings (334 millions $).

Le projet de villes intelligentes devrait non seulement améliorer la qualité de vie des citoyens, mais constituer également un terrain fertile pour la croissance économique et la création d'emplois. Il permettra d’offrir des solutions au pays en réduisant les défis énergétiques par la mise en place, entre autres, de l'Internet des objets (IoT) pour renforcer les écosystèmes et améliorer les nouvelles technologies.

Samira Njoya

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Pour se développer et rivaliser avec leurs homologues à travers le monde, les entreprises africaines ont besoin d’une connectivité stable avec une faible latence et d’outils numériques pour optimiser leurs activités. Des projets sont mis en œuvre en Afrique pour relever ce défi.

Liquid Dataport, une filiale de Liquid Intelligent Technologies spécialisée dans la connectivité internationale de gros, a annoncé le mercredi 31 mai le lancement de sa nouvelle route en fibre optique reliant Mombasa, au Kenya, à Muanda en République démocratique du Congo (RDC) en passant par l'Ouganda et le Rwanda.

Selon le communiqué de Liquid Dataport, il s'agit de l'itinéraire le plus court entre l'Afrique de l'Est et l'Afrique de l'Ouest, qui permettra de réduire de 20 millisecondes le temps de latence des transmissions de données.

« Nous avons un nombre important de clients grossistes, entreprises et hyperscale le long de cette route, et nous les soutenons pleinement dans l'exploitation de leurs réseaux mondiaux. La disponibilité de notre dernière et plus courte route Est-Ouest apporte de nombreux avantages économiques et sociaux avérés, de l'accès aux ressources éducatives en ligne à la création d'emplois et à l'adoption de nouvelles technologies », a déclaré David Eurin, PDG de Liquid Dataport.

Cette dernière route de fibre optique complète la réalisation précédente de Liquid, réalisé en 2019, reliant Dar es Salaam à Muanda sur la côte ouest de la RDC via la Zambie. Elle apportera une connectivité à large bande plus fiable et plus abordable à plus de 40 millions de personnes qui vivent et travaillent dans toutes les grandes villes situées le long de l'itinéraire.

Ce partenariat s’inscrit dans le cadre de l’initiative « One Broadband Africa » de Liquid Intelligent Technologies. La société poursuit sa stratégie de conquête du marché africain et mondial de la connectivité à haut débit et des services numériques. Au cours des derniers mois, elle a renforcé sa présence en Afrique en s’étendant au Nigeria, en Egypte, en Algérie. Elle a signé, le jeudi 25 mai, un accord avec le fournisseur de services télécoms par satellite Viasat visant à fournir des services de connectivité Internet à haut débit en Afrique de l’Ouest.

A en croire Hardy Pemhiwa, le PDG de Liquid Intelligent Technologies, cet axe est-ouest permettra de favoriser l’inclusion numérique en amenant le trafic mondial sur le continent, mais également en réduisant les coûts de l’accès à l’Internet haut débit en Afrique. 

Samira Njoya

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Le 13 janvier 2022, le système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS) a officiellement été lancé en Afrique de l’Ouest. Malgré les avantages impressionnants qu’elle offre, cette solution innovante est peu adoptée jusqu’ici.

L’adoption généralisée du système panafricain de paiement et de règlement (PAPSS) est à la traîne. Le lundi 29 mai à Nairobi, à l’occasion du dialogue du secteur privé africain sur la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf), le président de la République du Kenya, William Ruto (photo), a appelé ses pairs en Afrique à mobiliser les banques centrales et commerciales en vue de leur adhésion au PAPSS.

« Il est également impératif que nous cherchions proactivement à résoudre les disparités entre les monnaies et les obstacles qui en découlent pour le commerce intra-africain. Le commerce ne peut avoir lieu sans systèmes de paiement efficaces et unifiés », a déclaré William Ruto.

« Un mécanisme a été mis en place pour permettre à tous nos commerçants d'effectuer des transactions dans la monnaie locale et nous laissons à l'Afreximbank le soin de régler tous les paiements. Nous n'avons pas besoin de chercher des dollars ; nos hommes d'affaires se concentreront sur la circulation des biens et des services et laisseront la tâche ardue des devises à l'Afreximbank » a-t-il ajouté.

C’est en janvier 2022 que le PAPSS a été lancé, un an après l’opérationnalisation de la Zlecaf.  L’objectif est de relier les marchés africains les uns aux autres, permettant ainsi des paiements transfrontaliers instantanés dans les pays respectifs en monnaies africaines locales, qu’il s’agisse des achats, de transfert d’argent, de paiement de salaires, de négociation d’actions et parts ou d’effectuer des transactions commerciales de grande valeur.  Le PAPSS devrait permettre à l'Afrique d'économiser 5 milliards par an en coûts de transaction de paiement, selon le président du Ghana, Nana Akufo-Addo.

Pour William Ruto, il est donc urgent de prendre les premières mesures pour se débarrasser du dollar américain et se mobiliser pour l’adoption du PAPSS. Rappelons qu’à ce jour, le réseau PAPSS comprend neuf banques centrales, 40 banques commerciales et quatre commutateurs.

Samira Njoya

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L’Egypte ambitionne de numériser l’ensemble des services administratifs et favoriser l’accès à Internet dans tout le pays. Pour réaliser ces objectifs, le gouvernement travaille avec plusieurs partenaires parmi lesquels la coopération allemande.

Le ministère des Communications et des Technologies de l'information (MCTI) a annoncé, le mercredi 31 mai, la signature d’un protocole de coopération avec l’Agence allemande pour la coopération internationale (GIZ) visant à mettre en œuvre la première phase du projet « Supporting e-Government and Innovation in the Public Administration (InnoPA) ».

Dans le cadre de cet accord, la GIZ soutiendra l'innovation dans la transformation numérique et la promotion de l'e-gouvernement en Egypte. L’accord inclut également la construction d'un laboratoire d'innovation dans le domaine des applications gouvernementales visant à établir un incubateur pour les entreprises émergentes, les petites et moyennes, qui souhaitent créer de nouvelles applications, afin de fournir des services gouvernementaux d'une manière accessible aux citoyens. 

Selon le Amr Talaat, le ministre des Communications et des Technologies de l’information, la signature de ce protocole s’inscrit dans le cadre de la « stratégie numérique de l'Egypte et les efforts déployés pour promouvoir les transactions numériques dans tous les aspects de la vie, et pour parvenir à la transformation du gouvernement numérique participatif sans papier qui s'appuie sur une infrastructure solide et sécurisée ».

En effet ces dix dernières années, le gouvernement égyptien n’a cessé de conjuguer des efforts pour développer son administration. Grâce aux réformes et aux projets phares de la stratégie numérique, l’Egypte a fait un bond de 37 places entre 2003 et 2022 dans le classement mondial des Etats qui placent le numérique au cœur de leur gouvernance. L' Egypte est aujourd’hui le 6e pays africain fournissant des services publics en ligne, selon un sous-indicateur de l’indice onusien de développement de l’e-gouvernement (EGDI).

Selon Amr Talaat, cet accord constitue un nouveau bond en avant pour l'Egypte numérique et dans la coopération constructive entre les gouvernements allemand et égyptien.

Samira Njoya

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Le gouvernement provincial du Gauteng milite pour le bien-être et la sécurité de sa population. Pour y parvenir, l’exécutif s’est tourné vers le numérique qui offre des technologies adéquates dans ce sens.

Le ministère de l'Administration électronique de Gauteng a présenté le jeudi 25 mai le budget 2023/2024, ainsi que les projets numériques prévus par le ministère de la Gouvernance coopérative et des Affaires traditionnelles de la province (COGTA).

Selon Mzi Khumalo (photo, au centre), membre du conseil exécutif pour l'e-gouvernement, la recherche et le développement de Gauteng, des projets TIC clés, notamment l'établissement d'une stratégie efficace de police en ligne pour la province, sont des priorités dans le budget alloué au département, qui s'élève à plus de 1,7 milliard de rands (86 millions $).

« Parmi d'autres projets, le département a cherché à donner la priorité à l'acquisition et à la gestion des technologies de lutte contre la criminalité afin de mettre en place une police en ligne pour la province de Gauteng », a déclaré M. Mzi Khumalo.

Ainsi, la somme allouée a déjà permis à la province du Gauteng d’acquérir des caméras de télévision en circuit fermé à reconnaissance faciale à Diepsloot, l'une des zones identifiées comme étant des points chauds de criminalité. L’objectif, selon Panyaza Lesufi, le Premier ministre de Gauteng, est de permettre à la police de surveiller la zone 24 heures sur 24 et de mettre en évidence les capacités des caméras de surveillance CCTV à produire des données qui peuvent être utilisées dans la lutte contre la criminalité.

D’autres projets seront également mis en œuvre, notamment l’acquisition d’une technologie de suivi pour surveiller les véhicules, les armes à feu et d'autres biens utilisés dans la lutte contre la criminalité, la fabrications de boutons de panique électroniques permettant à la population de contacter rapidement les services d'urgence lorsqu'ils sont en détresse.

L’administration de Gauteng prévoit également le développement d'un moteur de paiement pour les transactions sans numéraire pour tous les départements et entités du gouvernement provincial, la poursuite de la prestation de services sur le réseau à large bande de Gauteng (en fournissant une connectivité Wi-Fi aux écoles, aux bibliothèques, aux hôpitaux, aux centres communautaires et aux foyers), la mise en ligne des nouveaux services et le renforcement des compétences des jeunes en matières de TIC.

Samira Njoya

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Durant sa présidence démarrée en mai 2015, Muhammadu Buhari, le président sortant, a réussi à faire briller le Nigeria sur la scène technologique et numérique internationale. Pour les quatre prochaines années, son successeur veut faire encore mieux.

Bola Tinubu (photo) a prêté serment le lundi 29 mai à Abuja pour devenir officiellement le nouveau président du Nigeria. Elu le 25 février, l’ex-gouverneur de l’Etat de Lagos croit au pouvoir catalyseur du numérique pour le développement du pays.

Il a prévu à cet effet un programme qui se concentre sur sept domaines à savoir l’innovation et l’entreprenariat, la fourniture de services et l'externalisation, la fabrication des produits technologiques, le commerce électronique, la numérisation des services publics, la large bande et la blockchain.

L'administration Tinubu prévoit de mettre en œuvre des politiques pour soutenir les opportunités de financement locales et l'accès au capital pour encourager les investisseurs étrangers à continuer d'investir au Nigeria. Des politiques visant à former et renforcer les capacités des jeunes dans le domaine des TIC seront également élaborées.

Une autre industrie de l'écosystème technologique nigérian que le programme promet de développer est le secteur du commerce électronique en modernisant l'infrastructure nationale de transport du pays, afin d'offrir des services à l'échelle nationale et de répondre aux besoins des consommateurs dans tout le pays.

Des investissements dans la fabrication des produits technologiques sont également prévus, car elle présente selon le programme une autre opportunité importante pour la création d'emplois au Nigeria. Ainsi, l'importation de smartphones sera remplacée par l'assemblage local pour le développement du secteur manufacturier technologique.

Concernant la Blockchain, le nouveau président envisage de réformer la politique gouvernementale pour encourager l'utilisation prudente de cette nouvelle technologie dans la finance et la banque, la gestion des identités, la collecte des revenus et l'utilisation des crypto-actifs.

Conscient que tous ces projets ne se réaliseront pas sans une bonne connectivité Internet, le nouveau chef d’Etat ambitionne d’ici deux ans d’accroître la large bande et de fournir des services haut débit à 90 % de la population. Actuellement, le réseau national de fibre optique du Nigeria est achevé à 98 %, selon le gouvernement.  

La couverture Internet universelle permettra ainsi l’utilisation des services publics qui seront davantage mis en ligne dans les prochains mois, selon le chef de l'Etat.

Pour les 24 premiers mois de son mandant, M. Tinubu mise sur la création d’un million d'emplois dans le secteur des TIC.

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Pour préparer la jeunesse du pays à l'avenir numérique, le gouvernement de la République de Guinée va miser sur la formation. Pour cela, il a mis sur pied un projet innovant, inédit en Afrique, qui développera à coup sûr l’économie numérique du pays.

Le Premier ministre guinéen, Bernard Goumou (photo, au centre), a procédé le samedi 27 mai au lancement officiel des travaux de construction d'un futur village numérique dans la commune de Ratoma à Conakry.

« Le village numérique de Guinée sera bien plus qu’une simple construction. C’est une vision de l’avenir de notre pays, une vision dans laquelle nous devenons une nation prospère et compétitive sur la scène internationale. Selon les instructions du chef de l’Etat, nous sommes donc déterminés à faire de la Guinée un acteur majeur dans la révolution numérique en Afrique », a déclaré le chef du gouvernement.

Le village numérique sera établi sur une superficie de 46 707,12 m2 et sera financé à hauteur de 14,6 millions de dollars par l’Autorité de régulation des postes et télécommunications (ARPT), l’Agence nationale du service universel des télécommunications et du numérique (ANSUTEN) et le Budget national de développement (BND).

Il comprendra quatre blocs pédagogiques et un administratif, une résidence de deux bâtiments pour étudiants, un amphithéâtre, une bibliothèque, une résidence des professeurs, un centre sportif, des constructions secondaires, des aménagements extérieurs et des voiries et réseaux divers (VRD) dans un délai d'exécution de 12 mois.

Selon Alpha Bacar Barry, le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Emploi, initiateur du projet, le futur village numérique offrira une formation en continue en TIC allant du primaire jusqu’à l’université. Au-delà du pôle éducation numérique, le village aura également un pôle entrepreneuriat numérique et un autre pour la recherche et le développement.

Ce projet ambitieux et inédit en Afrique permettra de stimuler le développement du secteur numérique et de former une génération de talents guinéens capables de relever les défis de l’innovation technologique.

L’objectif du gouvernement est de créer une génération de champions du numérique pour profiter de l'économie numérique mondiale d'ici 2030.

Samira Njoya

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Le développement de l’économie numérique est l’un des objectifs majeurs du gouvernement congolais. Pour atteindre les premiers résultats escomptés en 2025, la RDC s’est tournée vers la Chine qui a fait de l’économie numérique son nouveau moteur de croissance équivalent à 41,5 % de son PIB en 2022.

La Chine et la République démocratique du Congo (RDC) ont renforcé leur collaboration en matière de numérique. Un mémorandum d'entente a été signé à cet effet le vendredi 26 mai à Pékin entre Désiré Cashmir Eberande Kolongele, le ministre congolais du Numérique, et Qin Gang, le ministre chinois des Affaires étrangères, en marge de la visite du président congolais Félix Tshisekedi en Chine.

« Nous avons exprimé de part et d’autre la volonté d'accroître notre coopération par des partenariats gagnants-gagnants qui seront bénéfiques à nos deux peuples. Nous avons énormément évolué dans nos relations. Nous avons au Congo beaucoup de symboles de l’amitié entre nos deux pays », a déclaré Félix Tshisekedi.

Le dimanche 28 mai, au terme de la visite du président congolais, un nouvel accord a été signé à Shenzhen entre le gouvernement congolais et le géant chinois de la technologie Huawei pour la mise en place d’un partenariat en faveur de la transformation numérique en RDC, notamment dans la digitalisation des services gouvernementaux.

Selon le président congolais, le partenariat permettra de développer plusieurs domaines dont l’énergie, l’éducation, la santé, les finances publiques et la sécurité.

Rappelons que la visite du président Félix Tshisekedi en Chine entre dans le cadre de la célébration du 50e anniversaire de la normalisation des relations diplomatiques sino-congolaises.

Lesdits partenariats quant à eux, s’inscrivent en droite ligne du Plan National du Numérique Horizon 2025 mis sur pied par l’exécutif congolais en 2019 afin de faire du numérique un levier d’intégration de bonne gouvernance, de croissance économique et de progrès social.

Samira Njoya

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La Zambie sera le premier pays africain à mettre en œuvre l'application ukrainienne d'administration en ligne Diia avec le soutien de l'Agence américaine pour le développement international (USAID). Samantha Power (photo), administratrice de l'USAID, l’a annoncé le mardi 23 mai lors de la présentation de la plateforme Diia dans la capitale américaine.

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Le Conseil de gouvernement a approuvé, mercredi 24 mai à Rabat, le projet portant création d’une direction générale de la transition numérique et fixant ses compétences et son organisation.

La direction aura pour but de mettre en place un cadre organisationnel en amont des préparatifs d'une stratégie nationale pour le développement numérique dans le but d'accompagner et soutenir les projets relatifs à cette stratégie et assurer le suivi de son exécution.

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