La capitale togolaise, Lomé, va accueillir le mardi 28 février prochain l'Africa Fintech Tour 2023. La rencontre initiée, par l’Africa Fintech Forum a pour but d’échanger sur des questions liées aux challenges, aux opportunités et aux actions menées pour développer l'ensemble de l’industrie de la Fintech en Afrique.
La rencontre se tiendra sous le thème, « développement numérique et amélioration de l’inclusion financière au Togo » et réunira plusieurs acteurs des secteurs privé et public, notamment les banques, les assurances, les émetteurs de monnaie électronique, les ministères de l’Economie et des Finances et de l’économie numérique.
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La transformation numérique a pris un coup d’accélérateur à travers le monde en 2020. A travers leurs différents marchés, les opérateurs télécoms repensent leurs approches commerciales afin de mieux répondre aux nouveaux besoins des consommateurs.
Le groupe télécoms français Orange a dévoilé son nouveau plan stratégique horizon 2025 le jeudi 16 février. Baptisé « Lead the future », pour « diriger le future » en français, il axe les futures actions de l’entreprise autour de quatre points majeurs qui se regroupent sous une seule vision : l’excellence opérationnelle dont la finalité est un accroissement de la rentabilité financière.
Orange prévoit d’améliorer sa qualité de service en innovant davantage dans les offres pour perfectionner l’expérience client ; investir dans des infrastructures réseaux plus robustes et innovantes afin d’offrir un accès aux services télécoms de qualité au plus grand nombre ; renforcer sa présence dans le segment Entreprise et la cybersécurité en particulier ; maintenir la croissance en Afrique et au Moyen-Orient.
En Afrique particulièrement, Orange a prévu de maintenir le déploiement des réseaux fixe et mobile (4G et 5G) afin d’accompagner la solide croissance de ses résultats et de soutenir le développement économique et social du continent.
Le groupe accélérera la transformation d’Orange Money pour pivoter vers un modèle de plateforme digitale qui offrira des services, au-delà du transfert et du paiement. Le service sera proposé à tous les consommateurs, qu’ils soient clients d’Orange ou non, dans l’ensemble des pays où le groupe est présent. Fin 2022, la société a déclaré une augmentation de sa base clients de plus de 29 millions d’utilisateurs actifs et une valeur des transactions de plus de 100 milliards d’euros sur l’année.
Les actions de la société télécoms se poursuivront aussi dans le renforcement de son ancrage local et sa position d’opérateur multi-services à travers le déploiement de ses « Orange Digital Centers ». Le groupe investira aussi dans la formation de ses employés en facilitant leur évolution vers de nouveaux métiers de la data, du cloud, de la cybersécurité ou de l’IA.
Dans l’ensemble de ses marchés, Orange fait également de la responsabilité sociale et environnementale une priorité. Avec une politique ambitieuse, l’entreprise s’engage à lutter contre le réchauffement climatique via son programme de réduction des émissions de CO2 pour diminuer de plus de 30 % ses émissions de carbone en 2025 et de 45 % de plus d’ici 2030.
Muriel Edjo
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Le Zimbabwe abritera du 26 au 28 avril prochain, le 6e Sommet Transform Africa organisé par Smart Africa sous le thème « Connecter, Innover et Transformer ».
Pendant trois jours, des chefs d’Etat et des acteurs clés du secteur des TIC discuteront entre autres des questions liées à la réglementation et des politiques, du financement des infrastructures numériques, du renforcement des capacités et du développement des compétences, ainsi que du commerce continental numérique.
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Le réseau Orange Digital Centers, à travers ses 17 pays en Afrique et Moyen-Orient, organisera les 14, 15 et 16 février prochains la deuxième édition de la conférence en ligne sur les métiers de demain baptisée « Future of work Africa Week ».
Durant 3 jours, des experts internationaux de haut niveau vont débattre et apporter des réponses à la jeunesse africaine voulant s’informer sur les métiers d’avenir, les compétences recherchées et bien se préparer aux futurs besoins des recruteurs.
Pour s’inscrire, rendez-vous ici : https://bit.ly/3HWECa7
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AYuTe Africa Challenge, une compétition organisée par Heifer International dans le but de soutenir les innovateurs agro-technologiques du continent, a récompensé trois start-up opérant dans le secteur agro-technologiques. Il s’agit de ThriveAgric du Nigeria, DigicCow du Kenya et Brastorne Enterprises du Botswana. Ces jeunes pousses recevront entre autres un montant total de 1,5 million $ et un soutien technique de la part des organisateurs.
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La transformation numérique qui s’accélère depuis 2020 en Afrique a révélé un ensemble de faiblesses qui fragilisent la marche du continent vers la 4e révolution industrielle. La nécessité de combler ces failles a touché plusieurs acteurs privés qui se mobilisent déjà pour financer divers chantiers.
Convergence Partners, un investisseur en capital-investissement dédié au secteur de la technologie en Afrique subsaharienne, annonce ce lundi 30 janvier la clôture réussie de son fonds d'infrastructure numérique (Convergence Partners Digital Infrastructure Fund — CPDIF) à 296 millions de dollars. La société a d’ailleurs dépassé de plus de 18% son objectif initial.
« Alors que nous sommes à 7 ans de 2030, nous nous engageons à aborder les ODD et à préparer l'infrastructure numérique pour l'Afrique qui abritera bientôt 2 milliards de personnes avec la population la plus jeune de notre planète », a déclaré. Andile Ngcaba (photo), président et associé fondateur de Convergence Partners.
Il a affirmé que la société continuera à s’appuyer sur sa « vision originale en investissant dans l'infrastructure numérique qui est un catalyseur clé de l'inclusion numérique. Ce fonds nous permettra de continuer à tirer parti de notre connaissance approfondie de la technologie, des investissements et du marché africain pour avoir un impact mesurable ».
Le Fonds d'infrastructure numérique Convergence Partners a été lancé en juin 2020 et a réalisé une première clôture de 120 millions $ de dollars en juillet 2021. Il se concentre sur l'investissement dans les opportunités d'infrastructure numérique en Afrique subsaharienne, notamment les réseaux de fibre, les centres de données, le sans fil, les tours télécoms, le cloud, l'Internet des objets (IoT), l'intelligence artificielle (IA) et d'autres infrastructures numériques essentielles considérées comme vitales pour la croissance de l'économie numérique dans la région.
En plus d'investir dans des actifs physiques, le CPDIF vise également à développer et à soutenir des initiatives qui favorisent l'accès à l'éducation, aux services financiers, aux soins de santé et à d'autres services essentiels grâce aux technologies numériques.
Convergence Partners indique que la clôture de son fonds a été soutenue par une combinaison d'investisseurs existants et nouveaux comprenant des institutions financières de développement (IFD) mondiales et régionales, des fonds de pension et d'autres institutions financières basées en Europe et en Afrique.
Muriel Edjo
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Le développement de l’Internet à haut débit en Afrique a contribué à l’essor de nouvelles opportunités professionnelles pour la jeunesse. Parmi elles, le gaming qui, bien accompagné, a le potentiel de faire éclore de nouveaux professionnels du divertissement.
Les jeunes talents du gaming d’Afrique se retrouveront au Palais des Congrès du Sofitel d’Abidjan les 28 et 29 janvier 2023 pour prendre part à la grande finale régionale de l’Orange Esport Expérience. Le championnat panafricain de jeux vidéo en ligne, organisé par la société Orange Côte d’Ivoire, accueille pour cette quatrième édition des équipes en provenance de quatorze pays.
Il s’agit du Bénin, Cameroun, Congo, Côte d’Ivoire, Egypte, Ghana, Guinée, Madagascar, Mali, Maroc, République démocratique du Congo, Sénégal, Centrafrique, Sierra Leone. De samedi à dimanche, les champions de ces pays s’affronteront sur des jeux tels que Street Fighter V, FIFA 2023, eFootball 2023 (ex-PES) et, durant un match de démonstration, sur League Of Legends.
Orange justifie son investissement dans l’Orange Esport Expérience au regard du développement du gaming en Afrique, porté par la vulgarisation de l’Internet à très haut débit sur le continent au cours des dix dernières années.
La société télécoms estime que le gaming constitue aujourd’hui une discipline professionnelle participant à la création de nombreux emplois, notamment dans le domaine de la cybersécurité, de l’intelligence artificielle et de l’open innovation. Pour Brelotte Ba, le directeur adjoint Orange Afrique et Moyen-Orient, « l’Afrique offre le cadre idéal pour cette discipline en plein essor ».
Le groupe Orange accompagne le développement de l’Esport depuis 2016, à travers l’organisation de compétitions nationales et internationales destinées à faire émerger de jeunes talents du gaming de la région Afrique et Moyen-Orient. La compétition Orange Esport Expérience se tient en Côte d’Ivoire depuis 2018, date de sa création.
En Europe et aux Etats-Unis, le gaming a depuis longtemps dépassé le stade de simple divertissement. Avec la professionnalisation des joueurs, des salaires mensuels à cinq chiffres ont parfois été atteints. Relativement nouvelle en Afrique, la discipline qui se développe assez rapidement laisse entrevoir de belles opportunités par une jeunesse férue d’Internet et de technologie.
Muriel Edjo
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Il est un entrepreneur talentueux dans le domaine de l’événementiel. Il a réussi à combiner la technologie avec son savoir-faire dans l’événementiel pour offrir une solution innovante aux organisateurs d’événements. Il propose aussi des services de streaming et de VOD pour les événements.
Haythem Dridi (photo) est le fondateur de l’entreprise technologique Millesima Technologies. Originaire de Tunisie, il a étudié les mathématiques et la physique à la faculté des sciences de Sfax entre 1996 et 1997. Il est titulaire d’un certificat en management de projets qu’il a obtenu en 2009.
L’entreprise Millesima Technologies qu’il dirige est une start-up tunisienne, labélisée StartupAct, spécialisée dans la technologie des datas et flux vidéos en streaming et VOD (vidéos à la demande), ainsi que les plateformes dédiées à l’événementiel présentiel, hybride et 100 % virtuel. Elle est née en 2021 et n’a cessé de se développer jusqu’à ce jour.
En janvier 2023, l’entreprise a levé auprès de BH Equity, une société d’investissement en capital-risque, filiale de BH Bank qui opère dans le domaine du capital-investissement, et d’une société privée, la somme de 480 000 dollars. Ces fonds contribueront au lancement de MYVIOO, une plateforme qui permet aux entreprises et organisations d’avoir une ou plusieurs chaînes VOD et streaming live, 100 % personnalisable et privative. Elle permet, entre autres, de proposer des espaces publicitaires gérés entièrement par les propriétaires des chaînes.
Cependant, l’aventure entrepreneuriale de Haythem Dridi a commencé avec la création de Millesima Travel et Millesima Events en 2004. Le premier est une agence de voyages tunisienne de licence A, spécialisée dans la réservation d’hôtels business to business, la réservation des meetings ainsi que les voyages d’affaires.
Millesima Events, quant à elle, est une agence événementielle implantée en Tunisie et au Maroc et qui est spécialisée dans l’événementiel présentiel, hybride et 100 % virtuel. L’agence a déjà travaillé avec 794 clients, organisé 2 596 événements nationaux, 60 événements à l’étranger et 150 événements virtuels et hybrides.
L’idée de Millesima Technologies est, d’ailleurs, née avec le souci de pallier l’arrêt des événements en présentiel, une situation qu’a vécue Millesima Events pendant la crise sanitaire de Covid-19.
Melchior Koba
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Charles Kouame, le directeur de Djoliba au sein d’Orange Afrique et Moyen Orient, est en charge du déploiement de l’infrastructure télécoms à haut débit qui interconnectera les différents pays d’Afrique de l’Ouest et plus. Il aborde avec We Are Tech les avancées enregistrées et les perspectives autour de ce projet en cours depuis les deux dernières années.
En 2020, Orange annonçait Djoliba, son réseau de fibre optique d'Afrique de l'ouest. A quel niveau se situe la réalisation de ce projet ?
Depuis l’annonce, nous avons pu connecter six pays que sont la Côte d’Ivoire, le Sénégal, le Burkina Faso, le Mali, le Ghana et le Nigeria. Deux autres pays sont en cours de connexion. Il s’agit du Liberia et de la Guinée. A l’instar du fleuve Djoliba qui arrose une bonne partie de l’Afrique de l’Ouest, nous avons voulu une infrastructure de fibre optique qui interconnecte la plupart des pays de cette sous-région. Ce projet a été initié face au besoin croissant en connectivité à haut débit en Afrique.
Au lancement de Djoliba en 2020, le groupe Orange a investi un peu plus de huit millions d’euros. En 2022, le réseau qui était déjà congestionné du fait de sa grande sollicitation a été mis à niveau. Pour augmenter sa capacité, Orange a émis un investissement supplémentaire dans le projet Djoliba.
Djoliba contribue fortement au développement de la connectivité au Mali, au Burkina Faso, et en Guinée Bissau. L’infrastructure a permis à plusieurs entreprises, notamment celles du secteur bancaire de la sous-région de s’interconnecter plus aisément avec leur siège à Dakar ou Abidjan.
La capacité du système est infinie. Il suffit d’y ajouter des équipements appropriés et nécessaires pour l’augmenter. A date, la capacité équipée est de 300 gigabits. 200 gigabits ont été ajoutés cette année aux 100 gigabits initiaux.
Pourquoi avoir engagé un projet d'une telle envergure juste orienté vers l'Afrique de l'Ouest ?
La région qui abrite le plus grand nombre de filiale d’Orange est l’Afrique de l’Ouest. Elle a donc été désignée pour abriter la phase 1 du projet qui englobe huit pays. Pour la phase 2 nous accueillerons des pays d’Afrique centrale à l’instar du Cameroun, de la République démocratique du Congo. Nous intégrerons aussi d’autres pays comme le Maroc, le Niger, la Mauritanie, le Togo, le Bénin, la Sierra Leone. Bien plus tard, vers 2025, nous envisageons même d’étendre notre réseau de fibre optique à l’Afrique du Sud, au Botswana, au Kenya. L’objectif pour Orange est de connecter les grandes capitales où nous enregistrons un flux important de trafic Internet, même si elles ne font pas partie du réseau Orange. A travers les points de présence du groupe Orange dans tous les continents, le réseau Djoliba qui y est interconnecté permet à nos clients d’accéder à la terre entière.
Quels seront spécifiquement les usages de cette infrastructure ?
L’objectif d’Orange est de vulgariser la connectivité à haut débit en réalisant de gros investissements qui permettent d’offrir un service Internet de qualité au meilleur prix. Djoliba a par exemple permis en moins d’un an à la filiale malienne de proposer des offres d’abondance. Djoliba permet également de satisfaire les besoins des clients Opérateurs, fournisseur d’accès à Internet, et des entreprises.
Avec la crise sanitaire, nous avons tous constaté que le télétravail s’est développé. Nous avons certaines habitudes de vie qui ont été quasiment changées. Il y a des outils pour travailler à distance dont ont besoin les entreprises pour améliorer leur efficacité opérationnelle, et la bande passante de qualité est indispensable pour y accéder.
Dans les domaines bancaire, minier, télécoms…, de nombreuses entreprises ont pris de la capacité sur Djoliba pour mieux collaborer avec leur siège, pour mieux accéder à tout ce qui est système d’information. Djoliba joue également un rôle au niveau des autres entreprises de téléphonie mobile. Ce réseau panafricain a été conçu pour contribuer à l’inclusion numérique en Afrique.
Avec l’avènement de Djoliba, la connectivité à haut débit à des tarifs accessibles a soutenu le développement du segment de la création de contenu Internet dans plusieurs pays. Les influenceurs peuvent désormais donner plus de visibilité à leurs activités. Djoliba a également été une belle opportunité pour les start-up numériques qui proposent des services en ligne via des sites Internet ou des applications. Avec un prix d’accès à Internet inaccessible et une faible capacité Internet, il est difficile de consommer en ligne.
Quelle est la plus-value de ce système comparé aux autres dans lesquels Orange est engagé, notamment le 2Africa ?
Djoliba est un réseau bâti à partir des câbles de fibre optique terrestres et sous-marins. Quand il sera en service, 2Africa sera intégré dans Djoliba. Les axes sous-marins actuels de Djoliba comptent le câble Africa Coast to Europe (ACE), South Africa Transit 3 (SAT3) ou encore le West Africa Cable System (WACS). Nous avons des parcours terrestres sécurisés par des parcours sous-marins. Nous attendons l’arrivée du câble 2Africa pour l’intégrer dans Djoliba et offrir un réseau résilient à nos clients. Djoliba permettra aussi d’offrir un prolongement terrestre sécurisé des capacités de 2Africa.
La Banque mondiale estime que plusieurs centaines de millions d'Africains vivent encore à plus de 50 km d'un réseau de fibre optique. Comment Orange compte améliorer l'accès (offre et coût) des populations au très haut débit dont le besoin augmente ?
Orange à travers ses filiales investit énormément dans le développement du réseau de fibre optique dans les pays où il opère. C’est le cas par exemple au Mali, au Burkina Faso ou encore en Guinée. Ce sont des territoires quasiment vierges et l’investissement y est de ce fait lourd. Dans les grandes villes de ces différents pays, Orange investit massivement parce que c’est une orientation forte décidée au niveau de la direction d’Orange Middle East & Africa. Le but est d’amener la fibre optique au plus près des populations, dans nos familles. Les différentes filiales d’Orange Middle East & Africa déploient leurs infrastructures de fibre optique et Djoliba viendra leur permettre d’accéder à des capacités Internet plus importantes grâce à sa connexion à divers systèmes de câbles sous-marins dont il transporte le trafic international. Quand 2Africa atterrira à Dakar et Abidjan, le Burkina Faso et le Mali passeront par Djoliba pour accéder à sa capacité. C’est un transport sécurisé.
Que prévoit Orange pour satisfaire à la demande croissante en connectivité à haut débit en zones rurales
Orange a pour ambition de vulgariser le haut débit sur la zone Afrique et Moyen Orient. Cette ambition est soutenue par de gros investissements dans les réseaux domestiques de fibre optique panafricains et sous-marins. Malgré les investissements réalisés, certaines zones rurales n’ont pas accès au haut débit. Pour satisfaire à la demande de tous nos clients dans les zones rurales, nos Etats pourraient aussi déployer des réseaux de fibres optiques dans les zones reculées à travers les fonds du service universel.
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Du 15 au 16 février, se tiendra, au Sarit Expo Centre à Nairobi au Kenya, la cinquième édition de l'Africa Tech Summit, la principale conférence technologique axée sur la connexion des entreprises et la stimulation des investissements au sein de l’écosystème technologique africain. Plus de 1 000 dirigeants, investisseurs et autres acteurs du secteur des technologies sont attendus à ce rendez-vous.
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