The partnership aims to empower people and businesses by leveraging technology infrastructure to improve access to goods and services. This step should contribute to fostering economic growth on the continent.
Mastercard, a global fintech leader, partnered earlier this month with Lipa Later, a key fintech player, to boost the adoption of Buy Now, Pay Later (BNPL) services in Africa.
This collaboration will offer tailored BNPL solutions and improved payment options, benefiting both consumers and merchants. With Mastercard's merchant network, tech innovations, and Lipa Later's consumer credit expertise, the partnership aims to enhance access to crucial products and services, streamlining credit access and transaction experiences.
Kenya, with an 84% formal financial service usage according to the 2021 FinAccess Household Survey Report, shows growth in financial inclusion. Yet, a significant portion still lacks access. This collaboration seeks to bridge this gap, extending digital financial services to the underserved.
Shehryar Ali, Mastercard's East Africa Country Manager, stressed the partnership's role in providing new digital payment solutions. By leveraging Lipa Later, Mastercard aims to ensure secure digital payments and foster financial inclusion for underserved communities, thereby promoting economic growth. “Mastercard is fundamentally committed to promoting financial inclusion, and this alliance unfolds fresh avenues for consumers and retailers to tap into previously inaccessible digital payment solutions,” she stated.
The BNPL solution simplifies financing at checkout, with instant Know Your Customer (KYC) capabilities. This benefits consumers and boosts merchant revenue, allowing a wider product range.
Eric Muli, CEO of Lipa Later Group, highlighted the partnership's significance in expanding BNPL and lending solutions in Africa. The collaboration seeks to stimulate economic empowerment and innovation in Africa's retail sector.
This partnership showcases Mastercard's commitment to inclusive growth through technology-driven solutions. By backing new payment models and local entrepreneurship, Mastercard propels economic progress in Africa.
Hikmatu Bilali
Les moyens numériques de paiement sont en pleine croissance sur le continent. Les fintech proposent différents produits les uns aussi efficaces que les autres dans leur usage au quotidien.
Flash est une solution fintech développée par une start-up égyptienne. Elle permet aux utilisateurs d’effectuer des achats avec leur smartphone depuis une carte bancaire ou un portefeuille numérique en utilisant un code QR (type de code-barres à deux dimensions, constitué de modules-carrés noirs disposés dans un carré à fond blanc). Internet est indispensable pour accéder aux informations d’un code QR.
La fintech qui propose cette solution est basée au Caire et a été fondée en 2021 par Erik Gordon (photo, à droite) et Sherine Kabesh (photo, à gauche). Depuis son lancement, elle a réussi un tour de table d’un montant de 6 millions $ pour, entre autres, développer sa technologie et soutenir sa croissance.
« Notre application mobile élimine les défis transactionnels pour les entreprises qui recherchent une solution plus simple que le point de vente. Notre objectif est de rendre les paiements plus faciles, plus sûrs et plus rapides pour tout le monde », a déclaré Erik Gordon en juillet dernier.
Avec pour principal objectif de faciliter les diverses transactions commerciales, la solution dispose d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android. Après son téléchargement, l’utilisateur doit créer un compte pour accéder aux diverses fonctionnalités de la fintech. Entre autres, il peut ajouter des cartes bancaires ou recharger son portefeuille numérique dans le but de faire des transactions commerciales. Les paiements peuvent s’effectuer en scannant le code QR des entreprises partenaires où l’utilisateur a effectué ses achats.
Outre les fonctionnalités de base, Flash veut intégrer de nouveaux outils de gestion financière pour aider les consommateurs à prendre de meilleures décisions en matière de dépenses, selon Erik Gordon.
Depuis son lancement, la version Android de l’application mobile a été téléchargée plus de 5 000 fois, d’après les données de Play Store.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi:
Nigeria : Arich offre des services bancaires grâce à ses plateformes web et mobile
En Afrique, le déficit de financement d'amorçage reste un défi majeur à l’innovation. Pour y faire face, des fonds sont créés dans le but d'accompagner les entrepreneurs africains en vue de faciliter le démarrage de leurs activités.
Founders Factory Africa (FFA), un accélérateur et investisseur sud-africain basé à Johannesburg a annoncé, le lundi 14 août, l’obtention d’un financement supplémentaire de 114 millions de dollars de la Fondation Mastercard et de Johnson & Johnson Impact Ventures (JJIV).
Selon le communiqué de FFA, les fonds permettront à l’incubateur d’étendre son modèle et de mieux servir les start-up et les fondateurs axés sur la technologie à travers le continent africain.
🤩 Exciting News!
— Founders Factory Africa (@FoundersFFA) August 14, 2023
🌍 Founders Factory Africa is supercharging its mission to empower African founders!
This follows investments from Mastercard Foundation and Johnson & Johnson Impact Ventures. 🚀
Learn more: ✅ https://t.co/g8fXL2QuiG ⬅️
« Nous sommes ravis de bénéficier d'un financement nouveau et dynamique, qui fait suite à des investissements antérieurs dans Founders Factory Africa par Standard Bank Group, Small Foundation et Netcare Group », a déclaré Alina Truhina, cofondatrice de FFA.
En effet, depuis sa création en 2018, Founders Factory Africa a soutenu plus de 55 start-up technologiques dans 11 pays africains.
Avec ce nouveau financement, le studio ambitionne de redoubler d'efforts pour remédier aux déséquilibres entre les hommes et les femmes dans la sphère technologique. Dans ce sens, il fournira aux fondateurs des deux sexes le financement, les connaissances et le soutien pratique à la création d'entreprise, dont ils ont besoin pour atteindre le succès commercial et créer un impact systémique en Afrique.
Samira Njoya
Lire aussi:
Elle est une entrepreneure tech avec plus de 10 ans d’expérience. Fondatrice de deux entreprises, elle développe des solutions technologiques utiles et adaptées au marché africain. Elle a reçu plusieurs prix et distinctions pour son esprit entrepreneurial et d’innovation.
Olajumoke Oduwole (photo) est une entrepreneure et une informaticienne nigériane diplômée de l’université de Lagos où elle a obtenu en 2015 un master en ingénierie des systèmes avec spécialisation en intelligence artificielle. Elle est une cofondatrice et la présidente-directrice générale de la start-up de technologies financières Alajo.
Lancée en 2021, l’application éponyme de l’entreprise numérise les opérations d’épargne et de crédit par le biais d’une infrastructure USSD. Conçue pour les commerçants, les entreprises à croissance rapide et les personnes non bancarisées ou sous-bancarisées, elle a déjà aidé à épargner plus de 373 millions de nairas (443 600 euros).
« Opportunément, les personnes sous-bancarisées et non bancarisées ont désormais accès aux produits financiers, aux services et aux opportunités des entreprises grâce aux données analysées de leurs transactions », a déclaré Olajumoke Oduwole en avril 2023.
Cette année, l’entreprise a permis à Olajumoke Oduwole et Eniola Oladeinde, cofondatrice d’Alajo, de participer au programme Google for Startup Accelerator : Women Founders.
https://www.linkedin.com/posts/olajumokeoduwole_congratulations-to-eniola-oladeinde-and-i-activity-7065707600742371330-SsGb?utm_source=share&utm_medium=member_desktop
En 2014, Olajumoke Oduwole a fondé KJK Africa, une entreprise spécialisée dans la conception et le développement de logiciels. La société crée des produits logiciels durables et propose des services visant à accroître l’efficacité des entreprises, à renforcer leurs liens avec la clientèle, à accroître la visibilité de leurs opérations et à augmenter leur chiffre d’affaires.
Avant Alajo, Olajumoke Oduwole a travaillé pour Bethel Group of Companies en tant que responsable du service informatique entre 2012 et 2013. Elle a également dirigé les départements de marque, informatique et numérique de RegCharles Finance & Capital de 2013 à 2014. En 2018, elle fut consultante en communication du Conseil présidentiel pour un environnement économique favorable, Nigeria (PEBEC-EBES).
Elle a reçu plusieurs distinctions et prix pour son travail. En 2018, elle a été dans le top 10 des finalistes au Rising Tech Entrepreneur du Seyi Tinubu Empowerment Program. En 2020, elle a fait partie du Forbes Africa 30 Under 30.
Melchior Koba
Lire aussi :
En Afrique, près de la moitié de la population ne bénéficie pas de solutions financières numériques. Pour cela, la Banque africaine de développement (BAD) et ses partenaires ont multiplié les initiatives. L’objectif est de répondre aux besoins des personnes financièrement exclues et défavorisées.
Le gouvernement indien va verser 2 millions de dollars à la Facilité pour l’inclusion financière numérique en Afrique (ADFI), un fonds hébergé et géré par la Banque africaine de développement (BAD). L’institution financière l’a annoncé dans un communiqué le mercredi 2 août.
Le financement vise selon la BAD à aider à lever les obstacles à la croissance et à l’adoption de solutions financières numériques, ainsi qu'à accélérer l’inclusion financière en Afrique.
#India pledges $2M to @ADFI_AfDB for digital financial solutions in Africa. India's #financialinclusion success offers valuable insights to scale up initiatives to meet the needs of the financially excluded. Learn more: https://t.co/v34gM3EpY1 #IntegrateAfrica pic.twitter.com/DAF80VDaQf
— African Development Bank Group (@AfDB_Group) August 2, 2023
« Le rôle pionnier de l’Inde dans les services financiers numériques, l’extension de l’inclusion financière aux zones rurales reculées et la création d’infrastructures pour la numérisation des services financiers, offre à l’Inde une excellente opportunité d’œuvrer au sein du partenariat de l’ADFI pour partager l’apprentissage et l’expertise sur l’infrastructure publique numérique afin de promouvoir l’inclusion financière numérique à travers le continent », a déclaré Manisha Sinha, la secrétaire adjointe au département des affaires économiques et membre principal du conseil d’administration de l’ADFI pour l’Inde.
En effet, la crise de la Covid-19 a renforcé la nécessité d’une plus grande inclusion financière numérique en Afrique, ce qui amène à déployer des services dématérialisés moins coûteux afin de faire bénéficier les populations, actuellement non bancarisées ou mal desservies, d’une gamme de services financiers formels adaptés à leurs besoins, à des conditions accessibles, tout en garantissant des opérations viables pour les prestataires.
C’est dans ce sens que la BAD a lancé en 2019 le fonds ADFI avec une dotation initiale de 40 millions de dollars provenant de la Fondation Bill & Melinda Gates, du gouvernement du Luxembourg et de l’Agence française de développement : l’Africa Digital Financial Inclusion Facility (Facilité africaine d’inclusion financière numérique – ADFI).
Le fonds espère consacrer 400 millions de dollars au total, d’ici 2030, en faveur de l’inclusion financière numérique de 332 millions de personnes en Afrique, dont 60 % de femmes.
L’initiative de soutien de l'ADFI par l'Inde permettra ainsi d'aider à développer des projets pour répondre aux besoins des personnes financièrement exclues et mal desservies sur le continent. En effet, l'Inde est, selon la BAD, reconnue mondialement pour le succès de son système de paiement public numérique qui a transformé la gouvernance, l'inclusion financière et la résilience pour des millions de personnes.
Samira Njoya
Lire aussi :
Studely, la fintech française spécialisée dans les services financiers à destination des étudiants internationaux, a annoncé la nomination de Claire Noguera (photo) en tant que directrice générale.
Elle remplace à ce poste Duplex Kamgang, cofondateur de Studely, qui occupe désormais le rôle de président du conseil d’administration. Auparavant directrice générale France-Belgique de la banque Travelex, une banque internationale spécialisée dans le change et les transferts internationaux, Claire Noguera dispose de plus de 30 ans d’expérience professionnelle.
Lire aussi :
Informaticienne, elle est passionnée par le développement de solutions technologiques pour résoudre les problèmes de la société. Elle a déjà plusieurs plateformes à son actif et a reçu plusieurs récompenses en Côte d’Ivoire et à l’international.
Rukayatou Saka (photo) est une entrepreneure ivoirienne. Titulaire d’un diplôme d’ingénieur en informatique obtenu en 2012 à l’école de spécialités multimédia d’Abidjan (ESMA) et d’un master en ingénierie data obtenu en 2021 à l’ISM Paris, elle est la fondatrice et la directrice générale de Paiement Pro.
Créée en 2019, Paiement Pro est une plateforme en ligne qui offre à ses utilisateurs la possibilité d’accepter des paiements via des solutions de mobile money (comme Orange Money) ou par carte de crédit. Cette plateforme sécurisée permet de vendre en ligne et aide à développer toute activité en ligne. Elle est disponible en Côte d’Ivoire, au Bénin, au Burkina Faso, au Niger, au Mali et au Sénégal.
Paiement Pro est une solution née d’Amira Global Technologie, dont Rukayatou Saka est la fondatrice et la cheffe de la création de richesse. Fondée en 2008, Amira Global Technologie est une société de conseil en transformation numérique, de conception et de développement de solutions digitales. Hormis Paiement Pro, l’entreprise a développé les plateformes Doumgba Marché et Liste de Mariage.
Liste de Mariage est une plateforme Web qui permet aux futurs époux de digitaliser leur liste de mariage et de permettre aux amis et connaissances de leur offrir des cadeaux en ligne, sans se déplacer, par carte de crédit VISA et Mastercard ou mobile money (Côte d’Ivoire, Bénin, Burkina Faso, Mali).
Doumgba Marché est une plateforme web qui permet d’améliorer la chaîne de valeur dans la production et la vente des produits agricoles. Elle connecte la productrice au transporteur le plus proche pour l’acheminement du produit, permettant ainsi d’écouler la production en ligne.
Amira Global Technologie, c’est 1 175 projets réalisés et plus de 8 plateformes grands publiques développées. En 2021, elle a été classée parmi les 50 meilleures entreprises africaines par la fondation Jack Ma. Grâce à elle, Rukayatou Saka a reçu le prix national d’excellence de la meilleure initiative numérique féminine de l’année. Toujours en 2021, elle a fait partie des 50 finalistes de l’Africa’s Business Heroes.
Melchior Koba
Lire aussi :
Côte d’Ivoire : Marie Lucienne N’guessan éveille les jeunes femmes aux métiers du numérique
Les populations non bancarisées ont développé diverses méthodes traditionnelles pour se constituer des mannes financières importantes. Les tech entrepreneurs ont décidé de moderniser ces méthodes en mettant en place une solution technologique.
Arich est une solution fintech développée par une jeune pousse nigériane. Elle permet aux utilisateurs d’épargner et d’effectuer diverses opérations financières depuis leur smartphone ou leur ordinateur. La start-up, basée dans la ville d’Ikeja dans l’Etat de Lagos, a été fondée en 2021 par David Chijioke, Awele Akeze, Ikeoluwa Oloruntoba et Agu Osondu. La fintech a en effet modernisé les systèmes d’épargne traditionnellement par les commerçants, en l’occurrence ceux non bancarisés, pour se constituer des réserves financières plus ou moins importantes.
« Nous avons vu l'opportunité de moderniser et de numériser ce système, de remédier à ses limites et de fournir une solution plus efficace aux détaillants et aux micro-commerçants. [...] Il est important de noter que huit détaillants sur dix au Nigeria utilisent actuellement la méthode Ajo pour leurs économies. Cependant, ce processus manuel présente des risques et des limites, tels que le manque de transparence et de responsabilité », explique Awele Akeze.
L’application mobile est accessible sur iOS et sur Android. L’utilisateur devra se créer un compte après téléchargement pour accéder aux services qu’offre la fintech. Ils peuvent entre autres souscrire à l’épargne commerciale quotidienne et obtenir un taux d’intérêt de 10% après un an, économiser avec un objectif hebdomadaire ou mensuel avec un taux d’intérêt de 15% sur l’année.
Par ailleurs, Arich permet également aux entreprises d’accéder à des prêts, de recevoir et de transférer de l’argent vers n’importe quelle banque du Nigeria, d’acheter des données, du temps d'antenne, des abonnements TV, de l'électricité, etc.
La fintech revendique plus de 22 000 utilisateurs. Elle a des rêves d’expansion et veut reproduire son modèle dans d’autres pays du continent. Néanmoins, aucune action concrète dans ce sens n’a encore été amorcée.
Adoni Conrad Quenum
Lire aussi :
Maroc : Tresorerie.ma simplifie la gestion des finances des petites et moyennes entreprises
L’Afrique couve actuellement une jeunesse innovante, de plus en plus en quête de soutien pour entreprendre. Le groupe Orange qui croit en l’impact social des sociétés technologiques s’est engagé à les accompagner depuis plusieurs années à travers divers programmes.
La société de téléphonie mobile Orange Cameroun a dévoilé les trois lauréats de l’édition 2023 du Prix Orange de l'entrepreneur social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM) le jeudi 20 juillet à Douala. Il s’agit d’Armelle Touko avec sa solution numérique « Adinkra Jeunesse », de Philippe Ohandja Ayina avec « Clinic Home » et d’Ashangndowah Akwo avec Nkwa Tech Ltd, qui remportent respectivement les premier, second et troisième prix de la compétition nationale.
La finale de la 13e édition du #POESAM a eu lieu jeudi dernier, 20 juillet.
— Orange Cameroun (@Orange_Cameroun) July 23, 2023
Après la phase de pitch durant laquelle les finalistes ont pu présenter leurs projets respectifs, les vainqueurs ont été dévoilés 🥳👏!!!#ODCCMR pic.twitter.com/VHE9uXJAOh
Avec « Andira Jeunesse », Armelle Touko s’est démarquée des autres candidats en développant une plateforme web et mobile sur laquelle des enfants peuvent accéder à des livres numériques et les lire hors connexion Internet. Son premier prix lui octroie la somme de 3 000€.
Avec « Clinic Home », Philippe Ohandja Ayina a développé « un hôpital virtuel dédié à la médecine à domicile de famille et à la télémédecine ». Il souhaite à travers cette solution faciliter l’accès des populations de toutes les classes sociales à des soins médicaux de qualité à moindre coût. Son prix lui a valu une récompense de 1 500 €.
Pour Ashangndowah Akwo, la somme décrochée par son troisième prix s’élève à 750 €. Le jury a été séduit par son application mobile « Nkwa » qui permet aux utilisateurs d'épargner de manière disciplinée de l’argent afin d’atteindre des objectifs précis.
Comme il est désormais de coutume, un prix spécial féminin a également été décerné. Il est allé à Olivia Kamga, porteuse du projet « Services For Aged » qui met en relation du personnel médical et paramédical avec des personnes âgées vivant en milieu rural. La jeune dame bénéficiera d'un accompagnement technique d’Orange Cameroun ainsi que d'une dotation financière de 1 500 €.
Pour cette édition du Poesam, un total de 245 candidatures a été reçu et examiné par les jurys. Seules 11 candidatures ont été retenues pour la finale. Parmi celles-ci figuraient des solutions comme Mon Combi, Kiss and Go ou encore Ajuoza.
Grâce à sa première place, Armelle Touko aura l’opportunité de concourir pour le grand prix Poesam international qui oppose les premiers prix de toutes les filiales d’Orange en Afrique et au Moyen-Orient. Seuls trois lauréats seront sélectionnés. En fonction de leur classement, ils remporteront respectivement les somme de 25 000 €, 15 000 € et 10 000 €.
Samira Njoya
Lire aussi :
Orange : « les projets présentés traduisent en quelque sorte les besoins en Afrique »
La 13e édition du Prix Orange de l'entrepreneur social en Afrique et au Moyen-Orient est lancée
Dans un communiqué publié le jeudi 20 juillet, la fintech nigériane Bundle Africa a annoncé qu’elle mettait fin à ses activités de change malgré 50 000 utilisateurs actifs mensuels pour volume de 50 millions $. Les utilisateurs ont jusqu'au 30 août pour retirer leurs actifs.
« Alors que le Web3 et la communauté blockchain continuent de se développer, il est nécessaire de se concentrer sur des solutions de paiement qui répondent aux besoins de l'écosystème, ce qui est le plan avec Cashlink [l’autre service phare de la fintech, Ndlr]», peut-on lire dans le communiqué.
Lire aussi :