Du 26 au 28 juillet, le Grand salon de l’agro-business et digital en Afrique se tiendra à Lubumbashi en République démocratique du Congo (RDC). Plusieurs exposants et intervenants sont attendus pour débattre de sujets ayant trait au numérique et à l’agriculture et à leurs rôles respectifs dans le développement du continent. Outre la RDC, l’Ouganda, la Zambie, la Tanzanie et le Kenya feront partie des pays représentés lors de cet événement.

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The Zambian government aims to pursue a digital path and enhance trade partnerships, emphasizing the need for preparedness in services and cross-border interactions.

A delegation from Zambia's digital economy sector arrived in Nigeria, on July 10, to study the country's digital economy model through a visit of the National Information Technology Development Agency (NITDA).

Led by Austin Sichinga, a director from the Zambia Information and Communication Technology Authority (ZICTA), the delegation aims to learn from Nigeria's successful approach and adapt it to their digital transformation efforts.

“NITDA has leapfrogged most African institutions that are into technology development in the continent. We have seen and acknowledged its development efforts in supporting ICT start-ups, and imparting relevant ICT skills on young minds,” Mr. Sichinga said.

During the visit, the Zambian team will study “Nigeria’s IT regulatory instruments, policy implementation, Public Key Infrastructure, and cyber security, and explore NITDA’s relationship with government agencies and stakeholders in the digital economy sector,” NITDA explains on Twitter.

NITDA's Director General, Kashifu Inuwa, commended the Zambian government's initiative to study the Nigerian model, highlighting the importance of collaboration among African nations to develop effective digital strategies. “We need to work as a team, so as Africans, I think this is high time for us to come together; come up with our digital strategy because digital is beyond boundaries, it is borderless,” he said.

The Zambian delegation's visit to NITDA follows visits from Ghana, Gambia, and Kenya, reflecting the agency's reputation for driving technological development. NITDA plans to share its expertise through a playbook to promote a strong digital economy across Africa.

NITDA is a government body that implements Nigeria's IT policy and coordinates IT development. The agency's initiatives, such as the National Centre for Artificial Intelligence and Robotics (NCAIR) and the Office for Nigerian Digital Innovation (ONDI), support startups and contribute to job creation and economic growth.

Hikmatu Bilali

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La capitale d’Algérie, Alger, abritera du 10 au 12 octobre prochain la deuxième édition du Salon du numérique et des TIC, Digital African Summit.

A l’instar de la première édition, le sommet de cette année réunira des entrepreneurs passionnés, des investisseurs visionnaires, des experts en technologies et des décideurs clés pour discuter des dernières tendances en matière de transformation numérique en Afrique. Plus de 200 entreprises et start-up africaines du numérique y sont attendues.

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Le passage du signal télévisé analogique au numérique était censé s’achever en juin 2015 dans le monde. Mais plusieurs pays ont pris du retard, notamment en Afrique où seule une quinzaine de nations sur les 54 du continent sont à la page.  

Abdouramane El Hadjar, un expert de l’Union internationale des télécommunications (UIT), séjourne à Ndjamena au Tchad depuis le jeudi 13 juillet. Il est en mission d’évaluation de la migration du pays à la télévision numérique terrestre (TNT). Il a été reçu en audience par Hassan Daoussa Hassaballah, le directeur général de l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (ARCEP), avec lequel il a également échangé sur la valorisation technico-économique du dividende numérique.

Lors de son séjour, la délégation de l’UIT rencontrera plusieurs autres acteurs du paysage numérique et audivisuel tchadien afin de collecter le maximum de données de qualité indispensable à son travail. Il est prévu à cet effet des rencontres avec l’Agence de développement des TIC (ADETIC) ; le ministère de l’Information et de la Communication ; le ministère des Télécommunications et de l’Economie numérique ; la Haute autorité des media et de l’audiovisuel (HAMA) ; la Coordination générale du passage de l’audiovisuel de l’analogique au numérique.

Comme plusieurs pays d’Afrique, le Tchad a pris du retard dans le passage de la télévision analogique à la télévision numérique terrestre. Au cours des dernières années, le pays a dû se focaliser d’abord sur plus urgent, notamment les difficultés économiques résultants de la chute des prix mondiaux du pétrole à partir de 2014. Elles ont entraîné un déficit budgétaire et contraint le gouvernement à mettre en place des mesures d'austérité. L’impact de la Covid-19 n’a pas favorisé la stabilisation des finances publiques et de l’économie nationale.

En incitant le Tchad comme plusieurs autres pays d’Afrique à passer totalement à la TNT, l’UIT désire accélérer le développement du secteur télécoms à travers la libération de nouveaux spectres de fréquences dans des bandes qui peuvent être indispensables à la fourniture du haut débit mobile de qualité aux populations.

Profitant de la rencontre avec l’expert de l’UIT, le DG de l’ARCEP a exprimé le souhait du Tchad d’être accompagné par l’organisation spécialisée des Nations unies pour la mise en place d’une stratégie de gestion du dividende numérique ; le réaménagement du spectre télécoms et la planification de l’utilisation du dividende numérique.

Muriel Edjo

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La plateforme éducative Irawo, dans son ambition d’aider les entrepreneurs à atteindre leurs objectifs grâce à l’expertise de ceux qui ont réussi, s’associe à Moulaye Tabouré (photo), cofondateur d'Anka, pour offrir un programme 100% pratique baptisé « Réussir sa levée de fonds ».

Les startuppers désireux d’y prendre part peuvent s’inscrire à l’adresse suivante https://www.irawo.co/programs/7w0fzy/register.

Pendant 4 semaines, Moulaye Tabouré partagera avec eux la méthode et les outils qui lui ont permis de lever plus de 10 millions d’euros auprès de divers investisseurs dans le monde. Le programme en ligne débute le 7 août.

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Dans le cadre de l’Africa’s Business Heroes, une initiative soutenue par la Fondation Jack Ma et Alibaba Philanthropy, 50 entrepreneurs issus de 20 pays du continent ont été sélectionnés pour prendre part à la finale de l'édition 2023 du concours. La prochaine étape sera de sélectionner 10 entrepreneurs qui compétiront pour une part de 1,5 million $ de subvention. Rappelons que plus de 27 000 entrepreneurs ont déposé leur candidature cette année.

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Le Kenya, le Rwanda et l’Ouganda accueilleront, du jeudi 6 au dimanche 9 juillet, la première édition du Sommet de l'innovation numérique de l'Afrique de l'Est (EADIS).

Dirigé par Franklin Peters, fondateur et organisateur de Blockchain Vibes, en partenariat avec Boundlesspay, SPC Universe et Techpoint Africa, le sommet a pour but d'inspirer la coopération, de stimuler la créativité et de placer l'Afrique de l'Est à l'avant-garde de la révolution numérique en mettant l'accent sur la transformation numérique.

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Cheikh Tidiane Mbaye est le président du jury international du Prix Orange de l'entrepreneur social en Afrique et au Moyen-Orient (POESAM). Pendant plusieurs années, il a vu défiler des milliers de projets à fort potentiel. Il évoque avec We Are Tech l’impact de l’écosystème d’émulation et d’accompagnement financier mis en place par Orange sur l’innovation et sa perception de l’Afrique dans l’économie numérique.

Nous nous sommes rendus à la 13e édition du POESAM. Au regard des projets que vous avez jugés au fil des ans, quelle appréciation faites-vous du niveau d'innovation technologique en Afrique ?

Effectivement nous en sommes à la 13e édition. Ça fait une dizaine d'années que je suis dans le jury et je dois le présider depuis environ six ans si je ne me trompe pas. Et alors, quand on regarde l'évolution des candidatures, l'intérêt que suscite le prix, l'évolution de l'impact médiatique, on se rend compte qu'on est en fort développement, en forte croissance. Pour donner un chiffre, le nombre de candidats pour l'édition de cette année (2023) est de 1 400 environ. Et il me semble qu'il y a quatre, voire cinq ans, nous étions encore autour de la moitié de ce chiffre. Nous avons presque doublé en moins de cinq ans et je trouve cela très intéressant. Autre point qu'il faut relever c'est que le pourcentage de femmes augmente aussi. A l'heure actuelle, nous sommes presque à 30% de femmes ce qui est très important. Je pense qu'il faut aussi comprendre que les projets présentés au POESAM traduisent est quelque sorte les besoins en Afrique. Je trouve vraiment intéressant d’observer que ces projets qui reflètent non seulement la capacité des jeunes entrepreneurs à créer, à innover, à développer reflètent aussi les besoins africains. A titre d'exemple, lors du dernier prix, la majorité des projets portait par ordre de croissance sur l'éducation, la santé, l'agriculture et l'e-commerce. C'est très intéressant de voir l'évolution de l’innovation dans ces domaines et le prix Orange récompense surtout l’impact social.

Personnellement, pourquoi avoir accepté de jouer le rôle de président du jury international ?

Comme je vous l'ai dit, je suis membre du jury depuis une dizaine d'années. On m'a proposé la présidence il y a quelques années, j'ai accepté. Mais c'est surtout ma fonction de membre du jury depuis tant d'années qui compte pour moi. Je pense que mon choix traduit une passion et une conviction. La passion, c'est le développement. Je suis un passionné du développement et de ce qu'il faut faire pour y arriver. Ma conviction est justement qu'on peut y arriver. On peut y arriver parce que nous avons les ressources nécessaires à cet effet. L'une des clés pour moi c'est le secteur privé et le rôle qu’il joue, notamment les petites et moyennes entreprises. Le rôle que ces entreprises doivent jouer dans le développement et l'importance de l'innovation de l'entrepreneuriat des jeunes. Le gouvernement a lui aussi un rôle à jouer. La bonne gouvernance permettra d'accélérer tout ça malgré les faiblesses. Voilà ce qui me passionne et je suis prêt à participer à toutes les initiatives sérieuses qui servent cette passion et cette conviction. Mettre en lumière des projets qui impactent le quotidien, qui impactent concrètement la vie des populations du continent.

Comment est née votre amour pour cette innovation qui nourrit votre passion pour le développement ?

J'ai travaillé chez Orange comme directeur, notamment comme directeur général de Sonatel pendant 25 ans. J’y étais acteur dans un autre domaine, celui des infrastructures télécoms qui est justement essentiel pour moi au développement de l'entreprenariat tech. Il faut une bonne base, il faut de bonnes infrastructures. Tout ce que nous avons fait au fil des années est basé sur les infrastructures que nous avons mis plusieurs années à installer. Nous avons vu ce que nos innovations réseaux apportent aux communautés. C’est sur elles que les services innovants des entrepreneurs s’appuient et s’appuieront. Ces services innovants sont en train d'arriver par le biais de jeunes Africains talentueux, notamment ceux qui sont promus, soutenus, encouragés par ce prix d'une grande utilité. Il y a donc une continuité entre ce que j'ai fait depuis que j'ai commencé à travailler et ce que je fais aujourd'hui.

Que vous apporte l’expérience à la présidence du jury du POESAM ?

Je dois dire que j'apprends, j'apprends énormément moi qui suis issu des infrastructures. Là on parle d'innovation, de start-up. Ces jeunes entrepreneurs que nous accompagnons aujourd’hui, ils nous reprochent des choses, surtout les entreprises dans lesquelles j'ai travaillé. Ça me permet de corriger. Ça me permet de passer de l'autre côté et de voir comment améliorer les choses. Il m'est arrivé d'intervenir plusieurs fois dans plusieurs pays Orange pour faciliter les relations entre les startuppers et les opérateurs Orange que nous sommes aussi. Les opérateurs sont grands, forts, ils ne pensent pas toujours à tout. Ces interactions m’ont apporté connaissance et humilité aussi. Je pense que l'inclusion numérique en Afrique se fait, elle n'est déjà pas mauvaise, contrairement à ce qu'on croit.

Quelle est votre appréciation de l'impact qu'a eu le POESAM au fil des années sur l'innovation technologique en Afrique et sur le développement économique et social en particulier ?

Le prix aide beaucoup d’entrepreneurs, de start-up. J’ai quelques exemples assez forts. J'ai en tête l'exemple de M. Johnson du Liberia qui développe aujourd'hui des produits à base d'huile de palme pour offrir des solutions d'énergie renouvelable. Grâce à la subvention du POESAM qu’il a obtenu en 2018, il a doublé son revenu et créé 24 emplois supplémentaires. Il y a aussi l'entreprise tunisienne Kumulus qui a développé une machine qui transforme de l'air en eau. Elle a réussi à lever son premier million d'euros grâce à nous et à augmenter sa visibilité. Elle travaille avec des entreprises du groupe Orange. Il y a d'autres exemples que nous pouvons citer. Il y a un impact concret de ces entreprises sur leurs clients. Il n'y a pas que les lauréats du POESAM que ce prix a aidé, il a suscité l’émulation en permettant à un grand nombre de jeunes Africains d’oser, et ça, je crois que c'est quelque chose de très important. Je rappelle qu'Orange Afrique et Moyen-Orient c'est quand même 17 pays. Chaque entreprise Orange dans chaque pays a contribué à entretenir cette innovation et cette émulation.

Au regard de toutes les innovations que vous avez observées autour des 13 dernières éditions, comment entrevoyez-vous les perspectives de l’Afrique dans l'économie numérique ?

Je crois que le continent africain jouera un rôle décisif dans l’économie numérique. J'ai rencontré un entrepreneur qui a travaillé dans les plus grandes entreprises de la tech mondiale et qui est rentré en Afrique. Il a lâché un pont en or dans une grosse boîte pour créer sa startup dans le domaine de la santé. Comme moi, lui aussi — tout comme plusieurs cabinets internationaux, la Banque mondiale, l'IFC, des organismes spécialisés — considère que l’avenir de l’économie numérique en Afrique sera formidable. Je pense que ce dynamisme entrepreneurial, nous qui sommes justement très près de cela, nous en avons une bonne lecture.

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Du 14 au 17 juin se déroule à Paris le salon technologique VivaTech. C’est en marge de cet événement qu’a été initié l’AfricaTech Awards. Elle en est à sa deuxième édition.

Waspito, Kubik et Curacel sont les lauréats de la deuxième édition de l’AfricaTech Awards, respectivement dans les catégories healthtech, climate tech et fintech. L’événement, qui s’est déroulé le jeudi 15 juin, à Paris, pendant le salon technologique parisien VivaTech, en partenariat avec la Société financière internationale (IFC), a été initié l’an passé pour permettre aux start-up du continent de tisser des relations dans le but d’attirer des investisseurs.

Waspito, lauréat de la catégorie healthtech, est une start-up camerounaise qui met en relation patients et médecins pour des consultations vidéo instantanées via son application mobile accessible sur iOS et sur Android. Elle a été fondée en 2020 par Jean Lobé Lobé et a attiré des investisseurs tels qu'Orange Ventures ou encore Launch Africa Ventures.

Quant à Curacel, lauréat de la catégorie fintech, c’est une solution nigériane qui permet aux entreprises de distribuer des polices d'assurance et de traiter plus rapidement les réclamations. Fondée en 2019 par Henry Mascot et John Dada, elle dispose également d’une application mobile accessible sur iOS et sur Android.

En ce qui concerne Kubik, lauréat de la catégorie climate tech, c’est une jeune pousse kényane fondée en 2021 par Ndeye Penda Marre. Elle transforme les déchets plastiques difficiles à recycler en matériaux de construction à faible émission de carbone.

Pour rappel, lors de la première édition de l’AfricaTech Awards en 2022, ce sont le kényan Weee Centre (climate tech), l’égyptien Chefaa (healthtech) et le sud-africain Click2sure (fintech) qui ont été couronnés.

Adoni Conrad Quenum

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En Afrique, plusieurs millions de personnes sont encore privées de l’accès à Internet à haut débit. La situation, qui résulte de plusieurs facteurs tels que l’inaccessibilité du mobile adéquat et la faible couverture télécoms, représente un danger pour l’inclusion numérique porteuse de développement.

La société angolaise LiraLink Tecnology et l'entreprise chinoise ZTE ont signé mardi 13 juin un accord de partenariat pour l'implantation d'une usine de téléphones mobiles en Angola. L’usine de montage qui doit être opérationnelle en 2024 se focalisera sur la production d’appareils 4G et 5G.

Sous la supervision de Mário Oliveira, le ministre des Télécommunications, des Technologies de l'information et de la Communication sociale, les documents qui entérinent cet accord ont été paraphés par le directeur général de LiraLink, Walter João et le vice-président du groupe ZTE, Ni-Fei, en marge du Forum international sur les technologies de l'information et de la communication de l'Angola (ANGOTIC), qui s’est tenu du 12 au 14 juin.

Le bien-fondé de cette usine de montage de smartphones résulte de la volonté de mettre des téléphones de qualité, à des prix abordables sur le marché. Dans son rapport « From luxury to lifeline : Reducing the cost of mobile devices to reach universal internet access » publié en 2020, l’Alliance for Affordable Internet (A4AI) jugeait que le coût des smartphones est encore assez élevé.

Dans les 187 pays étudiés, le coût moyen mondial d'un smartphone représente environ 26 % d'un revenu mensuel moyen par habitant, soit 104 $ selon A4AI. Certains pays et régions présentent un coût encore plus élevé.

Par exemple, en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne, le coût moyen d’un smartphone dépasse 40 % du revenu mensuel moyen par habitant. « Pire encore, dans les pays les moins avancés, une personne moyenne devrait consacrer plus de la moitié de son revenu mensuel à l’achat d’un smartphone. Les habitants des pays à faible revenu doivent dépenser près de 70 % de leur revenu mensuel moyen pour acheter le smartphone le moins cher disponible sur le marché ».

Selon Lúcia Yang, la directrice de la zone commerciale de la ZTE, l’usine de montage de smartphones qui sera mise sur pied disposera également d'un centre d'assistance pour répondre aux besoins des clients.

Muriel Edjo

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