Cofondateur et président-directeur général de Planet42, le Sud-africain Eerik Oja a mobilisé pour le compte de Planet42 plus de 150 millions $. La jeune pousse sud-africaine, qui opère en Afrique du Sud et au Mexique, permet de se procurer des véhicules via son modèle d’abonnement « Louer pour acheter ». En mars 2024, Eerik Oja obtient 16 millions $ de la Standard Bank pour permettre à la start-up de rembourser ses prêts.
Tamer Amer est le fondateur et le président-directeur général de la jeune pousse OneOrder. La firme, fondée en 2022, opère dans la logistique. L’Egyptien a su attirer l’attention sur sa start-up en convainquant plusieurs investisseurs de miser, en mai 2024, un montant total de 16 millions $ pour son projet d’expansion en Arabie saoudite, au Koweït, au Qatar, à Bahreïn, à Oman et aux Émirats arabes unis.
Walid Hassouna est l’un des cofondateurs en 2017 et le président-directeur général de la fintech égyptienne ValU. Elle s’est spécialisée dans le « Buy Now, Pay Later ». Sous l’impulsion de l’Egyptien, ValU clôture en mars 2024 sa 8e titrisation d’une valeur de 888 millions de livres égyptiennes (environ 18,2 millions $) pour se développer et, entre autres, investir dans des start-up locales.
Le Kényan Thomas Njeru est à la tête de l’insurtech kényane Pula. Il a cofondé cette jeune pousse en 2017 qui propose des polices d’assurance aux petits exploitants agricoles d’Afrique, d’Asie et d’Amérique latine. En avril 2024, Thomas Njeru a su convaincre divers investisseurs à injecter 20 millions $ dans sa start-up pour établir de nouveaux partenariats et diversifier ses offres.
A la tête de sa fintech Nala, le Tanzanien Benjamin Fernandes a capté 40 millions $ en juillet 2024 pour soutenir sa croissance. Elle permet aux entreprises et aux particuliers d’effectuer des transferts de fonds depuis plusieurs pays d’Afrique et du monde. Depuis son lancement en 2017, la fintech tanzanienne est en pleine croissance, attirant de plus en plus d’investisseurs pour mener à bien son projet d’inclusion financière sur ses différents marchés.
A la tête de la fintech qu’il a cofondé en 2011 avec Chad Larson et Nick Hughes, le Canadien Jesse Moore est l’artisan principal de la croissance de la startup kényane M-Kopa. En mai 2024, il a supervisé la réussite d’un tour de table de 51 millions $ pour financer sa croissance. Depuis son lancement, M-Kopa a déjà octroyé, sous la direction de Jesse Moore, plus du milliard $ en crédit financier à plus de 4 millions de personnes au Kenya, en Ouganda, au Nigéria, au Ghana et en Afrique du Sud.
Ladi Delano a officiellement cofondé en juillet 2020 la start-up Moove Africa. À la tête de la jeune pousse, le Nigerian a contribué à la réussite de plusieurs tours de table dont une de série B en mars 2024 menée par l’américain Uber d’un montant de 100 millions $. Avec ces fonds, Ladi Delano compte financer l’expansion de la start-up sur le continent et au-delà.
Mounir Nakhla est le président-directeur général et l’un des fondateurs de la fintech égyptienne MNT-Halan. Grâce à la technologie, la jeune pousse facilite l’accès des populations aux services financiers. Sous sa direction, la firme fondée en 2018 s’est hissée au rang de licorne en février 2023 après un tour de table d’un montant de 400 millions $. En juillet dernier, l’Egyptien a mené à bien un nouveau cycle de financement de 157,5 millions $ pour financer l’expansion hors d’Egypte de la fintech.
Cet Estonien a cofondé en 2017 la start-up de mobilité qu’il dirige actuellement. Active principalement en Afrique du Sud, Planet42 veut poursuivre sa croissance en fournissant un million de voitures à des personnes exclues du financement automobile traditionnel. Pour se rapprocher de cet objectif, Eerik Oja a levé 100 millions $ en février 2023.
L’informaticien et capital-risqueur d’origine singapourienne est à la tête de la société d’investissement et d’incubation de start-up Y Combinator depuis janvier 2023. Il a préservé la vision de l’entité basée aux USA, qui est de soutenir tous les tech entrepreneurs à fort potentiel et donc les solutions ont un fort impact sur le bien-être des populations. Cette année, la société s’illustre encore en ouvrant ses portes à plusieurs startups africaines.
Le Nigérian dirige l’écosystème de start-up de Google en Afrique subsaharienne depuis janvier 2022. Il est à la tête de Google for start-up Accelerator Africa qui depuis 2018 a travaillé avec 106 start-up dans 17 pays africains. Il est aussi le responsable de la gestion de Black Founders Fund Africa et de toutes les nouvelles initiatives lancées cette année en direction des innovatrices et des passionnés d’IA sur le continent.
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Président de la République démocratique du Congo (RDC) depuis 2019, il a ordonné l’adoption d’une loi visant à numériser tous les secteurs de l’administration publique. Depuis lors, il a mis en place plusieurs partenariats, dont le protocole d’accord signé avec Huawei en mai 2023 qui vise à renforcer la coopération dans le domaine des infrastructures numériques.
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Cofondateur du fonds panafricain de capital-risque Launch Africa Ventures, il en est devenu un associé général en 2021, contribuant par ses actions au développement de l’écosystème tech africain. En 2022, Launch Africa a réalisé plus de 50 transactions financières en faveur de divers startuppers. Au premier semestre 2023, il dirigeait le deuxième investisseur le plus actif sur le continent.
Hany al Sonbaty dirige la société de capital-risque qu’il a cofondé en janvier 2011. A travers sa société, il soutient les entreprises technologiques en phase de démarrage et d’amorçage de la sous- région Moyen-Orient et Afrique du Nord. En mars, il a lancé un nouveau fonds de 95 millions $ destiné à renforcer l’accès des start-up africaines au financement dont elles ont besoin pour se développer.